UNE COMPARAISON PRECISE Pour conclure, nous voulons encore - TopicsExpress



          

UNE COMPARAISON PRECISE Pour conclure, nous voulons encore aborder quelques traits caractéristiques de l’Antichrist. Paul le désigne comme étant “l’inique”, c’est-à-dire quelqu’un qui s’est défait de la loi. Cela n’a rien à faire avec les exigences établies par la loi de Moïse, mais au contraire il s’agit de la partie révélée de l’histoire du salut dans l’Ancien Testament. Tous ont violé la loi et chacun a transgressé les commandements de Dieu. Il est écrit dans Hébreux 3.5: “Et Moïse a bien été fidèle dans toute sa maison, comme serviteur, en témoignage des choses qui devaient être DITES”. Il s’agit donc du plan de salut qui est esquissé comme une ombre au milieu de toutes les prescriptions de à loi. Dans le sermon sur la montagne, Jésus dit: “Ne pensez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes: je ne suis pas venu pour abolir, mais pour accomplir; car, en vérité, je vous dis: Jusqu’à ce que le ciel et la terre passent, un seul iota ou un seul trait de lettre ne passera point de la loi, que tout ne soit accompli” (Mat. 5.17,18). Sans aucun doute, l’expression “accompli” se rapporte à la partie prophétique, laquelle déjà dans l’Ancien Testament était le coeur de la Parole. Après que le Seigneur soit ressuscité nous lisons ceci à Son sujet dans Luc 24.27: “Et commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliquait, dans toutes les Ecritures, les choses qui le regardent”. Puis aux versets 44 et 45: “Et il leur dit: Ce sont ici les paroles que je vous disais quand j’étais encore avec vous, qu’il fallait que toutes les choses qui sont écrites de moi dans la loi de Moïse, et dans les prophètes, et dans les psaumes, fussent accomplies. Alors il leur ouvrit l’intelligence pour entendre les Ecritures”. Nous trouvons si souvent dans le Nouveau Testament cette expression “comme le dit l’Ecriture” ou “comme il est écrit” et d’autres expressions semblables, et à chaque fois il est question de l’Ancien Testament. Lorsque Jésus prêchait aucune ligne du Nouveau Testament n’avait encore été écrite. Un serviteur de Dieu fera toujours entrer des Paroles de l’Ancien Testament dans la proclamation de l’Evangile. Il nous est dit de Paul: “… plusieurs vinrent auprès de lui dans son logis; et il leur exposait la vérité, en rendant témoignage du ROYAUME DE DIEU, depuis le matin jusqu’au soir, cherchant à les persuader des choses concernant JESUS, et par la LOI DE MOISE, et par les PROPHETES” (Actes 28.23). Seul celui qui proclame le Royaume de Dieu de cette manière apostolique prêchera Jésus et les doctrines bibliques tel que cela se fit dans le christianisme primitif. L’apôtre rend témoignage dans Actes 26.22: “… ne disant rien d’autre que ce que les prophètes et Moïse ont annoncé devoir arriver”. Après que Pierre, dans Actes 15, eut terminé son discours, Jacques prit la parole et dit: “Hommes frères, écoutez-moi: Simon a raconté comment Dieu a premièrement visité les nations pour en tirer un peuple pour son nom. Et avec cela s’accordent les paroles des prophètes, selon qu’il est écrit…” (v.13-15). Mais l’inique soutient sa propre théologie, séparée de l’Ancien Testament, et il interprète le contenu du Nouveau Testament selon son propre jugement. En outre, cet homme porte la désignation de fils de perdition. Cette expression n’avait été employée auparavant que pour un homme, et c’était Judas. Dans Jean 17.12 Jésus dit de lui: “… et aucun d’entre eux n’est perdu, sinon le fils de perdition, afin que l’Ecriture fût accomplie”. De même que Judas se réclamait de Christ, ainsi le fait aussi le fils de perdition qui est traître à la cause de Christ. Dans Jean 13.2 nous lisons: “… le diable ayant déjà mis dans le coeur de Judas Iscariot, fils de Simon, de le livrer…”. Tous deux, aussi