"Une princesse dans les bras de son fils" : Chapitres: - TopicsExpress



          

"Une princesse dans les bras de son fils" : Chapitres: 3-4 Chapitre: 3 Après ces subites présentations, entre Pfarrer Schneider, Michel et Chou Muna, la situation semblait presque consommée. C’était l’été de l’année mil neuf cent quatre vingt treize. Ce début de mois de juillet allait réserver assez de surprises à Chou Muna. Il découvrait le continent européen. Il le faisait assez bien pour tout ce qu’il ne lui offrait qu’en expériences. Elles étaient déjà nombreuses. Chaque jour qui passait lui apportait encore une si bonne précision sur tel lieu dans lequel il se retrouvait désormais. Dans le regard de Pfarrer Schneider, il y avait une permanente inquiétude. Au départ, il n’avait pas apprécié cette situation. Pendant ces premiers jours, il se montra assez inquiet. Très probablement, il voyait déjà une charge de plus. Il avait aussi éventuellement discuté avec Michel, au cours de ces moments pendant lesquels ils se rencontraient. Ils travaillaient parfois qu’ensemble. Michel avait un petit emploi à tout faire dans cette paroisse qui était tenue par Pfarrer Schneider. Il exerçait en qualité de « Küster », un sacristain. Cela représentait une bonne source de revenus à partir desquels il pouvait pour si bien juste que couvrir, d’aussi moins que les frais de son loyer. Pfarrer Schneider et lui n’avaient que très probablement tenu autre temps de bonne discussion, pour tel besoin d’avoir plus amples renseignements sur les conditions de réalité que connaissait Chou Muna, qu’alors, il importait de saisir les circonstances qui l’ont conduit à nécessiter un abri en cet immeuble. Il fallait rassurer le curé. Il avait le sentiment d’avoir été pris de court pendant que Chou Muna fut admis à partager des nuits chez Michel. Il est bien vrai que tout homme préfère tel si bel état de grande liberté que Michel avait connu bien avant que Chou Muna ne vînt. Michel avait été prié de recevoir Chou Muna chez lui. Ce fut d’aussi semblable que renvoyer l’ascenseur. Pour des débuts, d’encore pareil que par tant de difficultés que connaissent bien de nombreuses personnes en ces lieux, il fut aussi aidé. Ceux qui lui permirent d’effectuer des premiers pas en ce monde, le prièrent de bien vouloir accueillir Chou Muna. Michel, malgré quelques protestations, ne le fit que très entièrement, pour tel temps pendant lequel Chou Muna était dans ce si grand besoin. Il est indiscutable que l’expression de la misère soit aussi un poids pour un homme. Tout humain ne peut s’échapper à apprécier les choses sous cette réalité, quand bien même il serait une autorité religieuse. La misère, le sens du besoin, l’interpellation à apporter du secours provoquent toujours de la réflexion, de l’interrogation, parfois de la préparation. Pendant ces premiers jours, le curé s’était montré assez courtois, très humain, bien serviable. Chou Muna pouvait désormais descendre en toute tranquillité. Il lui arrivait aussi de remonter quand il le pouvait. Il s’arrangeait néanmoins. Il devait se montrer le moins possible. La disposition des choses dans cet immeuble ne favorisait pas très bien des va-et-vient de personnes autres que celles qui étaient en charge des missions de l’église. Lorsqu’on descendait les marches de cet escalier qui servait de passerelle, de liaison entre les différents niveaux, il fallait absolument franchir le seuil de l’appartement du curé. On atteignait ensuite le rez-de-chaussée, qui abritait la salle des machines, le secrétariat du curé, la salle de réception, et après la salle d’attente, la porte qui conduisait à la cave, une salle de réunion à l’extrémité, bien avant la grande porte principale. Pour telle courte distance, ce parcours qui allait de l’appartement qu’on occupait, on était bien souvent amené à rencontrer quelqu’un, un visiteur, un fidèle, qu’assez souvent un membre de la paroisse. Toutefois que cela survenait, on pouvait toujours observer un certain étonnement, une interrogation. Les occupants des appartements étaient bien connus. Pour ces premiers jours on voyait un individu inhabituel, et cela obligeait pour si moindre que conduire à des questionnements. Il va de soi que l’étrangéité provoque la surprise, qu’à la limite, de l’interrogation. Pour