UN PEU DE LECTURE AVANT DE DORMIR Un livret intitulé Kitâb - TopicsExpress



          

UN PEU DE LECTURE AVANT DE DORMIR Un livret intitulé Kitâb al-Tawhîd al-Ladhî Huwa Haqqullâh ‘alâ al-‘Abîd a été rédigé par le fondateur de la secte anthropomorphiste du wahabisme. Très controversé à cause d’erreurs dogmatiques et tout genre d’hérésie qu’il renferme et véhicule, ce livret fera l’objet de plusieurs répliques de la part des scientifiques, juristes et différents savants notamment sunnites venant des 4 écoles Islamiques. Les financements saoudiens et la propagande acharnée et aveugle des disciples de la secte wahhabite, vont donner à ce livret, une référence, qu’il est loin de mériter en matière de tawhîd, vu les égarements et détournements faits des textes divins et prophétiques. Et c’est ainsi que la quasi totalité des librairies, peu regardantes des propagandes qu’elles distribuent, mais également les sites d’internet tel que les sites de soi disant information islamique, ont participé et participent encore à cet immense égarement et détournement fallacieux et maléfique qui est fait des textes divins et prophétiques, et qui coute la vie à des milliers et des milliers de vies de musulmans, et ce depuis le début de cette idéologie et à ce jour encore. Les père et frère de Ibn Abdel wahab eux-mêmes, tous deux savants et juges musulmans, ainsi que plusieurs autres savants de son époque, avaient pourtant mis en garde Muhammad Ibn Abdel Wahab contre cette idéologie maléfique, dont l’ancêtre des Al Saoud va s’en servir pour soumettre les territoires musulmans d’Arabie, en versant le sang de milliers de musulmans, hommes, femmes et enfants. Le Sheikh Ahmad Ibn Zain Ibn Ahmad Dahlan Al Makki (né à la Mecque en 1231 H – et mort à Médine en 1304 H), Savant Juriste Sunnite, Shafiite, Historien, Moufti des savants de la Mecque, connu par l’appellation de Sheikh Al Islam et auteur de plusieurs livres, rapportera dans son livre La Sédition des Wahabites, le désaveu du Père, du frère et de plusieurs savants de l’époque de Ibn Abdel Wahab, et dira : Le père d’Ibn Abdel-Wahab était un homme vertueux et un savant, et il en fut de même pour son frère le Sheikh Sulaiman Ibn Abd El-Wahab. Son père, et son frère ainsi que ses enseignants pressentirent très vite qu’il allait devenir une source d’égarement et de déviation, de ce qu’ils le virent et l’entendirent faire ainsi que les position rebelles qu’il prenait à l’encontre de beaucoup de sujets. Ils ne cessèrent de le mettre en garde contre ce comportement et alertèrent les gens, qu’ils mirent également en garde contre lui. Allâh confirma leur vision, lorsque Mohammad Ibn Abdel-Wahab propagea ses égarements et sa théorie absurde et dévastatrice, par laquelle il égara beaucoup d’ignorants, et fut en contradiction avec les hommes de la science. Il en arriva ainsi à apostasier les croyants, le Takfir et prétendit que le fait de se recueillir sur la Tombe du Prophète, saws, et demander son intercession, ou se rendre sur la tombe des autres Prophètes, des Saints et des gens vertueux, était de l’associationnisme, un Shirk. Sheikh Dahlan Shafii - Désaveu du Père et du frère de Ibn Abdel Wahab Et le Sheikh Ahmad Ibn Zain Ibn Ahmad Dahlan Al Makk rapportera également les horribles massacres commis par cette secte sur les populations, ainsi que les déviances dogmatiques innovantes que son fondateur a introduit en Islam au nom d’un Tawhid détourné. Des déviances rapportées comme celle-ci : Et parmi leurs égarements, ils interdisaient aux gens de demander la Shafaa, l’intercession du prophète alaihi salat wa salam, alors que les hadiths du Prophète alaihi salat wa salam, sur son intercession en faveur de sa communauté sont nombreux et ont été rapportés par plusieurs compagnons, intercession qui sera majoritairement réservée pour l’absolution des grands péchés. Les wahabites