bien Judas que l’Antichrist, sont présentés en relation avec le diable. “Jésus leur répondit: N’est-ce pas moi qui vous ai choisis, vous, les douze, et l’un d’entre vous est un diable?” (Jean 6.70). Paul décrit l’Antichrist dans la phase finale par ces mots: “… duquel la venue est selon l’opération de Satan” (2 Thes. 2.9). Ici Paul développe ce sujet en disant que cette opération de Satan se fait connaître par toutes sortes de miracles et de signes et de prodiges de mensonge. Cette parole nous rappelle celle d’Apocalypse 16.13,14: “Et je vis sortir de la bouche du dragon (Satan), et de la bouche de la bête (le dominateur), et de la bouche du faux prophète (l’Antichrist), trois esprits immondes, comme des grenouilles; car ce sont des esprits de démons faisant des miracles, qui s’en vont vers les rois de la terre habitée tout entière, pour les assembler pour le combat de ce grand jour de Dieu le Tout-puissant”. Ce combat aura lieu directement avant l’établissement du Royaume de Dieu. L’Antichrist ne peut prendre le rôle qui lui est réservé que lorsque, d’abord, ce qui le retient est enlevé. Avec cela il est clairement question du Saint-Esprit, Lequel est la Puissance Divine du Dieu vivant qui lui résiste dans l’Eglise. Aussitôt que l’Eglise-Epouse est enlevée, le chemin est alors libre pour l’Antichrist. Cependant lorsque Jésus-Christ reviendra pour l’établissement du Règne de Mille ans, Il le consumera par le souffle de Sa bouche (2 Thes. 2.8). C’est ce qu’Esaïe a déjà prophétisé au chapitre 11, verset 4: “… et il frappera la terre avec la verge de sa bouche, et par le souffle de ses lèvres il fera mourir le méchant”. Pour terminer nous en venons à la plus importante marque de l’antichrist qui devrait tout particulièrement être observée par ceux qui désirent être sauvés. Le disciple préféré de Jésus pose la question suivante dans 1 Jean 2.22: “Qui est le menteur?”. Il répond aussitôt à cette question d’une manière concrète: “… sinon celui qui nie que Jésus est le Christ. Celui-là est l’ANTICHRIST, qui nie le Père et le Fils”. Celui qui nie que le seul Dieu, en tant que Père, s’est révélé dans le Fils (Jean 14.7) est tombé dans le plus grand des mensonges de l’antichrist. Dieu est Esprit (Jean 4.24); Il est éternel, c’est-à-dire qu’Il n’est limité ni dans le temps ni dans l’espace, qu’Il n’est borné par rien qui puisse être mesuré parce qu’Il est sans fin. Tout en étant Un, Il est beaucoup de choses. Il est la Source originelle de toutes choses. Tout d’abord Il vint de Son Esprit infini dans la forme d’un Esprit qui peut être saisi, la théophanie, de telle façon que les hommes puissent Le comprendre et L’aimer d’une manière qui leur fût compréhensible. C’est ainsi qu’Il vint à eux dans le jardin d’Eden et qu’Il se fit connaître dans la période de l’Ancien Testament. Cependant Il voulait que les hommes soient de nouveau transformés à Son image, c’est-à-dire dans l’état d’incorruptibilité. C’est pourquoi Il devait premièrement leur être rendu semblable. Il établit un pont entre l’Eternité insaisissable et le temps qui peut être saisi. Il se révéla ainsi sous la forme d’un homme. Il vint d’un corps spirituel dans un corps de chair. C’est pourquoi Jésus ne peut être nul autre que Dieu Lui-même. En Lui habitait la plénitude de la Divinité corporellement, non pas un tiers seulement de cette Divinité mais toute la plénitude! (Col. 2.9). Ce qu’Il disait en ce temps-là est encore valable aujourd’hui: “Celui qui m’a vu a vu le Père!” (Jean 14.9). Il est Emmanuel, c’est-à-dire: “Dieu avec nous” (Mat. 1.23). L’esprit antichrist nie cela et fait d’un seul Dieu plusieurs personnes distinctes l’une de l’autre qui, de toute éternité, auraient existé l’une à côté de l’autre. Cette doctrine a pour conséquence dernière que du monothéisme on fait un polythéisme. C’est en cela que consiste