"Une princesse dans les bras de son fils": Première partie - TopicsExpress



          

"Une princesse dans les bras de son fils": Première partie Préface Ce fut une bonne chose que de découvrir un homme qui est académicien. Cet homme était tel auquel on accordait que bien nombreux respects. Il était désigné pour un être ayant assez bel appréciable talent. Cet homme s’appelait Jean d’Ormesson. Je me suis découvert l’écoutant avec attention, qu’en raison, pour tel propos sien, à partir duquel, il expliquait qu’il n’avait jamais connu les bancs de l’école. Cet homme, pourtant, est un être assez instruit, bien déployé sur la chose de la cognition. Il offre cet air limpide qui distingue celui qui soit habité par le savoir. Je l’ai entendu parler Allemand, il avait l’accent de toute juste qualité. Bien souvent, je l’ai entendu parler. Il rassure par tel apport plein de finesse qui qualifie bien régulièrement ceux qui sont aussi justement qu’élevés par le fait de l’érudition. J’ai parfois du l’admirer. Il avait quelque chose d’atypique. Il avait quelque chose d’humain. Il avait toute vérité qui pouvait m’amener à l’écouter. Il avait connu l’amour d’un être qui dut certainement lui être profondément cher. Une fois, que de favorable situation, j’appris à écouter l’académicien Jean d’Ormesson parler de sa mère. Il dut l’évoquer, pendant qu’il s’expliquait sur les circonstances l’ayant amené à ne jamais connaître l’école. Adolescent, que très tôt, il avait pourtant eu l’opportunité de recevoir une assez belle culture. Si jeune, d’enfant, qu’accroché à la jupe de sa maman, disait-il, il avait appris le latin et le grec. Il faut bien l’entendre pour se représenter ce que fut son bonheur, si extraordinaire. Certainement, en telle ambiance, pour encore confortable cadre, il apprit aussi à écouter la voix de sa maman. Il dut, qu’assidue, apprendre à lire dans son regard. Ensemble, que très probablement, ils apprirent à résoudre des équations de mathématiques. Bien souvent, ils auraient, qu’éventuellement, parlé de physique, de chimie, que probablement, autres langues. Cet homme que j’ai appris à écouter, le sieur Jean d’Ormesson, devait être né dans une famille de diplomates. En une voie assez singulière, on lui accorda l’essentiel que porte un diplôme. Une mère, la sienne, lui apprit à se servir du papier. Ce fut aussi un exercice pour tous les deux. Du sieur Jean d’Ormesson, je ne connais que l’homme affirmé par la qualité de sa plume assez respectée. Si je ne pus résister à l’admirer, c’est parce qu’il avait encore parler d’une mère qui lui apporta de l’instruction. Sur ce point, lui et autre partagent quelque chose de commun. Autre mère aussi avait encore que grandement tenu à ce que son fils soit un être éduqué. Elle, d’autre contraire, pensa le pousser vers l’école. Elle s’attendit à le voir porter un diplôme. Elle ne sut jamais mettre la main à la patte, cependant, son concours resta un des plus essentiels. Chez le sieur Jean d’Ormesson, à l’inverse, les choses furent encore que précises, pendant que sa mère ne put que bien certainement lui procurer le véritable sens de l’épistème. Tel qui écoute le sieur d’Ormesson, se rend naturellement compte, combien il est possesseur de si nombreux ensembles, sur des connaissances qui restent propres en des époques précises, qu’autant, sur des sociétés particulières. Cela représente encore autre raison qui puisse m’amener à l’admirer. Simplement, il faut comprendre les parcours d’une mère qui ne sait ni lire, ni écrire, cependant courageuse, quant à se sacrifier pour trouver une éducation à son fils. Pour si moindre, qu’entre le sieur d’Ormesson et lui, jamais, pour si peu que par des trajets, on ne saurait plus parler d’appartenance à un même groupe social. Toute éducation, cependant, s’accompagne aussi des mœurs qui règnent sur tel espace où elle se matérialise. S’il fallait écrire des romans sur ce cas, absolument on admettrait qu’ils sont aussi singulièrement que de deux genres. Je n’ai pas la prétention de prendre le sieur Jean d’Ormesson pour tel homme qui soit personnage de ma réflexion, cependant, j’entends néanmoins souligner combien je fus ravi de