Séléka corrige les erreurs des FACA par des exactions !!! Après des actes de bravoure et sa participation à la guerre d’Indochine, le capitaine Jean Bedel Bokassa de l’Armée Française, devenu maréchal et empereur de son pays avant de mourir, était revenu au pays pour être aux côtés de ses concitoyens. Suite à un constat et à une carence, Jean Bedel Bokassa, avait impulsé l’idée de la création des Forces Armées Centrafricaines (FACA) dans le seul objectif de défendre l’intégrité territoriale et la protection de la population civile contre une agression quelconque. Devant cette situation, l’Empereur Bokassa 1er avait envoyé des jeunes centrafricains sans aucune distinction de race ni de région en formation en France, en Israël et en Lybie pour subir des formations militaires de haut niveau. Le résultat en est qu’il y avait le Régiment D’Intervention Opérationnelle du Territoire (RDOT) qui était très efficace face aux bandits de grand chemin, notamment les coupeurs de route et les braconniers qui venaient du Soudan, le Régiment Mixte d’Intervention (RMI) en appui. Mais après les mutineries successives, certains braves soldats centrafricains formés pour assurer la défense et la protection du territoire ont préféré mieux opter pour la vie civile. Des vaillants soldats que le pays regrette, ce qui fait que le pays est marginalisé. Après cette absence, on note que des efforts se sont fait sentir par les régimes qui se sont succédé à la tête de l’Etat. Mais hélas ! Suite à cela, le régime de Bozizé, pendant dix années consécutives de gestion de la chose publique, a préféré mieux après la dissolution de l’Ecole Militaire des Enfants de Troupes (EMET), reouvrir l’Ecole des Officiers d’Actives (ESFOA) en vue de combler le vide constaté dans l’armée nationale. Bozizé a attaché une importance à l’administration militaire que civile. Il élevait les grades et accordait un salaire conséquent à l’armée. Malheureusement, cette considération est vouée à une négligence car, dans tous les pays du monde, les militaires doivent habiter les casernes. Le fait de vivre dans le milieu civil, ils deviennent inefficaces et impuissants en s’abstenant d’aller au front pour défendre la patrie. Aujourd’hui, la conséquence de cette négligence est ce que tout le monde vit. Cette correction de séléka doit servir d’exemple pour les Forces Armées Centrafricaines (FACA) qui sont démotivées pour défendre le territoire et protéger la population. Le pays
Posted on: Fri, 19 Jul 2013 09:48:28 +0000
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