l’influence antichrist, laquelle s’élève directement contre Christ. En tant que chrétien, Juif et apôtre, Paul écrit de Christ: “… qui est sur toutes choses Dieu béni éternellement. Amen” (Rom. 9.5b). Le Seigneur a dit la même chose autant dans le Nouveau que dans l’Ancien Testament: “Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est un seul Seigneur” (Marc 12.29-32 et Deut. 6.4). Parce que l’humanité s’était perdue, un Sauveur était indispensable. Dans Esaïe 43.10-12, le Seigneur dit ceci: “… avant moi aucun Dieu n’a été formé, et après moi il n’y en aura pas. Moi, moi, je suis l’Eternel, et hors moi il n’y en a point qui sauve… et vous êtes mes témoins, dit l’Eternel, que je suis Dieu”. L’établissement dans la filiation de Dieu pour tout fils et fille de Dieu ne fut possible que parce que Dieu était né comme un enfant et qu’Il est venu sur cette terre comme un Fils. Déjà dans l’Ancien Testament il est écrit au sujet de ce Fils: “Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné, et le gouvernement sera sur son épaule; et on appellera son nom: Merveilleux, Conseiller, Dieu fort, Père du siècle, Prince de Paix” (Esa. 9.6. — Darby). Bien que Dieu en tant que Père se soit révélé dans le Fils, dans la Bible il est toujours question d’un seul Dieu et jamais de deux ou de trois dieux. Dans la Bible nous ne trouvons pas une seule fois la notion de “Dieu en trois personnes” ou de “Dieu triple” ou de “Fils éternel”, ni aucune chose semblable. La doctrine de la trinité n’a pas pris son origine chez les prophètes et les apôtres: elle est le produit de l’esprit antichrist qui a mis la Divinité sens dessus dessous. Chacun devrait avoir les yeux ouverts par ce que Paul écrit: “Et, sans contredit, le mystère de la piété est grand: DIEU A ETE MANIFESTE EN CHAIR, a été justifié en Esprit, a été vu des anges, a été prêché parmi les nations, a été cru au monde, a été élevé dans la gloire” (1 Tim. 3.16). Les trois révélations principales de Dieu n’ont jamais, par aucun prophète ou apôtre, été placées l’une à côté de l’autre comme étant des personnes indépendantes: c’est une philosophie helléniste, une pensée rationnelle de la raison. Ce ne sont pas trois qui sont unis, mais UN sous la révélation de trois formes. Dans le Ciel Il est le Père, c’est pourquoi nous prions: “Notre Père qui es aux Cieux”. Sur la terre Il s’est fait connaître dans le Fils comme notre Sauveur, c’est pourquoi la foi dans le Fils de Dieu est nécessaire à notre salut. Seul celui qui a le Fils a aussi le Père, et par cela il a la Vie éternelle (1 Jean 5.12). Dans l’Eglise, le même Dieu agit jusqu’à la fin par le Saint-Esprit. Premièrement Dieu était au-dessus de nous, puis Il fut au milieu de nous, et finalement Il a fait Sa demeure en nous! L’apôtre Jean formule la chose ainsi: “Or nous savons que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné une intelligence afin que nous connaissions le Véritable, et nous sommes dans le Véritable, savoir dans son Fils Jésus Christ: Lui est le Dieu véritable et la vie éternelle”. Durant les quatre mille ans environ de l’Ancien Testament, pas une seule fois une conversation nous est relatée entre le Père et le Fils. Pendant cet espace de temps pas une seule fois Il n’a dit: “Mon cher Fils, je t’envoie!” Au contraire Il a toujours dit qu’Il viendrait Lui-même, comme par exemple dans Esaïe 35.4-6 et Esaïe 40.3. Lorsque dans le Psaume 2.7 il est écrit: “Tu es mon Fils; aujourd’hui, je t’ai engendré”, cela ne signifie cependant pas qu’il y aurait eu un Fils de Dieu dans le Ciel, et ensuite qu’Il serait descendu sur la terre. Le Nouveau Testament nous relate clairement de quelle manière eurent lieu la procréation et la naissance de Jésus. C’est ainsi que Dieu fut manifesté dans une forme humaine. Lui-même devint un homme. C’est un mystère insaisissable, inexplicable