le cas de Chou Muna, ne répondant pas à cette adresse, cela posait déjà un problème. Il était un visage nouveau. Un de plus, devaient sans doute se dire bien de personnes. Cela n’était forcement pas méchant. La différence, pour si évidente qu’elle se montrait, obligeait un peu à la curiosité. Tout dépendait de la façon donc les uns et autres parvenaient encore à l’apprécier. Chou Muna était un homme venant de Nigritie. Cela se voyait. Pour tout le reste, il le ressentait. Tout le distinguait. Aussi, les stéréotypes étaient là. Il était désormais actif dans la société occidentale. Elle était aussi belle pour avoir une si grande évolution qui ne la débarrasse pas de ces principes, qu’à la fois de ces préjugés. On voyait de plus en plus de visages d’hommes originaires de Nigritie. Cela suscitait des interrogations, beaucoup mieux des humeurs. Les hommes en tel milieu restaient bien affables. Pour ces débuts, Chou Muna avait l’impression de ne rencontrer que des personnes assez aimables. Certes, elles avaient de bien bonnes éducations, pour l’essentiel. Elles ne manquaient pas souvent de se montrer respectueuses pour telle occasion qu’elles pouvaient tenir, lorsqu’elles disaient leur si simple curiosité pour toute circonstance les conduisant à s’enquérir de son origine, de son pays, des raisons qui expliquaient sa présence dans leur pays. Toutes ces personnes savaient surtout nourrir leurs curiosités. Elles vérifiaient aussi tel qui leur fut enseigné, pour quelle justesse ils savaient bien retenir autre enseignement pour lequel on laissait entendre que les hommes venant de Nigritie apportaient peu dans leur pays. Ils pensaient qu’ils n’étaient là, en réalité, que pour des raisons qui expliquent les difficultés économiques qui sont récurrentes et presque chroniques dans leurs pays. Ils étaient des hommes qui venaient demander, chercher, solliciter, quémander, et même que parfois importuner. Ils étaient des charges. Faire des études, pour telle raison qu’ils ne manquaient de donner, passait assez souvent pour un maladroit prétexte. On l’appréhendait, et cela malgré le fait qu’on soit encore persuadé du concret pour lequel on venait à accepter que les allemands restaient des personnes ravissantes, qu’alors étaient bien accessibles. Ils restaient abordables. Ils se montraient que parfois assez sensibles. On pouvait voir combien ils s’essayaient à être bien raffinés. Pour telle première rencontre, ce fut en tout cas l’expression encore subtile que Chou Muna retenait d’eux. Michel et tous les autres lui avaient déjà dit combien les allemands étaient exacerbés par cette question de demandeurs d’asile. Il y en avait de plus en plus. Totalement inquiétés, d’autre qu’un ras-le-bol, ils comprenaient qu’ils avaient davantage affaire aux exilés économiques. Chapitre: 4 Pour tel moment, il fut bien difficile à Chou Muna d’admettre le fait suivant lequel, le réel est aussi expressif que pour tel qu’on appréhende sans souci de se tromper. Il est d’aussi lisible que d’existant. On se servirait d’un bel sens pour le découvrir que d’encore visible. Rien ne s’y échappe qui ne soit pas concret. Qu’inqualifiable, il ne le devient que par sa matérialité. Elle est telle valeur que rien ne contourne. Elle ne définit l’essentiel que pour ce qui existe. Rien n’est aussi exception que ne pas parvenir à renverser l’extraordinaire valeur physique qui fasse sa particularité. Chou Muna ne dut pas habituellement avouer qu’elle ne se confond pas si souvent à toute autre nature, et de fait, pas pour ce qu’il en est, de ce qui demeure palpable, distinguable pour faire cas de bonne originalité tangible. Lorsqu’on y parvient, certainement, on exprime une énorme félicité. D’aventure, s’il n’était que cas d’échec, probablement on porterait l’essentiel qui s’affirme en une frustration, et que de raison, car on serait tel qui partagerait un sentiment d’injustice, pour ce qui ne serait pas approprié, ce qui ne serait pas mérité, ce qui ne comblerait pas une volonté qui n’entend pas reculer face à toute cause qui ne conduirait qu’à l’infortune. Chez Chou Muna, il fut parfois compliqué de confesser, combien il faut bien dire un plaisir pendant qu’on est tel qui se sait soi-même. Certainement, il ne fut pas facile de convenir en telle perception, que