THE FRENCH-AFRICAN FOUNDATION FOR GROWTH The social network of African and French economic stakeholders to foster mutual growth The catalyst for renewed economic relations between France and Africa The idea of this Foundation was suggested in the report “A partnership for the future: 15 proposals for building a new economic relationship between Africa and France” which was drafted by Hubert Védrine, Tidjane Thiam, Lionel Zinsou, Jean-Michel Severino and Hakim El Karoui. The suggestion received support from the French and African Heads of State and Government when they met at the Elysée Summit for Peace and Security in Africa on 6 and 7 December 2013. One of the report’s authors, Lionel Zinsou, a Franco-Beninese economist and Chairman and Chief Executive Officer of the PAI Partners investment fund, was asked to set up this Foundation. Its launch took place in front of 130 prominent French and African figures on 15 July 2014 with the participation of the Minister of Finance of Nigeria and the French Ministers for the Economy, Finance, Foreign Affairs and International Development. It is scheduled to be fully operational on 6 February 2015. The coordinator of the French and African economic ecosystem As the bedrock for French/African economic relations, the Foundation is the social network between businesses and their public sector and non-profit counterparts. It rallies stakeholders around topics of general interest and takes a long-term view. It is a forum for sharing information and forging strategies and partnerships that match businesses’ requirements to give new impetus to economic exchanges. It provides the public authorities with unique insight into issues of concern to businesses (visas, financing, technical expertise, etc.). The Foundation aims to help double economic exchanges in the next five years and to refocus economic relations on business relationships with an eye to ensuring sustainable, inclusive and shared development. Local businesses have set up mirror associations in a number of countries (Nigeria, Benin, Côte d’Ivoire, Angola, etc.). Local clusters, which are offshoots of the Foundation, were launched in Nantes on 6 October 2014 and in Bordeaux on 17 November 2014. Four priority areas: programmes being initiated 1°) Communicate on economic reality in Africa and France: better inform the French public about economic and social reality in Africa to ensure that investors and French businesses make informed decisions; in return, better inform African citizens of France’s economic potential; improve the visibility of economic partnerships between France and Africa and of those involved, with the support of the respective diasporas. The Foundation is setting up an annual economic relations index that will be compiled by an academic institution from key economic indicators. 2°) Act as a policy advocate: in France, market Africa’s economic potential, promote opportunities and improve France’s perception of the continent; argue in favour of a fairer risk assessment of Africa’s economy, particularly in relation to rating agencies and risk insurance companies; in Africa, market the opportunities offered by French businesses and encourage African investment in France. 3°) Foster and support human capital initiatives: a key business requirement currently not being met, by improving and expanding the commercial and non-commercial training courses on offer via e-learning or traditional classroom methods. These courses should cover the most basic technical qualifications through to the top academic pathways. Three programmes are currently underway thanks to the €3 million provided by the French Ministry for Finance and Public Accounts: The RH-Excellence Africa programme jointly run by the Foundation and the French Council of Investors in Africa (CIAN). The aim of this programme is to modernise and provide certification for African training centres to ensure that the training on offer meets business requirements; these improvements will feed through to the job market in 2017/2018. The Lead Campus programme initiated by Danone and several other French businesses. This programme, with the support of the CEFEB (Financial, Economic and Banking Studies Centre) and French and African higher education establishments, will provide young, high-potential Africans working in the private sector, government departments or civil society organisations with management training on African campus. The programme’s first students will graduate in September 2015. The Foundation’s Young Leaders programme brings together some 30 African and French leaders to forge closer personal ties between them and provide a forum for discussion on the challenges they face. The first group will start the programme in February 2015. 