interdisaient aussi aux gens de lire le Livre Dalail-Al-Khairat [les méthodes dobtention des bienfaits], qui se caractérisent par la récitation de la prière sur le Prophète alaihi salat wa salam, à répéter plusieurs fois, et qui rentre dans les descriptifs de la pureté du Prophète alaihi salat wa salam. Ils (les wahabites) disaient que ceci (demander l’intercession du Prophète) était un shirk , et interdisaient à quiconque, dans les mosquées, de réciter la prière sur le Prophète après l’appel à la prière, à tel point qu’un homme pieux, et aveugle, était Mouazzine (faisait l’appel à la prière) a continué à réciter les prières sur le Prophète alaihi salat wa salam après les appels à la prière, alors que les Mouazzines en avaient été interdits de le faire, ils l’emmenèrent alors jusqu’à Mohammed Ibn Abdel wahab, et ce dernier donna l’ordre qu’on le tue, et il fut mis à mort. Si je devais écrire tout ce qu’ils (les wahabites) faisaient je remplirai certes des livres, et des pages entières, mais cela suffit, et Allah subhanah wa Taala est parfaitement connaisseur de ce qu’ils ont fait. Fitnat Al Wahabiya 2 Les mêmes déclarations de mise en garde seront rapportées par plusieurs autres savants, dont un autre savant Sunnite, cette fois-ci Hanbalite, Imam de la Mecque à l’époque du règne d’Asharif Al Hussein Ibn Ali Al Hashemi sur le Hijaz, le Sheikh Mohamed Ibn Abdellah Ibn Hamid Al Amiriye Anajdiye (né en 1236 hégir et mort à Taif en 1295 hégir), dans son livre Assou-Houb Al-wabila Ala Dara-Ihe Al Hanabila – pages 275 à 277. Il rapportera les déclarations suivantes dans son livre, sur la biographie du Sheikh Abdel Wahab, père de Muhammad Ibn Abdel Wahab le fondateur du wahabisme, et sur le mal que propageait ce dernier : « Il a étudié la jurisprudence auprès de son père, l’auteur du célèbre livre Al-Mançak, ainsi qu’auprès d’autres professeurs, et acquis de la science. Il a rédigé des ouvrages bien écrits traitant de certaines questions juridiques. Il est mort en l’an 1153 de l’Hégire. Et il est le père de Muhammad [Ibn ‘Abdi l-Wahhab], le fondateur du mouvement dont les étincelles se sont répandues dans tous les horizons, mais il y a une grande différence entre eux. Muhammad n’a déclaré sa prédication qu’après la mort de son père. Certains de ceux que j’ai rencontré m’ont informé d’après les gens de science qui vivaient à la même époque que ce Chaykh ‘Abdel Wahab, était en colère après son fils Muhammad, pour la raison qu’il ne voulait pas s’occuper à apprendre le Fiqh (jurisprudence) comme ses aïeuls, et il pressentait que quelque chose de maléfique allait survenir de lui, alors il disait aux gens: « Qu’est-ce que vous allez voir comme mal de la part de Muhammad ! » et il s’est passé ce qui s’est passé conformément à la prédestination de Allah. Egalement, son [autre] fils Soulayman, le frère de Muhammad [Ibn Abdel Wahab], était lui aussi opposé à sa prédication. Et il l’a réfuté de la meilleur façon, par des versets coraniques et traditions (du Prophète), car celui qu’il réfutait (Muhammad Ibn Abdel Wahab) n’acceptait rien d’autre, et ne faisait attention à la parole d’aucun Savant, que ce soit celle des anciens ou des contemporains, quel qu’il soit, à l’exception de celle de Ibn Taymiyah et de son élève Ibn Al-Qayyim, car il considérait leurs paroles comme étant des textes sujet à aucune discussion. Et il se contentait de cela parmi les gens, même si leurs propos étaient autres que ce qu’il comprenait. Ensuite, le Chaykh Soulayman (Ibn Abdel Wahab) a rapporté sa réfutation à l’encontre de son frère dans « Faslou l-Khitab fi r-radd ‘ala Muhammad Ibn Abdel Wahab » (le Discours tranchant dans la réfutation de Muhammad Ibn Abdel Wahab). Et Allah l’a préservé de son mal et de sa ruse [provenant de Muhammad Ibn Abdel Wahab], malgré cette terrible tyrannie qui a horrifié même les habitants des contrées