d’autre valeur, puisqu’on n’aurait pas fait un procès à ceux qui sont sans répit pour faire triompher leur course derrière l’enjeu affirmé pour toute merveille. Il n’est pas un tort qu’on saurait leur faire porter pendant qu’on admettrait qu’il en est du fondamental qui participe de la considération qu’ils témoignent au dit de leur célébrité. Ils ont construit une notoriété par tel acquis qui les définit en une image qui symbolise leur idéalité. On ne peut pas le leur enlever. Autre tentative est source de tensions et de troubles. Comment se solderait une telle situation ? Le passé sait encore bien l’affirmer. Si peu encore, Chou Muna devait véritablement y consentir. Les souffrances humaines viennent souvent par tant d’excès en ces démonstrations de graves indignités qu’on fait tôt de qualifier de victoires, de finalité, de triomphe. Il n’y a de rang que celui qui accorderait une sainteté. Il n’est de belle réputation que celle qui étalerait les vertus qui soient manifestes d’une bonté. L’indigent est celui qu’on garde à l’ombre. Pour telle sentence de la nature, il fut vaincu. Il est un homme sans trésor. Sa fin est celle qu’on retient pour tel objet qui désigne un soumis. Il sera celui qui subira bien de colères. Il devra s’adapter. Il ne fera preuve de juste humanité que lorsqu’il se convaincra de cette situation à toute assiduité que proche de la condition de bonne servilité. Il pourra bien opter pour toute compromission, celle d’une concession qui le livre vers un renoncement de ce qui le certifierait digne dans sa noble personne. Il y avait si peu que Chou Muna savait concéder à son humain. Ne l’a-t-on pas obligé à ne se regarder que par telle clarté qui simule un imaginaire? D’en être pauvre, on reconnaitrait qu’il n’en a crée aucun qui lui soit aussi fondamentalement identitaire. Il a été dupé devant le fait théorique. Tel qui lui soit un modèle est loin de l’exigence que réclame la réalité pratique. Jamais on ne lui apprendra combien l’utopie stimule pour toute intelligence qui dévoile l’aventure pour toute recherche qu’en des sentiers prospères, qui finissent par être reconnus de propres. Les conditionnalités sur le temps, pour tel qui soit actuel, les glorifient dans l’acceptation des buts vers lesquels ils accompagnent de si fragiles humains. Qu’est-ce qui serait si juste pour ne pas se montrer autant authentique, d’effectivité, sans faire recours à une certification qui ne resterait pas manifestation de la violence ? Il ne faudrait que dire les mêmes choses, pour moindre qu’on ne comprendrait pas, en tel que le langage humain retient d’absolu. La contrainte revient à celui qui se découvre retenu en tel choix qui ferait un modèle. On appliquerait ces recettes qui font encore le primordial que recouvre un type, un certain que surement, et de probable que de définition d’un sujet, lorsqu’il ne serait pas adossé à la valeur qu’on accorde à un objet. En cela se résume entièrement toute l’activité humaine, celle d’une subjectivité qui soit à tout exemple d’une magnificence, pour telle compétition pour laquelle il n’en est de nécessaire que se distinguer de grand art, tel à partir duquel on se singularise par toute maestria d’une originalité en la domination d’une objectivité, qu’alors, il n’en sera désormais que mention de celui qui maîtrise son sujet. Dira-t-on alors que tout cela est important dans le parcours de l’existence humaine ? On y répondrait simple qu’admettant que cela concoure de ce que le sens d’une société exprime, qu’au meilleurs des cas, exige. Sous un angle réduit, on dirait que tout cela n’est d’attachement qu’en fonction de ce que l’humain offre de bien grave, pour tant de besoins qui le laissent prétendre que son existence suit fondamentalement cet impératif qui le condamne à être considérablement en manque de ressources nécessaires qui feraient sa vie. Quelque soit sa position, d’aussi favorable qu’elle se montrerait, il s’indignera toujours en une espèce d’incertitude qui traduirait son état de malheureux. Sur ce point, hors mis l’exagération, qu’en ce moindre d’où on ne se tromperait pas pour mieux que d’avancer, manifestement tel est le fait suivant lequel, la nature s’est toujours montrée cruelle à l’endroit de l’humain, par telle qualité l’obligeant à demeurer un