Un trou noir supermassif découvert dans la nébuleuse - TopicsExpress



          

Un trou noir supermassif découvert dans la nébuleuse d’Orion... Lhéliosphère est une zone en forme de bulle allongée dans lespace, engendrée par les vents solaires. Sa limite est lhéliopause, qui délimite la zone dinfluence des vents solaires, lorsquils rencontrent le milieu interstellaire. Le vent solaire consiste en la projection de particules atomiques (essentiellement protons et électrons) par la haute atmosphère de notre étoile, le Soleil. Ce plasma impose une pression (une sorte de souffle) vers lextérieur du système solaire et repousse le flux de particules similaires mais provenant de lespace lointain. La forme de la bulle ainsi produite nest que très approximativement sphérique et reste sujette à controverses scientifiques, mais les éléments principaux en sont relativement bien définis. Linteraction gravitationnelle de lantimatière avec la matière ou avec lantimatière na pas été observée par les physiciens dans des conditions permettant den tirer des conclusions. Un consensus écrasant règne parmi les physiciens selon lequel lantimatière attirerait aussi bien la matière que lantimatière de la même façon que la matière attire la matière (et lantimatière). Cependant, il existe aussi une volonté très affirmée den obtenir des preuves expérimentales, étant convenu quun consensus en sciences nest rien dautre quune hypothèse ouverte aux falsifications. La rareté de lantimatière et sa tendance à sannihiler (en) lorsquelle entre en contact avec la matière rendent son étude techniquement très exigeante. La plupart des méthodes permettant la création dantimatière (spécifiquement de lantihydrogène) produisent des atomes de haute énergie, impropres aux études sur la gravité. Ces dernières années, les consortium ATHENA et ATRAP ont successivement créé de lantihydrogène de basse énergie, mais les observations ont jusquici été limitées méthodiquement à des évènements dannihilation qui nont produit que pas ou peu de données gravitationnelles. Grâce à des modèles informatiques hypersophistiqués, des astrophysiciens viennent de lever le voile sur le mystère des ensembles d’étoiles se déplaçant à vitesse rapide dans la nébuleuse d’Orion. Ces mouvements indisciplinés seraient dus à la présence d’un trou noir supermassif. La liste des trous noirs découverts dans lUnivers sallonge. Une nouvelle étude publiée dans la revue Astrophysical Journal révèle en effet la présence d’un trou noir supermassif jusqualors inconnu et situé dans la fameuse nébuleuse d’Orion, également connue sous le nom de Messier 42 (ou M42). Or, si cette découverte est déjà intéressante, elle savère également importante car elle permet dexpliquer comment certaines étoiles sont retenues dans cette nébuleuse. Cest la colossale force gravitationnelle de ce trou noir de 200 fois la masse du Soleil qui les maintient ensemble... Un trou noir supermassif est, en astrophysique, un trou noir dont la masse est d’environ un million à un milliard de masses solaires. C’est le type de trou noir le plus massif, bien avant le trou noir primordial (encore hypothétique), le trou noir stellaire et le trou noir intermédiaire. Une planète tellurique (du latin tellus, « la terre », « le sol »), en opposition aux planètes gazeuses, est une planète composée de roches et de métaux qui possède en général trois enveloppes concentriques (noyau, manteau et croûte). Sa surface est solide et elle est composée principalement déléments non volatils, généralement des roches silicatées, du métal et du fer. Sa densité est donc relativement importante et comprise entre 4 et 5,5. Dans notre Système solaire, les planètes telluriques sont les quatre planètes internes, situées entre le Soleil et la ceinture dastéroïdes : Mercure, Vénus, la Terre et Mars. La Lune ainsi que Io, la première des quatre grosses lunes de Jupiter, ont une structure similaire et pourraient donc aussi être qualifiés de telluriques. Les planètes telluriques sont beaucoup plus petites que les planètes gazeuses mais ont une densité beaucoup plus élevée car elles sont composées de fer et de silicates. On recherche activement des planètes de ce genre parmi les systèmes planétaires autres que le nôtre, mais leur détection est rendue difficile étant donné que leur masse est faible en comparaison à celle des géantes gazeuses et des étoiles. Plusieurs planètes telluriques ont été découvertes grâce à ce télescope : par exemple, Gliese 581 c en avril 2007 (une autre semblait avoir été découverte, OGLE-2005-BLG-390Lb, le 26 janvier 2006) et Kepler-186, de taille terrestre et dans la zone habitable de son étoile le 17 avril 2014. Le programme Voyager est un programme dexploration robotique de lagence spatiale américaine de la NASA dont lobjectif est détudier les planètes extérieures du Système solaire. Il comprend deux sondes spatiales identiques Voyager 1 et Voyager 2 lancées en 1977 qui ont survolé les planètes Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune ainsi que 48 de