savoir qu’on soit tel être d’un si bel sommet, toutefois, d’initiation qu’en ces petits pas, en une enfance qui s’accrocha à la jupe d’une mère. Ce fut un bonheur. Tout autre enfant a également appris, qu’en réclamant toute chose presqu’impossible. Cependant, l’exprimer en retenant la jupe de sa mère avait toujours été tel acte qu’il posait pendant qu’il réalisait qu’il ne pouvait pas obtenir tel qu’il réclamait. La jupe de sa mère, que bien souvent sa robe, ne furent qu’instant de désespoir. Il exigeait, il s’y accrochait, et on l’y arrachait, à ce but, et point, rien, il n’obtenait. Ce fut encore une expérience. Ce fut la voix d’un être cher qui disait ne pas pouvoir lui donner tel qu’il réclamait. Pour tel âge, il devait comprendre les choses. Il se construisait qu’en si petite expérience. Sa mère n’avait jamais entendu parler de Francis Bacon, pour lui inculquer ce que pouvait être entendu sous toute réalité qui soit de juste sentiment qu’en une conviction. Le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, a pourtant eu le regard posé sur le monde. Il était celui qui s’interrogeait, cependant, de peu de souci, car le moindre intérêt était porté sur la personne d’une mère qui devait s’organiser à fin d’arrêter les inquiétudes que prendrait la personne de son fils face à la déception, l’insatisfaction. Sa mère avait pourtant su être le serviteur de sa personne. Elle avait également entendu se montrer apte à devoir interpréter sa nature, et de toute franchise que pour cette vérité qui lui était une réalité, et d’expression, qu’en ce passé qui forge toute humanité à si moindre récolte que par telle culture assez homogène qui l’expose à cette évidence qui soit d’un fruit, parfois agréable, de bonne expectative, ou désagréable, de triste désespérance, cependant que de fait, tout y reste, pour si moindre connaissance dont on fait assez bel gain, pendant que l’occurrence fut d’un avantage pour lequel on ne saurait manquer de parler, lorsqu’il n’est encore que question de laisser entendre ce qui demeure d’un chemin parcouru, ce qui ne reste que du certain que produit une expérience. Sur lui, comme sur toute autre personne, qu’enfant, sa mère fut porteuse d’autorité. Toute déception l’obligea à le conduire à tenir en compte l’inférence. Elle voulut le bâtir qu’à toute référence. Ce fut cela son langage. Apporter une éducation à son fils ne fut pas toute chose qui soit cas de préjugé. Si elle avait eu une idole, qu’en la qualité de lire et écrire, ce fut certainement l’homme d’Occident. Sa pensée fut encore que simple. Elle tenait tant, à voir son fils être éduqué sous toute barre, qu’en conformité avec l’air de la civilisation occidentale. Malheureusement, elle ne savait rien de ce langage. Si elle avait tant que profondément ignoré les principes, pour autre qu’une normalité, sa réalité la retenait à ne pouvoir se déployer qu’en toute démarche qui fut essentiellement qu’empiriste. Sa mère ne fut qu’une femme de Nigritie. Elle, de toute qualité qu’humaine, avait aussi ce manifeste à la transmission. Cependant, comment aurait-elle pu le faire, pendant qu’elle n’avait pas l’essentiel, l’explication sur la réalité qui était sienne, celle d’une personne qui ne pouvait pas apporter ce qu’elle ne possédait pas, pour bien simple qu’une éducation. Comment enseigner à lire et à écrire pendant qu’on ne sait soi-même, ni lire, ni écrire. Sa mère ne lui transmit jamais le fait de l’esclavage des hommes de Nigritie. Sa mère ne lui transmit jamais le fait religieux des hommes occidentaux. Que seuls, ceux qui surent lire et écrire le firent. Sa mère lui parla de ce qu’elle dut vivre, endurer, écouter, et observer. Incontestablement, toute humanité n’en est qu’une, que telle qui soit livrée au verdict de la nature. Elle reste indéfiniment exposée à ce fait. Lui, fils de cette dame qui ne savait, ni lire, ni écrire, put bien obéir à sa mère qu’en se laissant emporter par tant d’incongruités qu’offre aussi le fait de l’école. L’école, que proprement, est aussi toute bonne chose qui ne puisse pas uniquement dresser l’humain fasse à l’intérêt vers lequel autre maître souhaite le destiner. L’école, pour toute autre