Un marin à en donner la nausée, habitué aux marées. Je voulais - TopicsExpress



          

Un marin à en donner la nausée, habitué aux marées. Je voulais lenlever dans une violente tempête, il ma dit Ferme-la ! Une femme ça cause pas autant pendant que les hommes parlent Jai aimé, du brut, du vrai ... du pur. Il ne sait ni flirter ni dire je taime. Samarrer à une amouracheuse vicieuse, qui gesticule pour dissimuler ou simuler ses choses qui bougent en elle. Cest si éprouvant quil préfère encore sétouffer que davouer avoir le sifflement dun vent, lâcher un temps ses filets. Préfère encore pêcher les couteaux de sa mer. Jen veux à son équipage, à ses voiles et cales. Lui et ses si lourdes valises, portées comme on jette des balises, question de survie. Il veut me mettre la pression, il sent des choses et je le vois dans ses yeux. Si brut, quil a dû recouvrir des instincts primaires, quelque chose de très animal, le 6ème sens? Ca mattire excite mon côté obscure. Jai voulu un marin, jai détourné le capitaine. Jai voulu un bateau jai acheté le port. Pas besoin de sortir grandes voiles pour draper une femme de son sincère désir. Les hommes dici cultivent le silence, quand il se dévoilent enfin un brin, il nous font enfiler les perles, laver les pieds et même quand ils sont capitaines chanter sous leau. Leur silence recouvre toute notre personne, cest envahissant comme sensation, quelquun qui prend le temps de vous regarder dans le silence, de haut en bas et de lire dans ses pensées, entendre ses saletés sans que cela ne quitte sa bouche gercée par le sel, par le sale et par le mal. Dans ses propres codes et formules, je comprends quil se retient de fauter, ou de men coller une quand jen remets une couche. Cest pour moi lhomme à la bicyclette, qui moffrit une ballade mixée par le vent et les odeurs du port, portée sur le guidon me ramena en sécurité chez moi. Cest avec beaucoup de respect, quil ma remise à place. Sans céder à ses pulsions. Je les ai vues, le les ai lues. Ailleurs dans une autre vie, jaurais pris le couteau à pain posé sur mon plan de travail, tenu par les cheveux, je laurais embrassé jusque dans le fond de la gorge avant de lui la trancher et sentir la lame frôler le bout de ma langue. Certes, il aurait fallu que je tue les autres invités, mais ce soir là je nétais pas venue pour du sang et des viscères. Jétais venue pour revoir lhomme N9, lhomme terre à terre.... Il porte Chanel... Il dit que pour prolonger le désir de lautre, il vole le parfum des femmes et shabille de leur parfum à chaque fois quil les voit.... Etrange non? Mon parfum? Poison .... Lana MooreUn marin à en donner la nausée, habitué aux marées. Je voulais lenlever dans une violente tempête, il ma dit Ferme-la ! Une femme ça cause pas autant pendant que les hommes parlent Jai aimé, du brut, du vrai ... du pur. Il ne sait ni flirter ni dire je taime. Samarrer à une amouracheuse vicieuse, qui gesticule pour dissimuler ou simuler ses choses qui bougent en elle. Cest si éprouvant quil préfère encore sétouffer que davouer avoir le sifflement dun vent, lâcher un temps ses filets. Préfère encore pêcher les couteaux de sa mer. Jen veux à son équipage, à ses voiles et cales. Lui et ses si lourdes valises, portées comme on jette des balises, question de survie. Il veut me mettre la pression, il sent des choses et je le vois dans ses yeux. Si brut, quil a dû recouvrir des instincts primaires, quelque chose de très animal, le 6ème sens? Ca mattire excite mon côté obscure. Jai voulu un marin, jai détourné le capitaine. Jai voulu un bateau jai acheté le port. Pas besoin de sortir grandes voiles pour draper une femme de son sincère désir. Les hommes dici cultivent le silence, quand il se dévoilent enfin un brin, il nous font enfiler les perles, laver les pieds et même quand ils sont capitaines chanter sous leau. Leur silence recouvre toute notre