perpétuel insatiable. L’un ne porterait pas un minable avis lorsqu’il avancerait que l’humain est grossièrement pauvre. Cela prit encore que bien considérable temps, avant que Chou Muna ne parvienne à l’approuver. Outre les apparences, qu’assez pauvre, l’humain l’est en vérité, et cela quelque soit sa société, son niveau de toute capacité à transformer son environnement, qu’à la fois son aisance en tel confort à partir duquel il oblige les uns et autres défaillants en ces envies à nourrir de bien pénibles complexes. L’humain, par telle réalité ne peut aller à l’encontre de cette situation de constant désir de dépassement qui le retient en cette sentence qui provoque une gêne en lui, et de tout effet, le métamorphose pour de si nombreux challenges qui lui prennent son si profond sens d’humanité. N’est-il pas de combat que parce qu’il se défendrait contre un quelconque dénuement qui l’accable, et qu’il décèle par toute opportunité qui lui soit d’instruction à s’en débarrasser ? Ne lui arrive-t-il pas déjà lui-même d’organiser son propre procès ? En tant de faits, l’humain ne peut manquer d’assiduité à se montrer excellent à pouvoir analyser ces challenges, qu’alors il découvre sa voix, celle qui soit profonde. Cependant, que d’autre motivation, il pourrait dire un refus par l’inconvénient que provoquerait une certaine contrariété, et point de doute, de si semblable qu’en ce qui ne semble constituer qu’un sentiment de bonne droiture par le gain qu’on se fait. On aurait encore d’aussitôt appris que la vie d’un humain ne fait de droit que par tout bénéfice qu’elle pourrait matérialiser. Face à cette incroyable difficulté, il se laisse apprivoiser par toute pensée qui pose les mesures à partir desquelles on fait porter à l’un ce moindre titre qui le récompense par tel poids que vaut une indigence. En tel chemin que valorise son endurance, par tout affront et autre compétition que lui réserve la vie, il la désire davantage par tel sens dont il se donne, selon qu’il ne baisse pas les bras en telle nécessité l’amenant à surmonter la difficulté. Cela encore, Chou Muna ne put véritablement pas l’opiner. En réalité, la difficulté est celle qui informe l’humain du moindre signal que lui transmet le concret d’une existence dont il découvre, que d’aussi semblable que cas d’accident. Il dit encore sa préférence en un combat qui le garde prisonnier d’un agissement en toute cause où le verdict l’interrogeant pour toute action est celui qui l’enseigne encore de la distinction essentielle pour l’insatisfaction que procure l’idée d’un mal, lequel n’est pas forcement que parfois tel de tout mal. Pensera-t-il véritablement être maître de son comportement lorsqu’il se verra à toute obligation de laisser entendre une décision qui ne soit que d’une suite à une réaction qui l’exposerait à ne pas se méconnaître pour tel faisant désormais face à une rude épreuve ? A l’épreuve pourtant, que difficilement, ils sont des accès qui permettent des fuites. Il faut toujours agir. Cela est tel qu’on désigne d’aussi normal que par l’engagement en une pensée. Il arrive encore que certains sachent calculer le temps que prend un bonheur. La chronologie par toute généralité se montrerait bien évidement longue. Elle est assez généralement celle qui aliène de nombreux individus. Elle se présente désormais pour tel cas de bonne loi. Les hommes par toute volonté de nostalgie ne manquent pas d’y tenir expérience par le grand exercice. Il faudrait bien renouveler ce qui fait recette de bonne fortune. Mais l’infortune qui la proposerait comme solution ? Là-dessus Chou Muna avait peu de réponses. La réalité est pourtant là, il suffirait simplement de tenir en compte les points de vue des uns et autres, qu’en effet on admettrait qu’ils disent avec désolation leur tristesse, et de grave intérêt que pour ce qu’il qualifie comme étant tel handicap qui explique leur malheur. La peine plus qu’autre lacune rend l’humain pour aussi refoulant que misérable, que malheureux. Il en est d’un état qui ne soit pas toujours de provenance par toute cause d’un litige. L’humanité est celle qui tient toute raison pendant qu’elle engendre ces causes. Les souffrances de l’humain semblent se constituer en tel objet de débat et d’interrogation qui soit d’approche d’une conséquence