de Son amour divin! En tant que Fils, Il souffrit et mourut, alors qu’en tant que Dieu, Il est immortel. Le rachat s’accomplit dans le corps de Sa chair afin de nous sauver de ce corps de mort (Héb. 2.14,15), et de nous donner la garantie pour la résurrection (1 Cor. 15.50-57). Jésus le Christ est la Parole faite chair, le Logos, le Yahwe qui, de l’Esprit de plénitude de Dieu, se tenant tout d’abord dans un corps spirituel, s’est alors manifesté dans une forme charnelle visible. C’est la pure et pleine Vérité. “Au commencement était la Parole; et la Parole était auprès de Dieu… et la Parole devint chair, et habita au milieu de nous” (Jean 1.1 et 14). Jésus n’est pas seulement identique au Père, Il est un même Etre avec Lui. De même que Dieu (Elohim) s’est révélé en tant que Seigneur (Yahwe) et est pourtant demeuré Le même, ainsi le Père s’est révélé dans le Fils et demeure cependant Le même. L’apôtre ne nous laisse pas dans le trouble au sujet de la provenance du mouvement antichrist, mais au contraire il dit clairement: “Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n’étaient pas des nôtres” (1 Jean 2.19). Ce développement ne vient pas du Judaïsme mais au contraire d’un malentendu de ceux qui autrefois se joignirent aux croyants en Christ sans avoir eux-mêmes fait l’expérience d’une rencontre avec Christ. Déjà dans les premiers siècles après Christ, cette orientation a pris forme. Cependant c’est seulement après le concile de Nicée que tout cela devint une ferme organisation. Tout Juif connaît le premier commandement: “Je suis l’Eternel, ton Dieu… tu n’auras point d’autres dieux devant ma face” (Ex. 20.2,3). Un Juif ne ferait jamais d’un seul Dieu plusieurs idoles. Naturellement que nous rencontrons toujours de nouveau la triple appellation. C’est ainsi que nous lisons par exemple: “Or il y a diversité de dons de grâce, mais le même Esprit; et il y a diversité de services, et le même Seigneur; et il y a diversité d’opérations, mais le même Dieu qui opère en tout” (1 Cor. 12.4-6). Nous disons «Amen!» à cela. C’est pourquoi il ne serait jamais venu à la pensée d’aucun apôtre de dire à cause de cela: “Que Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit vous bénissent!”. La formulation de “Dieu le Fils” et de “Dieu le Saint-Esprit” ne se trouve même pas une seule fois dans la Bible. L’origine est toujours donnée clairement. En lisant les Ecritures nous trouvons: “Fils de Dieu” ou “Esprit de Dieu”. Un Dieu triple aurait été en vérité un Dieu étrange. Pour l’observateur superficiel, la doctrine de Christ et celle de l’antichrist ont parfois des ressemblances ahurissante, mais elles ne coïncident jamais et dans le fond elles sont totalement différentes. Le Christ que l’antichrist prêche n’est absolument pas le Christ de la Bible. Sans aucun doute, seul celui à qui Dieu a ouvert les yeux peut le voir (Luc 10.22). La puissance antichrist était déjà agissante dans le christianisme primitif à son commencement. Jean appelle les représentants de cette doctrine des faux prophètes, et il donne un avertissement dans 1 Jean 4.1-3: “Bien-aimés, ne croyez pas tout esprit, mais éprouvez les esprits pour voir s’ils sont de Dieu, car beaucoup de faux prophètes sont sortis dans le monde. Par ceci vous connaissez l’Esprit de Dieu: tout esprit qui confesse Jésus Christ venu en chair est de Dieu, et tout esprit qui ne confesse pas Jésus Christ venu en chair n’est pas de Dieu; et ceci est l’esprit de l’antichrist, duquel vous avez ouï dire qu’il vient, et déjà maintenant il est dans le monde”. Ce n’est pas seulement l’Antichrist lui-même qui se conduit comme un faux prophète quant à la doctrine, mais il y a aussi beaucoup de faux prophètes et de faux christs contre lesquels le Seigneur nous met en garde (Mat. 24). Tous ceux, qu’ils soient prédicateurs ou évangélistes, qui