leurs lunes. Les données collectées par les 9 instruments portés par chaque sonde en font sans doute la mission dexploration du Système solaire la plus fructueuse sur le plan scientifique de toute lhistoire spatiale. Les sondes Voyager sont les premières à effectuer un survol dUranus et Neptune et les secondes à étudier Jupiter et Saturne. Voyager 1 et 2 (3) ont permis dobtenir des informations détaillées sur latmosphère de Jupiter, Saturne et Uranus et ont amélioré notre compréhension de la composition de latmosphère de Jupiter. Les sondes Voyager ont révélé de nombreux détails sur les anneaux de Saturne, permis de découvrir les anneaux de Jupiter et ont fourni les premières images détaillées des anneaux dUranus et de Neptune. Les sondes ont découvert en tout 33 nouvelles lunes. Elles ont révélé lactivité volcanique de Io et la structure étrange dEurope. La NASA met sur pied en 1972 le programme Voyager pour exploiter une conjonction des planètes extérieures exceptionnelle qui doit permettre aux sondes de survoler plusieurs des planètes pratiquement sans dépense en carburant, en utilisant lassistance gravitationnelle. Malgré les contraintes budgétaires liées à un climat économique et politique peu favorable à lespace, la NASA après avoir renoncé à un projet plus ambitieux, parvient à construire deux engins parfaitement adaptés à ce programme complexe comme vont le prouver la longévité et la qualité du matériel scientifique récolté par les deux sondes. Voyager 1 et 2 sont dans leur catégorie des engins lourds, 800 kg à comparer aux 235 kg des sondes Pioneer chargées de jouer le rôle déclaireur, car elles emportent plus de 100 kg dinstrumentation scientifique. Les sondes Voyager sont, en 2014, toujours en état de fonctionnement ; plusieurs de leurs instruments continuent à transmettre des informations sur le milieu environnant. Voyager 1 a quitté lhéliosphère en décembre 2004 pour se diriger vers lhéliopause qui marque la limite de linfluence du vent solaire. En septembre 2013, la sonde devient officiellement le premier objet de fabrication humaine à sortir de notre Système solaire, mais elle en était déjà sortie depuis le mois daoût 2012. Se déplaçant à plus de 17 km/s par rapport au Soleil, Voyageur 1, porteur dun message symbolique de lHumanité, devrait être la première sonde spatiale à passer à proximité dune autre étoile dans 40 000 ans. Bien avant, vers 2020, la sonde aura cessé de fonctionner du fait de la défaillance des thermocouples des générateurs thermoélectriques à radioisotope qui lui fournissent son énergie... Un générateur thermoélectrique à radioisotope (RTG en anglais, pour Radioisotope Thermoelectric Generator ; en français : GTR) est un générateur électrique nucléaire de conception simple, produisant de lélectricité à partir de la chaleur résultant de la désintégration radioactive de matériaux riches en un ou plusieurs radioisotopes, généralement du plutonium 238 sous forme de dioxyde de plutonium 238PuO2. Aujourdhui, la chaleur est convertie en électricité par effet Seebeck à travers des couples thermoélectriques : les générateurs produits au siècle dernier utilisaient des matériaux silicium-germanium, ceux produits actuellement mettent en œuvre plutôt des jonctions PbTe/TAGS, avec une efficacité énergétique natteignant jamais 10 %. Pour améliorer ces performances, les recherches actuelles sorientent vers des convertisseurs thermoïoniques et des générateurs Stirling à radioisotope, susceptibles de multiplier le rendement global par quatre. De tels générateurs sont mis en œuvre en astronautique pour lalimentation électrique des sondes spatiales, et plus généralement pour alimenter en électricité des équipements requérant une source dénergie stable et fiable capable de fonctionner de façon continue sur plusieurs années sans maintenance directe — par exemple pour des applications militaires, sous-marines, ou en milieu inaccessible ; on avait ainsi conçu des générateurs miniatures pour stimulateurs cardiaques au 238Pu, aujourdhui remplacés par des technologies plus « vertes » reposant sur des batteries lithium-ion, et de tels générateurs de conception plus simple fonctionnant au strontium 90 ont été utilisés par le passé pour léclairage de certains phares isolés sur les côtes de lURSS. En comparaison dautres équipements nucléaires, le principe de fonctionnement dun générateur à radioisotope est simple. Il est composé dune source de chaleur constituée dun conteneur blindé rempli de matière radioactive, percé de trous où sont disposés des thermocouples, lautre extrémité des thermocouples étant reliée à un radiateur. Lénergie thermique traversant les thermocouples est transformée en énergie électrique. Un module thermoélectrique est un dispositif constitué de deux sortes de métaux conducteurs, qui sont connectés en boucle fermée. Si les deux jonctions sont à des températures différentes, un courant électrique est généré dans la boucle...
Posted on: Wed, 17 Dec 2014 08:24:18 +0000

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