à toute considération d’une audience. On parle. On s’interroge. On tient un jugement. On examine les circonstances. On trouve des torts. Autre humanité s’efforce de les imputer aux uns et autres. On s’ignore parfois à étouffer ce qu’on accepterait pour faute personnelle. On a encore un regard. Celui à partir duquel une bouche sans retenue parlerait d’affaire, pour si moindre que dénoncer des méchancetés, des tracasseries, car, il n’en est que bien parfois de nombreuses figures que cas de solutions qu’emprunte la prétention humaine, celle qui se sait en combativité, celle qui se mesure par toute règle qui fait une adversité. Pour si moindre humain, cependant, qu’on aurait retenu pour adversaire, que lui inflige-t-on qui soit à toute nature de l’améliorer dans sa condition ? Il en est assez souvent de si peu qui fasse l’interprétation d’une franche humanité doté d’un sens que d’une émergence d’une rationalité constructive, selon qu’elle grandirait l’humain. Tel qui soit pauvre, qu’on aurait au préalable déclaré d’indésirable, d’ennemi, d’adversaire, puisque l’harmonie en l’humain, qu’en définitif, repose à ces moindres conditions, est celui qu’on plaque face à la négativité de ce qu’on aurait proclamé pour bien néfaste à l’humain que la sanction qui le retiendrait pour tel qui soit condamné à l’infertilité. On espère qu’on serait entrain de le détruire, le réduire au néant, pendant qu’il serait sous ces chaines qui n’en font qu’une tristesse de figure porteuse de cette humanité anéantie en une stérilité indigne et insupportable qui fasse tel objet de grande répugnance pour laquelle il ne serait point de toute moindre sensibilité qui parvienne à lui témoigner une toute quelconque pitié. L’horreur n’est pas uniquement impressionnante en l’humain, lorsqu’elle s’affiche par telle douleur que porte celui qui va vers une décadence ? En définitive, il n’est que petite sagesse humaine qui puisse avouer qu’une humanité véritable peut tenir le sens que porte une vie, pendant qu’elle est retenue prisonnière sur tel environnement qui ne soit que fait d’aridité. Naturellement pour tel cas, il n’y aurait pas d’aussi expectative de grande prévision qu’une assez éventuelle dégénérescence. Ceux qui se distinguent par les faveurs que produise le fait de l’abondance ne semblent pas ignorer les cauchemars qui naissent par tout état de sécheresse, qu’autrement, ils ne se montreront pas aussi décisifs à bien défendre ce qu’ils retiennent pour telle qualité qui les met à l’abri du besoin. Dire parfois le mal qui vienne d’un besoin est d’aussi semblable que le déclin que provoque une médiocrité. Alors, pour l’un qui ne sait donc pas trouver toute si simple habilité à le rendre ingénieux pendant qu’il ne saura qu’infliger une insuffisance à tel qui soit à sa différence, pour si simple où on lui réserverait autre traitement qui définirait sa situation, son statut, qu’en effet, pour telle lecture d’un équilibre, pour fait d’interprétation de distribution de valeurs, on le garde juste pour tel qu’on voue vers une descente, telle hauteur où on saurait encore le tenir, cependant, d’une certaine mesure qui ne fasse aucunement une égalité. Oui, l’existence est si souvent ramenée à bien plus petit que des hauts et des bas, pour ce qui va du concerné d’un humain. Cependant, lorsqu’on tient en compte cette réalité qui caractérise les prémisses d’une humanité se réclamant de toute originalité, il serait bien facile d’admettre qu’elle se lamente assez généralement à ne pas parvenir à étaler des embarras, que pendant ces circonstances qui la dévoilent en une si autre forme d’existence qui soit sujette à une terrible dégringolade. Tout tombe. Tout se renverse. Rien ne tient debout. Tout se fait emporter. Tout s’envole, et il y a si peu qu’on sache véritablement sauver. Il le faut pourtant. Il faudrait encore garder si moindre qui fasse preuve d’une exacte trace qu’on porterait. Il faudrait résister à la bien plus étrange dégradation face à laquelle on admet qu’on est de si certain qu’un vulnérable. Il ne servirait que peu pour tel qui se laisserait à toute platitude, que dévoré dans une abjecte banalité. Qu’est-ce qu’on entendrait de bien qui soit tel signe d’une chose défendue, pendant qu’elle ne serait pas de la volonté humaine ? Pas une seule