qualité, enseigne entre autre l’inconvenance. L’école conduit aussi l’humain à se questionner, pour si moindre qu’il observe, tel qui l’interroge, et de motivation, par tout déclic qui s’opère, le renseigne sur l’injustice et l’alerte sur l’injurieux. En tel cas, la nécessité s’établit. Elle interpelle au jugement contre l’incorrection. La peine, pour si moindre arbitraire qu’on ne sache mériter, reste toute chose insupportable. Vraisemblablement, l’école, pour si subordonnée qu’elle fut présentée, pousse concrètement au partage de la raison, qu’en toute chose assez bien enseignée. Elle ne serait que d’une appartenance précise, lorsqu’elle ne resterait qu’encore d’une mission à accomplir les appelés à ne tenir toute existence qu’à se vendre pour si moindre gain que celui de perpétuer le concept. Le fait humain pourtant est à toute idéalité par la conception. L’individu est bien souvent distingué de grand rang par chaque qualité de digne autorité qu’on accorde à sa spéculation. On saurait encore le soutenir pour si infâme que tenir l’incertain qui voudrait qu’on s’engage à ne pas dire toute contradiction sur tel qui semble improbable, cependant, qu’indigne de compromis, pendant qu’on le retiendrait pour esprit. La liberté, qu’en si moindre autre approche, est toute chose sans propriété, pour tel humain qui ne manque de jouir de ce que l’existence lui apporte pour effectivité que par l’exercice à l’imagination. Il faudrait bien voir, pour tenir un crédit à une compréhension. Ceux qui parviennent encore à excellemment l’exprimer, sans se retrouver défaillants dans une construction belliqueuse, sont généralement retenus pour tels qui disent, que de grande considération, pour tout titre à l’intelligence qu’on leur assigne. À tel, l’école, lui permit aussi d’aller vers un entendement que rien ne peut désormais plus lui enlever. Cela est encore une des conséquences de l’école. Il ne possède dorénavant que des éléments de sa propre réflexion. Il est bien dommage qu’on le combatte pour si peu qu’il sache justifier. Il faudrait bien que ceux qui sont à la manœuvre admettent qu’on ne lui expliqua jamais qu’il ne fut un être soumis au fait de l’école, pour si incohérent que défendre l’absurdité, et de bonne fidélité qu’assombrir le chant de son raisonnement. Justement, pour tels premiers instants en l’école, les règles ne furent pas clairs. Le contrat ne fut pas d’aussi juste que précis. L’école a aussi longuement qu’offert. Elle l’a livré à l’idéologie, que très certainement pour le libérer d’une nature. Elle fut encore que fantaisiste pour le « défamiliariser », voire le défaire d’une culture. Elle lui a fournit la sentence à partir de laquelle, il put distinguer une doctrine. L’école lui a octroyé le fait de la diction, pour justement le détacher de la théorie. L’école l’a retenu à la devise, pour encore que, le sacrifier aux mains d’un système. L’école l’a aussi doté de toute intention que celle de ne pas absolument se construire par le discours bien court venant d’une maxime. L’école, pour si opportuniste qu’elle se découvre, en tel voile qu’on lève, à ce qu’il sache admettre, par telle notion d’aussi simple que prendre et rejeter, enregistrer et ne pas retenir, fut le lieu de la rencontre entre l’apophtegme auquel on l’obligea et son avis propre qui soit source de toute difficulté qui lui reste désormais que de belle compagnie. L’école, pour telle autre réalité, ne fut encore qu’une duperie pour ce qu’elle a sournoisement caché, pour tout projet vers lequel elle essaya de le destiner par l’engagement à la méditation, celle étant d’aussi pauvre que par l’adage qui en ressort. Contre cette espèce de rêverie, que le conter, pour si peu qu’il compte, il fut cependant réclamant d’une opinion sincère. Le regard profond questionnant, pour si moindre souvenir qu’il garderait de ces instants de bonheur que fut l’école, davantage, il ne retiendrait, que soigneusement, le juste sentiment que cette expérience lui apporta. Il porte désormais un tort, celui de s’être fait une idée. Il ne put que discerner une forme. Celle de sa personne. Celle de son individu. Il ne fit que laisser parler sa raison, que d’un