lointaines. Car ce qu’il (Muhammad Ibn Abdel Wahab) faisait quand quelqu’un le contredisait ou le réfutait et qu’il se trouvait dans l’incapacité de le tuer au grand jour, il lui envoyait quelqu’un pour le tuer dans son lit ou au marché, de nuit, parce qu’il considérait mécréant quiconque était en désaccord avec lui et rendait licite son assassinat. Il a été rapporté qu’un fou dans un village était connu par frapper quiconque lui faisait face, même s’il était armé. Alors Muhammad [Ibn Abdel Wahab] à ordonné qu’on donne une épée à ce fou et qu’on l’introduise dans la Mosquée où son frère le Chaykh Soulayman s’y trouverait seul, alors on le fît entrer, et quand le Chaykh Soulayman l’a vu il a eu peur de lui. Mais le fou jeta son épée et se mit à dire : « Ô Soulayman n’ait crainte, tu fais partie des gens protégé », en le répétant plusieurs fois. Il n’y a aucun doute que ceci était une Karamah (prodige)… ». (1) Ibn Abdel Wahab dans le Libre du Sheikh Mohamed IBn Abdellah *** Analyse du Livret Kitab Tawhîd de Ibn Abdel Wahab par le Sheikh Al Hâjj Jibrîl Al Haddâd Source Tawhid.net Le livre de Muhammad Ibn ‘Abd Il Wahhâb, « inélégant…contenant l’acceptable et l’inacceptable » selon l’élève de Ash Shawkânî: Siddîq Hasan Khân Al Qinnawjî, Al Kitâb Ut Tawhîd, a été promu de par le pouvoir de la libre distribution et du dumping sur le marché du livre au rang de classique alors qu’il est en fait truffé de citations étranges et d’erreurs doctrinales telles que celles-ci : Qualifier les Ash’arites de « négateurs des Attributs Divins » (mu’attilah) [Chapitres 2 et 16]. Déclarer que le shirk mineur est une partie intégrante du shirk majeur [Chapitre 6]. Mépriser la compréhension du tawhîd de « l’élite des gens d’aujourd’hui » [Chapitre 15]. Déclarer que Abû Jahl connaît « Lâ ilâha illa Llâh » mieux que les savants Musulmans [Chapitre 18]. Attribuer le début du shirk aux actes des gens de science et de religion, à cause de leur amour pour les saints (les véridiques). [Chapitre 19]. Interpréter à tort le hadîth « Ne faites pas de ma tombe une idole » comme signifiant : « ne priez même pas à proximité » alors que le sens accepté [par les savants] est : ne priez pas dans sa direction ni dessus [Chapitre 20]. L’auteur [du Kitâb Ut Tawhîd] se permet même d’ajouter : « les compagnons n’étaient pas censés construire une mosquée sur la tombe du Prophète » Citer le hadîth : « Quand le Messager d’Allâh (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) envoya Mu’âdh (qu’Allâh l’agrée) au Yamân il lui dit : « Tu rencontreras les Gens du Livre, appelle les donc en tout premier lieu à attester qu’il n’y a pas de Dieu excepté Allah » », en omettant la parole « et que je suis le Messager d’Allah (exalté soit-Il) », alors que cette phrase est rapportée par la totalité des Maîtres du hadîth excepté un (Al Bahyaqî) [Chapitre 5]. Présenter à tort une narration singulière (ghârib) comme remontant au Prophète (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) par Târiq Ibn Shihâb alors que c’est une narration mawqûf (d’un compagnon) des mots même de Salmân Al Fârisî rapporté par Târiq [Chapitre 10]. Cette boulette est due au fait que Ibn ‘Abd Ul Wahhâb a imité la déclaration erronée à ce propos de Ibn Al Qayyîm dans Al Jawâb Ul Kâfî (p.21) sans vérifier les sources où se trouvait ce récit, comme Az Zuhd de Ibn Abî ‘Âsim, Al Hilyah d’Abû Nu’aym, et Al Kifâyah de Al Khatîb. Pire encore, Ibn ‘Abd Il Wahhâb attribue la narration à Ahmad, ce qui signifie dans la terminologie du hadîth Al Musnad de l’Imâm Ahmad Ibn Hanbal. Or, ce récit ne se trouve dans aucun des ouvrages de l’Imâm Ahmad, que ce soit le Musnad, Az Zuhd, ou d’autres. Il est vrai que la chaîne de transmission passe par Ahmad, mais lui attribuer le rapport de ce récit est une tromperie. Citer une autre hadîth faible qu’un Compagnon aurait dit : « Allons tous chercher