publient la fausse doctrine sur la divinité et le baptême etc. qu’ils ont reprise du faux prophète, se trouvent être en opposition avec la Parole de Dieu, et de cette manière ils sont également de faux prophètes et appartiennent spirituellement au camp de l’antichrist. Le mot “Christ” signifie en vérité “Oint”: de faux christs sont donc de faux oints. Il y a des personnes, même des personnes faisant des miracles, qui malgré leur onction, soutiennent de fausses doctrines traditionnelles de l’antichrist. C’est pourquoi il est écrit qu’à la fin le faux sera tellement proche du vrai que même les élus seraient séduits, s’il était possible. Cependant ils ne peuvent pas être séduits parce que la Parole de Dieu, par l’Esprit de Dieu, sera scellée en eux. Jésus se rapporte à ceux qui manifestent les dons de l’Esprit et qui cependant sont faux lorsqu’Il dit: “Ce ne sont pas tous ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur, qui entreront dans le royaume des cieux; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là: Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé en ton nom, et n’avons-nous pas chassé des démons en ton nom, et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles en ton nom? Et alors je leur déclarerai: Je ne vous ai jamais connus; retirez-vous de moi, vous qui pratiquez l’iniquité!” (Mat. 7.21-23). Il ne sert à rien de répéter les professions de foi qui nous ont été transmises; celles-ci doivent être éprouvées par la Parole, car c’est conformément à Sa Parole que le Seigneur jugera. L’Esprit de Dieu dira toujours en tout point la même chose. La même chose se retrouvera dans tous les serviteurs que le Seigneur a établis Lui-même. En même temps il ne s’agit pas de réciter une confession des lèvres mais bien comme Paul l’exprime dans 1 Corinthiens 12.3: “… et que nul ne peut dire ’Seigneur Jésus’ Si ce n’est pas l’Esprit Saint”. En tant que Seigneur Il est Dieu et c’est de cela qu’il s’agit. Ce n’est que lorsque dans une pleine conviction de foi on peut dire: “Jésus est le Seigneur” que l’on a reçu la révélation par l’Esprit que Yahwe (YHWH) et Jésus sont le même Seigneur. Celui qui ne croit pas cela se trouve dans la tromperie antichrist, peu importe à quelle assemblée religieuse il appartienne. Le verset suivant est un défi à celui qui a l’intention de s’éprouver soi-même. Celui qui a l’Esprit de Christ croira ce que le Seigneur ressuscité a dit: “Moi, je suis l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, et qui était, et qui vient, le Tout-puissant” (Apoc. 1.8). C’est le témoignage personnel de notre Sauveur qui se présente comme le Tout-puissant. Ou alors quelqu’un pense-t-il qu’il y aurait plus d’un Tout-puissant? Dieu et chacune de Ses révélations se trouve au singulier. C’est ainsi qu’il y a un seul Créateur, un seul Sauveur, un seul Roi, un Seul qui soutient toutes choses et ainsi de suite. Il n’y a qu’un Père, qu’un Fils et qu’un Esprit Saint. Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul salut, une seule Eglise et ainsi de suite. Tout ce qui est sorti de Dieu existe au singulier dans toute sa grande diversité. Nous ne soutenons pas ici la doctrine des “Jésus Seul”. Jésus ne s’est pas engendré Lui-même, pas plus que lors de Ses prières Il ne s’est entretenu avec Lui-même. Comme toujours la Vérité se situe au milieu. La pensée principale qui se trouve au fond de cet exposé est que maintenant à la fin, la doctrine biblique pure et non falsifiée soit rétablie. Ce n’est que lorsque cet Evangile éternel du Royaume sera prêché en témoignage à toutes les nations que viendra la fin (Mat. 24.14). Tout docteur de la Bible, ou lecteur de la Bible, devrait faire une comparaison exacte, profonde et fondamentale. Le Christ qui nous est présenté dans les dénominations devrait être comparé au Christ que nous trouvons décrit