bon sens face à une image. Dommage qu’on le perde par toute vérité venant de son jugement. Il ne sait pas accepter, pas plus qu’apprécier le fait de la violence qui se veut réparatrice d’une sagesse. Pour toute cause, il fut encore qu’aguerri à y laisser échapper tel qu’il défend de sens commun. La Nigritie, désormais, est devenue ce mobile, pour lequel la bassesse se montre de bonne qualité qu’à toute humanité. Pour des faits qui soient appréciables, on n’a pas besoin de déduction. Tel qui parle de motif, s’affirme désormais que rigoureusement par le langage de l’émotion. A l’un, lui reconnait-on sa qualité à l’humain, eh bien, pour tel qui ne soit qu’un argument digne d’être écouté, qu’enfin, qu’on ne le distance pas de sa jugeote. La Nigritie n’est qu’un mot, qui fait porter un signe, qui renvoie à un sens, qui comporte une signification, qu’à la fois objet de signifiant, que d’autre qualité, par le sujet qu’il soit, nature à un signifié. La Nigritie est exceptionnellement toute symbolique qu’en la langue française. On pourrait être moins bon en cette démonstration. Cette réalité pourtant n’est seulement pas qu’une allégation. Il fut à l’école. Il a observé. Il a subi. Il a compris. Il a ignoré l’excuse. Il a renié le pourquoi. Il a choisi la preuve, pour si juste qu’elle ne veuille le quitter qu’au bout de tant d’épreuves. Il s’est construit de bonne raison. Son existence lui devint enfin cette propre école. Il retrouvait le parcours d’une mère. Il dut donc réaliser qu’elle fut aussi à une école, celle de sa vie. Pour telle école, il se posa simplement une question. Juste une, outre qu’elle demeure objet de toute nécessité, que davantage elle fait œuvre de si grandiose actualité. D’aussi simple encore, elle ne se pose qu’en des termes bien justes : L’homme de Nigritie restera-t-il eternel esclave à l’endroit de l’autre ? Là voilà cette question. Elle ne souffre de rien, qui soit aussi répugnant que de l’émotif. Non, elle ne porte pas la voix de l’affect. Oui, elle n’est pas de cette raison déguisée, pour laquelle, on viendrait faire comparaison qu’en tout historique d’approche à la scène qui soit du récit de « David contre Goliath ». Cette question est d’une certitude qui avoue combien la Nigritie ne peut pas être d’une école qui s’identifierait à David, qu’autant, elle ne le ferait de Goliath. La Nigritie porte sa propre réalité. Cela se voit. Cela ne se cache pas. Cela, on l’admet sans pour autant l’accepter. Il ne se sait plus que cet homme de Nigritie qui dit désormais sa propre école, et de toute formulation que demander à l’autre, ce semblable, de voir, et se rendre compte que David porte une arme dans sa main. Il lui dit aussi qu’il n’est pas David, il n’est non plus Goliath, cependant, il entend, qu’à son tour, porter une arme dans sa main. Cette arme justement, c’est l’éducation. Au sieur Jean d’Ormesson, il aurait encore pu dire qu’il a acheté des livres de latin, de grec, d’arabe, de hébreu, de chinois, de « Medou Netcher », et bien d’autres encore, qu’en réalité, il laisserait entendre qu’il est temps d’offrir de l’éducation à un enfant de Nigritie. Cet esclavage a assez longtemps duré. C’est eux, les enfants de Nigritie qui l’endurent. Tous les hommes acteurs en cette situation, connaissent absolument, de l’issue en ces conséquences. Elles seraient inévitables. Cependant, il s’agit avant tout de l’humain de Nigritie, pour quelle humanité justice voudrait qu’on démantèle les absurdités qui lui furent de monstrueuse école. Il faut qu’on démantèle, qu’impérativement. D’autre argument, allez surtout parler du sacré, qu’aux imbéciles. Il faut bien vous rendre à l’évidence que vous n’avez plus de choix que démanteler, renverser ces échecs, car en réalité, que d’imposture, vous avez échoué. Pour tel de falsifier l’originalité de l’homme de Nigritie, vous échouerez toujours. Vos tyrans ne survivront pas à cette obligation. Incontestablement, les traites négrières et colonisation contre l’humanité de véritables nature et culture de Nigritie furent tout autant des entreprises d’échec. On l’admet désormais. Qu’encore, vous avez échoué. Voilà donc, comment cet enfant de Nigritie s’explique