qui ne sache sortir de cette invention. L’humain aussi n’échappe pas au voyage que lui impose le fait du temps, pour ne penser que le dominer par tel qu’il instruirait d’aussi éloquemment qu’au moyen d’une prohibition. Bien de conditions essentielles que celles dignement adaptées aux évolutions humaines finissent par conduire l’homme, celui doté de la franche qualité humaine, à se montrer réactif, selon qu’il parviendrait à trouver une réflexion qui soit à toute intelligence que mésestimer ces bonnes dispositions qui se sont montrées pour autre fois que celles qui furent incontournables. D’incontestable, le progrès humain n’est constant que par toute rectification à partir de laquelle l’homme découvre la limite qui soit de la qualité de son intelligence, et de tout effort, pendant qu’il arrive à la persuasion qui le conduit à découvrir son fait de faillible, et d’occasion, lorsqu’il accepte la faiblesse que porte son audace, et d’autre harmonie, par toute nécessité lui imposant l’absurdité qui consiste à dire un pouvoir qui ne s’affirme parfois que par la méthode cruelle venant de la censure injustifiée. L’humain est bien parfois celui qui constate qu’il n’échappe pas à la faute qui le pousse à méjuger, qu’alors il révise ce qui expliquerait son exclusivité. Sa force pour autre temps serait éventuellement la mise à l’index. La réalité cependant, lorsqu’elle s’impose, ne conduit-elle pas à négliger ce qui serait d’aussi formel que ce qu’on retiendrait d’image obscure qu’un tabou ? Certainement, et que de bonne raison, puisque tel qui se trompe, que considérablement avoue un peu, qu’en d’autres termes, sa stupéfaction. Mais se trompe-t-il véritablement ? Que serait-il devenu si on ne l’avait pas uniquement retenu pour un sans voix ? Que très probablement il ne porterait pas une existence faite à ces moindres qui l’aliènent en si triste exemple de cette nature uniquement assombrie, pour si tragiquement être retenu en ce spectacle encore délirant pour lequel, elle ne sait que surtout, encore que bien pleurer. Il serait peut-être tel concours pour lequel, il pourrait dire un bel effort, cependant, l’impossible par toute difficulté réside vraisemblablement en l’obstacle que représente cette barrière qu’on aurait construite, qui soit d’aussi intangible que traduire d’encore parfaitement une si simple qualité de personne bannie. Il faudrait quand même l’admettre, il ne fait pas bien de souffrir d’un tel poids. Il faut encore découvrir combien on témoigne à l’humain, par telle posture de victime, une admiration, pendant qu’on l’expose à trahir sa vilaine figure d’homme en sanglot, pour si moindre sens que celui qu’on retiendrait en une voix qui dit une contestation en l’un qui se sait refusé, honni et d’incompréhensible que parfois sans moindre explication. Pour si longtemps déjà qu’il gémit, il n’en est rien d’autre qu’une accoutumance qui n’étonne plus personne. Cela rentre encore de bien d’approche que d’une normalité. Il ne ferait pas aussi bien, d’autre fait de grand ridicule que de voir un supplicié crier au secours à son bourreau. On serait encore confus et confondu pendant qu’on oserait appeler pour bon celui qui fasse plutôt du mal. Il faudrait certes crier, et de grande que de vive voix, cependant, les peines pour autant sont grandes, et elles ne font qu’un misérable déconcerté, dont rien ne peut l’en éloigner de ce calvaire. On est retenu à ces souffrances, qu’alors, il n’est pas de plan possible qu’on parvienne à murmurer, et pour tel qui puisse échapper à la vigilance du tortionnaire, qu’en effet, par toute tentative osée, on s’affirme en vérité, que d’une indignité de personne pantoise, car on est de si semblable que pour telle bête prise dans un piège, une toute quelconque espèce en capture dans un filet, et de bien dramatique pour ce que cela représente lorsqu’on est humain. Tel qui, en si pareil cas, serait stupéfié, ne parviendra jamais à se montrer déterminé pour tel emprunt d’une vocation qui soit à une réelle nature conduisant à récriminer l’un, ou l’autre, qui serait ce si puissant tourmenteur. S’il ne fallait que se plaindre, doutait encore Chou Muna, tout est si bien construit que pour en faire un ébahi. Le regret n’est pas beaucoup cas d’une émotion, qu’autre sentiment qu’on saurait