le secours du Messager d’Allâh (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) (qûmû binâ nastaghîthu bi Rasûli Llâh) contre cet hypocrite (‘Abd Allâh Ibn Ubay Ibn Salûl qui a défié Abû Bakr de demander au Prophète (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) d’accomplir un miracle majeur) » alors que le Prophète (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) répondit : « L’aide ne se cherche pas auprès de moi mais seulement auprès d’Allâh (Innahu lâ yustaghâthu bî innamâ yustaghâthu bi Llâh). » ; Ibn ‘Abd Il Wahhâb l’attribue à At Tabarânî. [Chapitre 10]. Premièrement, les formulations « nastaghîthu bi Rasûli Llâh » et « Innahu lâ yustaghâthu bî innamâ yustaghâthu bi Llâh » ne se trouvent dans aucun livre de hadîth et elles n’ont pas de chaîne de transmission ! La référence à At Tabarânî montre l’imitation aveugle de la référence incorrecte d’Ibn Taymiyyah de ces paroles au Al Mu’jam Ul Kabîr de At Tabarânî dans Ar Radd ‘Ala Al Bakrî et dans Majmu’ Ul Fatâwâ. Deuxièmement, la formulation correcte trouvée dans le Tabaqât d’Ibn Sa’d, Al Musnad, et Al Jâmi’ Us Saghîr est que Abû Bakr a dit : « Dressons nous et allons chercher le Messager d’Allah pour chercher de l’aide (qûmû nastaghîthu ilâ rasûlillah) contre cet hypocrite » suite à quoi le Prophète (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) répondit : « Ce n’est pas pour moi de s’élever mais uniquement pour Allah – Lâ yuqâmu lî innamâ yuqâmu li Llâh. » Ainsi donc la réponse du Prophète (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) ne concerne pas le moyen mais la motivation et le but des compagnons à se dresser contre l’hypocrite. Ceci est confirmé par un autre récit dans lequel ‘Umar demande la permission de tuer ‘Abdu Llâh Ibn Ubayy Ibn Salûl, à quoi le Prophète (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) répliqua : « Laisse le sinon les gens diront que Muhammad tue ses compagnons. » Troisièmement, la chaîne de transmission de « Lâ yuqâmu lî innamâ yuqâmu li Llâh » contient un narrateur inconnu en plus de ‘Abdu Llâh Ibn Lahî qui est considéré comme faible, comme ceci est indiqué par Al Haythamî dans Majmu’ Uz Zawâ°id (8:40), donc ce récit est faible et inapte à servir de base dans les questions de croyance ! Quatrièmement le récit ne se trouve pas ailleurs que dans de très peu nombreuses compilations de ahâdîth et est interminable et plutôt improbable dans sa formulation complète, c’est pourquoi Ibn Kathîr le considère comme «extrêmement étrange » (gharib jiddan) dans son Tafsîr. Cinquièmement, le compagnon en question est Abû Bakr (qu’Allâh l’agrée) ce qui serait en soi – si le récit était authentique – que l’istighâthah du Prophète ne peut pas être du shirk étant donné que Abû Bakr était le plus savant et le plus strict des Compagnons sur le tawhîd ! Sixièmement, le sens de la correction personnelle impliquée par la phrase de Abû Bakr et la réponse du Prophète (que Le Salut et La Paix d’Allâh soient sur lui) sont confirmés par les mots extraordinaires qu’Abû Bakr a dit à Rabî’a Al Aslamî – la servante du Prophète – qu’il regrettait d’avoir insulté : « Tu vas m’insulter en retour (en juste rétribution) sinon j’irai chercher l’aide du Messager d’Allah contre toi ! » Dire texto : « Les mécréants qui connaissent leur mécréance sont mieux guidés que les croyants – innal kuffâr al ladhîna ya’rifûna kufrahum ahdâ sabîlan min al mu°minîn » [Chapitre 23]. Dire : « Parmi les polythéistes il y en a qui aiment Allâh avec un amour intense » [Chapitre 31]. Dire : « Le Musulman a été appelé un adorateur du dinar et du dirham » [Chapitre 37]. Montrer un mépris non dissimulé à l’égard des saints, des savant et des croyants en général : « Les conditions se sont dégradées au point où, pour beaucoup, l’adoration des moines est la meilleur des actions et est appelée « sainteté » (wilâyah), alors que