les choses. Voilà ce peu que fut son parcours en une école. Voici justement son école. Remords à eux, eux de l’obscurité. Cet enfant est pourtant rentré en Nigritie, sans argent, sans honneur, sans diplôme, sans bonheur, sans logement, sans situation, qu’étonnement ils ne manquent de le suivre. La vérité, cependant, est toute chose qu’ils poursuivent, pas sa personne. Elle est d’un séjour impératif. Et tant que qu’il vivra, ils seront obligés de le poursuivre, puisqu’il n’y a qu’une si simple chose pour laquelle il a du aussi intensément endurée, que traverser le monde occidental, l’Europe entière, pour si simple que s’instruire. Désormais, ils sont ses poursuivants, des chasseurs enragés, pas pour de l’argent qu’il aurait obtenu, qu’autre crime qu’il dut commettre, qu’en effet, s’il en était réellement un, il serait celui de s’être uniquement instruit, l’impardonnable en l’un qui se distingua qu’en ignorant son humanité, et d’autre que pour ces raisons et bonheurs qui viennent de l’éducation. Les enfants de la Nigritie découvrent désormais qu’ils ne sont pas les propriétaires de leur monde, de leur humanité, de leur conscience, de leur raison, de leurs opinions, de leurs désirs, leurs pays, de leur nature, de leur culture, d’aussi juste que ne pas en être les inventeurs. Les inventeurs, les constructeurs de ces entités, du moins les héritiers de ces hommes qui furent à ces œuvres disent encore leur pouvoir. Cela que depuis un certain temps. La désolation est encore, qu’exceptionnellement grande pour tant de désillusionnés. Quelle absurdité en telle violence qui soit objet de dialectique, qu’en rapport avec l’explication sur l’espèce ? Que vaut cette violence qui ne sache jamais se prononcer sur toute quelconque origine ? A partir de l’instant où l’homme de Nigritie fut aliéné par les doctrines de l’Islam, qu’ensuite du Christianisme, il devient tel sujet qui devait perpétuellement être retenu que soumis aux grandes persécutions liées au fait de la véritable réalité identitaire. Il fut transformé en cet être halluciné, auquel on a retiré le pouvoir de la langue, celui d’une école, celui de son temps. Le temps pourtant, sera toujours tel qui rattrapera l’homme de Nigritie. Il faudrait le voir pour tel instant pendant lequel lui parvint l’Islam, qu’alors, se demander ce qui y serait rationnel, dès le moment où le Christianisme ne vint que plus tard. Le temps, tel moment d’existence qui soit là pour tous, devient cet enjeu pour lequel l’humain entend diriger son autorité, lorsqu’il s’arrangera à l’abréger chez l’un, dont il pourrait d’aussi facilement pousser vers la mort, et cela, pour si simple obligation que de penser qu’il pourrait faire bon usage de la part temporelle qui soit à l’autre. On viendrait bien le définir, pour si vaniteux moment, pendant lequel, l’autoritaire n’en fait de telle existence, qu’une qui serait prisonnière de l’objet de la consommation. L’humain, ce grandiloquent, qu’apporte-t-il réellement au moment où il découvre ce monde ? Rien, si ce n’est se montrer à toute prétention de maître, pour tel qu’il trouve, qu’il ne transforme pas, qu’il ne découvre pas, qu’il n’ouvre pas, auquel il n’apporte pas une forme, si ce n’est celle de son école, qu’enfin, il assoie son arbitraire, pour justement entendre dire et prendre des hommes, des humains, pour tels qui soient bons, qu’en effet, la satisfaction serait entière pendant qu’on s’invente invulnérable à les rendre meilleurs. Mais qui est bon, et qu’est ce qui peut être meilleur ? Le fils de cette femme de Nigritie qui ne savait ni lire, ni écrire, voulut partager la raison le conduisant à savoir que son effort ne fut pas à produire des théories et soutenir de thèses déjà établies. Ainsi, il dit toute sa gratitude à l’endroit du mot Israël, sans lequel il n’aurait jamais enduré tant de supplices et souffrances, et de conséquence que comprendre ce moindre, pour si peu qui soit de sa qualité. L’école l’aurait voulu. Elle a longuement servi de boutefeu en telle situation pas convenable. S’il avait été à tout principe que par le discours venant de l’Arabie, d’aussi pareil qu’en cette même réalité que partagent certains de ses