reconnaître en si moindre qu’on affiche pour stupide. Il faudrait voir l’humeur que porte celui qu’on a déclaré déconfit, pour admettre qu’il ne fut qu’en tout autre dessein que tel qu’on a écarté du véritable sens que porte l’explication de l’existence. Il faudrait partager un bon sens et ne pas se montrer courageux à admettre la mésaventure de celui que bien de circonstances ont gardé en si juste nature qu’un désarçonné. Tout cependant ne consista pas uniquement à désapprouver ce que l’un put porter d’incorrect, de répugnant, de réprobateur, d’indigne, et de bonne inefficacité à le protéger d’un quelconque concours qui le sacrifie sous toute menace qu’on retiendrait de calamité. Les hommes, ceux qui se prononcent sur leurs parcours, qu’en toute liaison avec des époques précises, ne discernent simplement pas le fait du désastre face auquel une certaine évolution pourrait les avoir conduits, pendant qu’ils apprécient ce qui fut de bien acceptable que contraire à ce tel qu’ils considèrent pour si juste que d’objet d’une désapprobation. Que serait cette humanité que les hommes partagent, si on la débarrassait de ce qui fait sensation, et qui constitue tel moment perpétuel qui habite le tout moindre humain, lequel ne manque de se manifester irréductiblement par telle soif permanente d’organisation de procès ? La catastrophe chez l’humain se résumerait-elle à cette incapacité à ne point s’abstenir de trouver en toute œuvre d’origine humaine, celle qui porterait un incontournable reproche ? L’humain pourtant est tel unique étant qui serait en droit de dire une malédiction. Dire d’un tel, qu’il n’en est que d’une bête n’est-il pas déjà un début de condamnation ? Personne cependant ne viendrait le regretter. L’épreuve se comprend encore en celui qui souffre de cette qualité, qu’en effet, il est retenu à tout effort le conduisant à apporter la preuve pour laquelle il montrerait qu’il n’est pas de mérite pour si ignoble définition qui l’accable. Peu importe encore s’il arrivait à le déplorer, et de toute manifestation que réclamer plus de justice, eu égard à l’exigence de singularité vers laquelle l’oriente telle raison dont il s’essaye encore de faire prévaloir. L’humain ne porte parfois de traduction d’un instinct que pour celui qui ne s’ignore pas à dire un désaveu. Mais le temps, cependant, qui pourrait le soumettre à un arrêt ? Pour une vie humaine, celle d’une plante peut-être, un animal aussi, arrêter n’est parfois qu’attribut de ce même humain, lequel manifestement tient bien souvent tel rôle d’arbitre. Il se sait encore de grande expression à dire sa toute puissance, pendant qu’il va d’aussi indignement que vers cet extrême qui produit l’illusion de son invulnérabilité, et telle autre d’encore si abjecte qui le détermine à décider d’une peine de mort. Quelle autre grande menace sait-il aussi surement professer à l’endroit de l’humain, son semblable, qui ne lui donne pas certainement l’impression d’être tel maître qui achève sa besogne, tient au mot venant de sa volonté, et de chose concrète que d’un fait accompli, la certitude de taire un contradicteur peut-être, pour si simple que lui ôter la vie. La puissance de l’un ne s’exprime que par sa qualité à anéantir une vie. Il en est de l’unique assurance dont il dispose pour tout besoin qui le conduit à exposer son autorité, le sens de la suprématie qu’il entend traduire. La réalité, cependant, est celle qui veut que lui-même ne puisse pas, qu’en fin de compte, échapper à cette même peine de mort. Tout est donc question de temps. Tout est donc fait d’une expectative. Forcement, les fins sont encore les mêmes. Il n’est pas d’humain qui ne soit acteur en ce cirque pour lequel, une certaine déplacée prétention le dispenserait de la critique que lui impose le sens de la vie. Rien ne le protège du véritable discours de la nature, lequel n’épargne à personne la violence incessante que venant du sens de l’existence qui se résume d’aussi fondamental que par une précarité permanente. Ce qui constitue donc l’incontestable enjeu chez l’un est telle valeur de temps, par le fait de l’espérance, qu’il grignote en l’autre, cependant, il n’en est véritablement obligé que pour dire un affront à cette franche illusion qui le déstabilise, pendant qu’il ne réalise pas qu’il est