personne, cest envahissant comme sensation, quelquun qui prend le temps de vous regarder dans le silence, de haut en bas et de lire dans ses pensées, entendre ses saletés sans que cela ne quitte sa bouche gercée par le sel, par le sale et par le mal. Dans ses propres codes et formules, je comprends quil se retient de fauter, ou de men coller une quand jen remets une couche. Cest pour moi lhomme à la bicyclette, qui moffrit une ballade mixée par le vent et les odeurs du port, portée sur le guidon me ramena en sécurité chez moi. Cest avec beaucoup de respect, quil ma remise à place. Sans céder à ses pulsions. Je les ai vues, le les ai lues. Ailleurs dans une autre vie, jaurais pris le couteau à pain posé sur mon plan de travail, tenu par les cheveux, je laurais embrassé jusque dans le fond de la gorge avant de lui la trancher et sentir la lame frôler le bout de ma langue. Certes, il aurait fallu que je tue les autres invités, mais ce soir là je nétais pas venue pour du sang et des viscères. Jétais venue pour revoir lhomme N9, lhomme terre à terre.... Il porte Chanel... Il dit que pour prolonger le désir de lautre, il vole le parfum des femmes et shabille de leur parfum à chaque fois quil les voit.... Etrange non? Mon parfum? Poison .... Lana MooreUn marin à en donner la nausée, habitué aux marées. Je voulais lenlever dans une violente tempête, il ma dit Ferme-la ! Une femme ça cause pas autant pendant que les hommes parlent Jai aimé, du brut, du vrai ... du pur. Il ne sait ni flirter ni dire je taime. Samarrer à une amouracheuse vicieuse, qui gesticule pour dissimuler ou simuler ses choses qui bougent en elle. Cest si éprouvant quil préfère encore sétouffer que davouer avoir le sifflement dun vent, lâcher un temps ses filets. Préfère encore pêcher les couteaux de sa mer. Jen veux à son équipage, à ses voiles et cales. Lui et ses si lourdes valises, portées comme on jette des balises, question de survie. Il veut me mettre la pression, il sent des choses et je le vois dans ses yeux. Si brut, quil a dû recouvrir des instincts primaires, quelque chose de très animal, le 6ème sens? Ca mattire excite mon côté obscure. Jai voulu un marin, jai détourné le capitaine. Jai voulu un bateau jai acheté le port. Pas besoin de sortir grandes voiles pour draper une femme de son sincère désir. Les hommes dici cultivent le silence, quand il se dévoilent enfin un brin, il nous font enfiler les perles, laver les pieds et même quand ils sont capitaines chanter sous leau. Leur silence recouvre toute notre personne, cest envahissant comme sensation, quelquun qui prend le temps de vous regarder dans le silence, de haut en bas et de lire dans ses pensées, entendre ses saletés sans que cela ne quitte sa bouche gercée par le sel, par le sale et par le mal. Dans ses propres codes et formules, je comprends quil se retient de fauter, ou de men coller une quand jen remets une couche. Cest pour moi lhomme à la bicyclette, qui moffrit une ballade mixée par le vent et les odeurs du port, portée sur le guidon me ramena en sécurité chez moi. Cest avec beaucoup de respect, quil ma remise à place. Sans céder à ses pulsions. Je les ai vues, le les ai lues. Ailleurs dans une autre vie, jaurais pris le couteau à pain posé sur mon plan de travail, tenu par les cheveux, je laurais embrassé jusque dans le fond de la gorge avant de lui la trancher et sentir la lame frôler le bout de ma langue. Certes, il aurait fallu que je tue les autres invités, mais ce soir là je nétais pas venue pour du sang et des viscères. Jétais venue pour revoir lhomme N9, lhomme terre à terre.... Il porte Chanel... Il dit que pour prolonger le désir de lautre, il vole le parfum des femmes et shabille de leur parfum à chaque fois quil les voit.... Etrange non? Mon parfum? Poison .... Lana Moore
Posted on: Tue, 05 Nov 2013 20:13:43 +0000

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