Toutes ces critiques de forme mises à part, nous sommes au final de ceux qui nous réjouissons de la nomination de Laurent Blanc. Choix, peut-être par défaut pour QSI, mais que nous pensons, à ce stade de la construction du club, comme adapté. Un entraîneur jeune et qui a encore tout à prouver dans cette fonction. Comme le PSG/QSI finalement. Mais dont le passé de joueur de très haut standing est un gage de sa capacité à diriger à ce niveau et à gérer les stars, dont il a fait partie et qu’il a côtoyées dans les plus grands clubs européens. Comme à maîtriser la pression permanente du résultat qui en est le lot. Cette opportunité est pour lui une chance extraordinaire de prouver son talent. Et gageons qu’il la vivra comme telle et fera tout pour la saisir. Bien loin de l’attitude d’un « mercenaire » comme Ancelotti, au palmarès certes autrement plus fourni, mais venu à Paris faute de mieux, entre deux clubs, en l’absence d’autres propositions immédiates et sur un pont d’or. Et qui n’a jamais vraiment cherché à comprendre la Ligue 1. Avec des résultats, un seul titre en deux saisons, objectivement très insuffisants en regard des considérables moyens mis à sa disposition. Surtout face à une concurrence hexagonale aux abois économiques. Et dont je ne regretterai pas le départ. Même si on peut lui être gré d’avoir structuré le secteur technique. Et de laisser un effectif maintenant équilibré et qui ne demande plus qu’à être retouché.
Posted on: Thu, 27 Jun 2013 18:52:01 +0000
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