l’adoration des docteurs de la Loi est appelé « science » et « jurisprudence ». Alors les conditions se sont dégradées encore plus, jusqu’à ce que ce ne soit même plus des saints qui sont adorés à la place d’Allah, et, en second lieu, ceux qui étaient ignorants. » [Chapitre 38]. Dire que : « les deux opposés (foi et mécréance) peuvent cohabiter dans un seul cœur » [Chapitre 41], ceci en contradiction avec le verset qui dit « Allâh n’a donné à aucun homme d’avoir deux cœurs dans sa poitrine ». Ceci – ainsi que les 4 concepts précédents – est fondamental pour comprendre la propagation par les Wahhâbites de la suspicion mutuelle entre les Musulmans. Comparer le poème « Al Burdah » au fait de donner un égal à Allah (qu’Il soit exalté) [Chapitre 44]. Assimiler le titre islamique de « Qâdî Ul Qudât » (Juge en chef), au titre interdit de « Shâhân Shâh » (Roi des rois) [Chapitre 46]. Citer Ibn Hazm pour expliquer un verset coranique sur la croyance alors qu’ils considèrent qu’Ibn Hazm est un Jahmite dans le domaine de la croyance. (4) [Chapitre 50]. Attribuer l’associationnisme aux Prophètes (en l’occurrence Âdam et Hawâ, que La Paix soit sur eux) « dans le principe mais pas en réalité » [Chapitre 50]. Déclarer qu’il est explicitement dit qu’Allâh a deux mains : la droite tient le ciel et l’autre tient la terre, et cette autre [qui tiendrai la terre] est clairement nommée « la main gauche » [Chapitre 67]. « Innâ li Llâhi wa innâ Ilayhi râji’ûn – A Allâh nous appartenons et vers Lui nous retournerons. » Fin de citation. A lire également, sur le site de ces frères, un excellent travail Jazahum Allah khairan. (1) Traduction publiée récemment par les frères du site sunnite.islamreligion.fr Mise en garde contre les sectes wahabites faux salafites. wahhabisme Savants Sunnites ayant répliqué contre Muhammad Ibn Abdel Wahab Massacre des musulmans de At-Ta’if en Arabie par la Secte des Wahhabites faux salafites Etude référencée sur Ibn Taymiya, ses Déviances et les savants lui ayant répliqué Les Déviances d’Ibn Ibn Taymiya rapportées dans les livres des savants sunnites de son époque et après lui Soyez vigilants et accrochez-vous qu’au Coran et au Prophète Mohammed alaihi salat wa salam, ce sont les seuls guides du musulman. Invoquez la guidance d’Allah Tabaraka wa Taala, et rappelez-vous que nous serons questionnés au Jour du jugement sur chaque acte et parole. Il y a certes des sites dont les responsables ont craint Allah Taala et sont restés fidèles au Coran et au Prophète alaihi salat wa salam, sans citer une partie du Coran ou des Hadiths et en occulter une autre, qu’Allah Taala bénisse leurs efforts et acceptent leurs œuvres, mais plusieurs autres sites de soi disant information islamique, plutôt de désinformation en Islam, ne font que propager les idées cette idéologie absurde et hérétique qui a trahie Allah Taala et son messager. Vous reconnaitrez facilement ces pseudo-sites islamiques, ils s’appuyent sur les Fatwas de leurs savants wahabites, plutôt que sur le Coran et les hadiths du Prophète alaihi salat wa salam, le Prophète qui est d’ailleurs totalement absent de leurs sites, ou lorsqu’il est cité, jamais les hadiths du Prophète sws sur les khawaridjes, leurs signes distinctifs, et leurs égarements comme le Takfir, la sortie armée contre les musulmans que le Prophète a interdit etc … ne seront cités par ces sites, au contraire toute la place sera donnée chez eux aux Fatwas du Sheikh Untel et du Sheikh Ibn untel, à des fins de dounya pour acquérir un bien, un pouvoir ou un statut particulier. Ainsi comment ils remplacent le Prophète alaihi salat wa salam par des prédicateurs égarés dont le Prophète alaihi salat wa salam a mis en garde les musulmans de les suivre. Prenez garde, lorsque vous serez dans la tombe, vous y serez tout seul, nosu y serons tous seuls face au livre de nos actes et paroles, et