aussi soumis à cette si même loi d’instabilité dont il se sert pour faire entendre la voix de sa grandeur, laquelle se résout à si simple que d’une échéance qui annonce ce qui demeure éphémère. Le plaisir pour autant, pour si considérable que Chou Muna tint en expérience, étant de la plus décisive amitié de l’humain, est ce si bel complice qui le trompe, pendant qu’il l’aveugle à ne pas voir ce qui serait à telle aptitude à cultiver en lui ce qui se montrerait d’essentiel que par la considération qui fait observer tout rendement qui ne s’appréhende que d’une chose qu’on sache encore regretter. Que pourrait-il donc implorer, qui fasse l’objet d’un regret, lequel ne serait pas tel sentiment le nourrissant de grave inquiétude pour tel sens d’une œuvre inachevée dont il espère qu’une éternité lui aurait vraisemblablement permis d’y arriver, qu’au bout pour si essentiel qu’avoir le sentiment d’une sombre prétention lui accordant l’impression de l’avoir achevée. Certes, il y a des choses en bien de situations qu’on achève, parmi lesquelles on ne manquerait point de parler de celles qui font bonne définition d’un devoir. La réflexion humaine ne manquait pas de s’expliquer sur le fait de ce qu’on entendrait par responsabilité. Il fallait, quelque part, absolument répondre. L’existence était encore à cette exigence. Il ferait aussi meilleur mérite de se savoir en vie pour si moindre qui soit d’un primordial qui veuille qu’on parvienne au moins à se rendre service, et de préalable que pour tel début qui soit aussi juste qu’à soi-même. La pensée humaine eut encore tel mérite de retenir l’homme, pour autre agissant à l’endroit duquel on admettrait qu’il serait tel être dont les actions conduisant au fait d’une interaction qu’autre activité ne peuvent qu’inexorablement que diriger vers le sens que devrait porter ce qu’on pourrait représenter par toute définition qui tiendrait cas de signification d’une obligation. En l’humain, un décideur éventuel lui reconnut des charges. Pour tel souci de concorde, on estima que la survie de l’individu n’est de toute garantie que par l’effectivité que lui procure son endurance au travail. Travailler, cependant, pour autre circonstance est à la même nature que ce qui expliquerait une corvée. Il faudrait peut-être travailler, cependant on pourrait aussi y être forcé. Tel qui l’impose serait en droit d’estimer qu’il fait bonne lecture par toute qualité que lui concède le fait de sa fonction. L’absurdité est parfois de la contrainte que porterait une tache, car l’humain, s’il devait encore être d’une certaine disponibilité, telle tâche, elle serait celle d’une normale évidence qui veuille qui ne s’engage que pour toute chose à partir de laquelle il sait encore dire sa profonde liberté. L’humain, néanmoins, en telle nécessité d’interaction, est celui qui fonde, qu’encore est animé d’un besoin de construction, d’invention, et d’élaboration, et cette qualité en fait un être essentiellement social, pour si propre qu’il soit retenu à cette dépendance, cependant, outre tant de qualités qui expliqueraient son génie, il ne peut s’empêcher de considérer ce qu’il tient pour si explicite qu’un arrangement qui fasse un impératif. Il faudrait absolument commander, qu’alors on est à l’abri de ce qui soit une tâche, si ce n’est de condamner les uns, ceux qui peuvent succomber au fait de la violence, les retenant à accepter qu’il sont d’une nature qui les tient à tant de faiblesses pour lesquels ils découvrent leurs tares, et pour si moindre que celles qui constituent les motifs de tant de violences dont ils sont des sujets, qu’en effet, on le justifierait par autres circonstances et conditions qui les conduiraient à s’accepter pour tels qui soient exposés aux faits ataviques pour lesquels ils ne sauraient expliquer leur existence que par une cause qui leur soit indissolublement fatale, qu’autant, ne peut être susceptible d’être tenu à la moindre raison qui sache les détacher de la tourmente que représente leur réalité de personnes uniquement faites pour être porteuses d’un signe qui les garde pour celles qui sont d’essence que distinguables par tant de graves taches qui feraient le concret de leur identité.
Posted on: Mon, 16 Sep 2013 20:24:05 +0000

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