4°) Promote economic exchanges and investment through the creation of sectorial, cross-cutting clusters. Driven by French and African businesses, these clusters will provide a forum for players from a particular economic sector or value chain to discuss best practices and exchange information, encourage partnerships and act as an incubator for projects. The first clusters are taking shape in the creative and cultural sector, digital and e-learning, finance, the food sector, infrastructure, shipping industries, sustainable cities, SMEs, business law, female entrepreneurship and social entrepreneurship. Contacts: [email protected] [email protected] La Fondation franco-africaine pour la croissance Le réseau social des acteurs économiques français et africains pour une croissance partagée Le catalyseur de la rénovation des liens économiques entre la France L’idée de cette Fondation est née du rapport « Un partenariat pour l’avenir : 15 propositions pour une nouvelle dynamique économique entre l’Afrique et la France » de H. Védrine, T. Thiam, L. Zinsou, JM Severino et H. El Karoui ; elle est soutenue par les Chefs d’Etats français et africains réunis lors du Sommet de l’Elysée les 6 et 7 décembre 2013. Lionel Zinsou, économiste franco-béninois et Président du fonds d’investissement PAI Partners en est alors nommé le préfigurateur. La Fondation est lancée le 15 juillet 2014 en présence de 130 personnalités françaises et africaines de premier plan, avec le soutien de la ministre des finances du Nigéria et des ministres français de l’économie, des finances et des affaires étrangères et du développement international. Sa création effective est prévue le 6 février 2015. L’animateur de l’écosystème économique français et africain Point d’entrée de la relation économique entre la France et l’Afrique, la Fondation constitue le réseau social des entreprises françaises et africaines et de leurs contreparties dans la sphère publique et associative. Elle fédère les acteurs sur des thématiques d’intérêt général et dans une perspective de long terme. Elle permet de partager l’information et de bâtir des stratégies ou des alliances qui répondent aux besoins des entreprises pour dynamiser les échanges. Elle offre un accès privilégié aux pouvoirs publics sur les préoccupations des entreprises (visas, financements, expertise technique, etc.). Elle ambitionne de concourir au doublement des échanges en cinq ans et au recentrage des relations économiques entre la France et l’Afrique sur les relations d’affaires dans une perspective de développement durable, inclusif et partagé. Des associations miroirs se mettent en place dans plusieurs pays (Nigéria, Bénin, Côte d’Ivoire, Angola,..) à l’initiative des entreprises locales. Des clusters locaux de la Fondation sont lancés à Nantes le 6/10/2014 et Bordeaux le 17/11/2014. Quatre axes d’action : des programmes qui démarrent 1°) informer sur la réalité économique africaine et française : mieux informer le public français de la réalité économique et sociale africaine, afin que les investisseurs et les entreprises françaises soient mieux éclairés dans leur choix ; réciproquement mieux informer l’Afrique des potentialités économiques françaises ; donner de la visibilité aux acteurs et aux activités économiques entre la France et l’Afrique, en s’appuyant sur les diasporas. La Fondation prépare un baromètre annuel de la relation économique, constitué à partir d’indicateurs économiques clés sous-traités à une institution académique. 2°) jouer un rôle de plaidoyer : faire valoir en France le potentiel de l’économie africaine, promouvoir les opportunités et améliorer la perception du continent ; peser pour une appréciation plus juste du risque africain, notamment par les agences de notation et les sociétés d’assurance risque ; faire valoir en Afrique les opportunités offertes par les entreprises françaises et susciter des investissements africains en France. 3°) développer et soutenir des initiatives en faveur du capital humain qui constituent la première demande solvable mais insatisfaite des entreprises, en améliorant et en élargissant les offres de formation marchande et non marchande, présentielle et numérique, allant des qualifications techniques de base aux filières académiques d’excellence ; 3 programmes démarrent, grâce à l’apport de 3 M€ du ministère français des finances : l’initiative RH-Excellence Afrique coproduite avec le CIAN, qui vise à labelliser et mettre à niveau des centres de formation africains répondant aux besoins des entreprises ; les effets s’en feront sentir sur l’offre d’emplois formés dès 2017/2018 ; le projet « Lead Campus » préfiguré par Danone et quelques entreprises françaises ; il consiste à mettre en place, avec l’appui d’établissements d’enseignement supérieur français et africains et le CEFEB, un programme de cycles de formation au leadership pour des africains à fort potentiel issus du secteur privé, du secteur public ou des associations sur des campus africains ; première promotion en septembre 2015 ; le programme Young Leaders de la Fondation, réunissant une trentaine de leaders africains et français dans le but de nouer des liens personnels et proposer une réflexion commune sur des enjeux globaux. En février 2015 sera annoncé le premier groupe. 4°) promouvoir les échanges et les investissements au travers de groupes sectoriels et transversaux rassemblant, sous l’impulsion d’entreprises françaises et africaines, les acteurs d’un secteur économique ou d’une chaîne de valeur, pour échanger bonnes pratiques et informations, susciter des syndications et servir d’incubateur de projets. Les premiers clusters se mettent en place : industries créatives et culturelles, numérique et e-learning, finances, agroalimentaire, infrastructures, industries maritimes, ville durable, appui aux PME, droit des affaires, entrepreneuriat féminin et entrepreneuriat social. Points de contact : [email protected] ; [email protected]
Posted on: Thu, 11 Dec 2014 07:15:36 +0000