personne ne pourra rien pour personne, ni les prédicateurs, ni les amis , ni même sa propre famille! Qu’Allah protège cette Ummah des égareurs, égarés, des traitres et des langues hypocrites, ameen Le Prophète alaihi salat wa salam a avertit la Ummah de l’émergence de ces gens qui réciteront le Coran, sans qu’il dépasse leurs gosiers et s’éloigneront de la religion à la vitesse de la flèche qui se dirige vers sa cible, ils égareront les musulmans par la parole enjolivée et manipulatrice, et parmi leurs signes distinctifs lors de leur émergence, ils vont instaurer un rituel de se raser la tête. Et, effectivement il en fut ainsi pour les wahabites de Najd qui obligèrent les musulmans à adopter un nouveau dogme en Islam, et les soumirent à une nouvelle tradition, obligatoire avant de rentrer dans le nouveau dogme, et que personne avant eux n’avait jamais exercé en Islam depuis l’époque du Prophète alaihi salat wa salam, de se raser la tête pour se purifier disaient-ils du Shirk, et devenir des musulmans ! Et c’est bien la prophétie du Prophète alaihi salat wa salam : Des gens venus de l’Est vont apparaitre, ils vont réciter le Coran mais celui-ci ne dépassera pas leurs gosiers, ils s’éloigneront de la religion à à l’allure de la flèche qui se dirige vers la cible. Ils ne reviendront pas [à lIslâm] tant que la flèche n’aura pas regagné son encoche. Leur signe distinctif sera de se raser le crâne.Rapporté par Abu Said Al khudari – Sahih Al Jamie – n°8063. et dans une autre version, le Prophète a ajouté : [..A chaque fois qu’une de leurs générations va disparaitre, d’autres vont apparaitre, et ce, jusqu’à l’apparition du Dajjal parmi les derniers d’entre-eux. Un de leurs signes distinctifs est de se raser la tête. » يخرجُ ناسٌ من قبَلِ المشرِقِ ، يقرؤونَ القرآنَ لا يجاوِزُ تراقِيَهم ، يمرُقونَ مِنَ الدينِ كما يَمْرُقُ السهْمُ من الرمِيَّةِ ، ثُمَّ لا يعودونَ فيه ، حتى يعودَ السهمُ إلى فُوقِهِ ، سِيماهمُ التحليقُ الراوي: أبو سعيد الخدري المحدث: الألباني – المصدر: صحيح الجامع – الصفحة أو الرقم: 8063 خلاصة حكم المحدث: صحيح Il émergera à la fin des temps des gens arrivistes et d’insensés idéalistes. Ils réciteront le Coran, mais il ne dépassera pas leurs gosiers. Is parleront à la manière des meilleures orateurs sur terre, mais ils sortiront de la voie de la religion à l’allure de la flèche qui se dirige vers la cible. Hadith sahih , rapporté par Ibn Massoud, recueilli par Muslim. Compilé par Al Albani dans Sahih Al Jamie – N° 8052. يخرُجُ في آخرِ الزمانِ قومٌ أحداثُ الأسنانِ سفهاءُ الأحلامِ ، يَقْرَؤونَ القرآنَ بألسِنَتِهم ، لَا يُجَاوِزُ تراقِيَهم ، يَقُولُونَ مِنْ قَوْلِ خيرِ البَرِيَّةِ ، يَمْرُقونَ مِنَ الدينِ كمَا يَمْرُقُ السهمُ مِنَ الرَّمِيَّةِ الراوي: عبدالله بن مسعود المحدث:الألباني- المصدر: صحيح الجامع- الصفحة أو الرقم: 8052 خلاصة حكم المحدث: صحيح *** Le Prophète était entrain de réciter une prière «Ô Seigneur béni notre Sham, Ô Seigneur béni notre Yémen», lorsque des compagnons lui dirent : Ô Messager d’Allah et notre Najd ? Il a répondu par «Ô Seigneur béni notre Sham, Ô Seigneur béni notre Yémen», ils lui demandèrent encoreÔ Messager d’Allah et notre Najd ?, jusqu’à la troisième il a dit: «C’est de là que partiront les tremblements et les séditions, et de là qu’émergeront les Cornes de Satan!» Hadith Authentique – Rapporté par Abdallah Ibn Omar – Sahih Bokhari n°7094 ذكَر النبيُّ صلَّى اللهُ عليه وسلَّم : ( اللهمَّ بارِكْ لنا في شامِنا ، اللهمَّ بارِكْ لنا في يَمَنِنا ) . قالوا : يا رسولَ اللهِ ، وفي نَجدِنا ؟ قال : ( اللهمَّ بارِكْ لنا في شامِنا ، اللهمَّ بارِكْ لنا في يَمَنِنا ) . قالوا : يا رسولَ اللهِ ، وفي نَجدِنا ؟ فأظنُّه قال في الثالثةِ : هناك الزلازِلُ والفِتَنُ ، وبها يَطلُعُ قرنُ الشيطانِ الراوي: عبدالله بن عمر المحدث:البخاري – المصدر: صحيح البخاري – الرقم7094 خلاصة حكم المحدث: صحيح **
Posted on: Tue, 12 Nov 2013 20:59:32 +0000

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