dans la Bible. La même chose est valable au sujet de la conviction qui se trouve ancrée dans la pensée de tous les croyants, que celui qui se déclare pour Christ serait de Dieu. A cause de cette manière de voir généralement soutenue, beaucoup de gens ont de la peine à reconnaître l’antichrist tel que l’Ecriture l’entend réellement. Parce que dans le monde entier devant les foules rassemblées de toutes nationalités, de toutes religions il se réclame de Christ, la plupart des gens ne peuvent pas se représenter que précisément cet homme puisse être le plus grand adversaire de Christ. Prenons par exemple la visite historique du pape en Inde où, devant une immense foule d’Hindous, il s’écria. «Christ se trouve dans toutes les religions!». A ce propos nous devons poser cette question: «Quel Christ?». Celui que Marie tient dans ses bras? celui que l’on a confectionné avec un matériel quelconque et que l’on a collé à un crucifix? celui que l’on présente à n’importe quelle fin? celui que l’on a fait soi-même d’une pièce de pâtisserie, et qu’en prononçant «Sanctus, Sanctus, Sanctus!» on en fait un Christ? le Christ que Marie peut influencer? celui auprès duquel on a placé une armée d’intercesseurs? le Christ dont l’Ascension pâlit loin derrière l’Assomption de Marie qui comme on le prétend, a été enlevée dans son corps et dans son âme? le Christ qui est supplanté par la «reine du Ciel»? Le Christ que l’église du pape présente n’est pas le Christ de Dieu; c’est un Christ formé et placé selon les besoins. Un tel Christ est à l’aise partout où on le dresse, où on l’étend, où on le porte car il est toujours exactement tel que nous en avons besoin au moment opportun. Pourtant ce n’est pas le Christ qui nous est décrit dans la Bible, Celui que nous connaissons comme Seigneur, comme Sauveur, comme Roi, comme Juge et que nous rencontrerons finalement comme Dieu. Une confession d’un Christ quelconque ne signifie absolument rien; les esprits doivent être éprouvés, les doctrines doivent être comparées. Le Christ de la Bible n’est pas tel que nous L’imaginons. Il surpasse toute représentation et Il est Le même hier; aujourd’hui et pour l’éternité (Héb. 13.8). Comme nous l’avons vu dans toutes les Ecritures que nous avons citées Christ Lui-même se référa toujours à la Parole de Dieu. C’est pourquoi nous devons une fois encore insister et dire qu’en appeler verbalement à Christ et n’avoir qu’une simple confession de Christ ne sert à rien si cela n’est pas tel que l’Ecriture le dit et l’exige. Chacun doit prendre sa décision pour soi-même et savoir en qui il veut croire et en qui il veut se confier. Nous ne pouvons donner ici qu’un conseil, c’est de s’expliquer d’une manière vraiment critique et rigoureuse dans les choses spirituelles et ne croire que Dieu et Sa Parole. Nous vivons maintenant peu avant l’achèvement du temps de la grâce. Toutes les vérités bibliques doivent à nouveau être remises sur le chandelier sans compromis. Dans les différents âges, ils furent nombreux les prédicateurs de réveils à publier les vérités bibliques qui avaient été perdues, et cela malgré l’opposition des églises établies. Beaucoup d’entre eux durent perdre leur vie à cause de la Parole de Dieu. Tous les véritables croyants sont appelés à combattre pour la foi qui a été transmise une fois pour toutes aux saints de Christ (Jude 3). Nous avons été placés maintenant dans la lutte spirituelle finale. Dans la mesure où nous nous trouvons aux côtés de Dieu, Il sera avec nous jusqu’à ce que de la foi nous passerons dans les choses que nous verrons. Les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre l’Eglise de Dieu (Mat. 16.18). Je souhaite du fond du coeur à tous les lecteurs les riches bénédictions de Dieu.
Posted on: Fri, 02 Aug 2013 17:06:03 +0000

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