semblables, forcement, il serait parvenu à ce même résultat, et d’aussi similaire que bien tout autre ne se détourne à offrir, en l’occurrence. La raison ne peut qu’être simple. L’école l’a conduit à courir derrière le temps et surtout, que de grande fermeté, l’interroger. C’est une évidence désormais. l’Arabie et Israël n’enseignent que leurs temps respectifs, pas celui de la Nigritie. L’école, encore, lui apprit à parler, pas seulement d’Israël, cependant d’encore que du juif. Cela est parfois troublant, lorsque la « démesure » s’indigne d’emprunt à toute caricature. De part son expérience, ce fut quand même qu’assez excessif. C’est peut-être une tradition. La riposte pour tel contexte fut de grave disproportion. Ce fut moins une inquiétude, pendant que, l’école, pourtant, reste telle chose qui fasse aussi librement de l’antisémitisme. Il sait bien le dire. En tel, il peut encore se souvenir de l’Allemagne, et du sieur Guido Westerwelle qui s’indignait, que demandant : « qui est antisémite ici, qui l’est, est-ce le sieur Möllemann ? Qui l’est donc ? ». En telle si même circonstance, qu’en conformité avec l’actualité, l’homme politique allemand fut bien obligé de se prononcer sur tel qui fut contemporain, qu’en réalité, s’engageant dans un exercice de langue, pour toute particulière que celle qui désigne encore une école, le sieur Guido Westerwelle ne manqua de se confronter à la difficulté phonétique, celle d’une voix, d’un sens, d’un signe, pas absolument d’une homogénéité, qu’en articulant d’aussi vrai que parler sur : « le pain, la peine, Le Pen, le peint ». L’occurrence portait sur le fait français. Conformément au sens du fils de cette femme de Nigritie, et pour toute part sienne, suite à sa réalité, il estime que, seul le pain est antisémite. Le pain est encore qu’antisémite, justement, en l’un qui ne le sème pas. Le penser ainsi, il pourrait le soutenir, qu’autre encore. Personnellement, il n’a jamais indiqué une haine justifiée à l’endroit de l’Israelite. Il a réellement connu très peu de l’Arabe pour en faire objet d’un acharnement à toute nature de légitimer une aversion contre sa personne. Il ne peut se défendre devant le babylonien. Il n’argumente rien contre l’akkadien. Il n’allègue jamais autre contre le phénicien. Il ne dit pas l’injure à l’endroit du couchitique. Il n’est pas égyptien. Il est un homme de Nigritie, pour si moindre qu’il accepte. Simplement, être homme de Nigritie ne veut pas dire se cantonner à observer un mutisme, qu’on cacherait, que pour davantage subir ce traumatisme assez déchirant, et d’avilissant pendant qu’on viendrait à se refuser face à l’évidence. Tel qui est certain, est le fait des écoles, celles d’identitaire par l’œuvre du juif, qu’autant celle de l’arabe, lesquelles emportent les nature et culture de l’homme de Nigritie, et pour quelles revendication, réclamation, il indique plus exactement, qu’on le soumet à tant de brimades qui justifient évidemment de l’irrationalité de ce qui est aussi inhumainement enseigné que dégradant de l’intelligence de l’homme dit « noir », l’être de Nigritie. Oui, par l’école, le pain a conduit l’homme de Nigritie à s’observer pour si indéfendable que pour une chèvre. On l’a aussi d’odieux que retenu à une tragédie. En cela, l’école de cet enfant de Nigritie va de cette réalité, et d’auguste, pour si moindre que le temps lui accorde. Saura-t-on lui refuser de s’interroger sur l’image de Lumumba ? Il fut ligoté comme un « bouc », devant son épouse, une femme de Nigritie tenant son fils sur son tour, qu’indignée, ne comprenant pas l’occurrence, contemplant, qu’emportée dans une paralysie, incapable de produire le moindre cri devant ce macabre qu’on lui offrait, le handicap étant acquis, et voyant l’horreur qu’on inflige à son homme, et d’autre symbole que par ce bout de pain qu’on essayait de lui introduire de grande violence dans la bouche, et d’affreux que par tels actes de brutalités qu’on lui infligeait, de si nombreuses flagellations, tant de fouets, et en réalité d’image que ne voir qu’une femme de Nigritie tenant son enfant, cette innocence de Nigritie assistant au massacre de son géniteur, homme de Nigritie, qu’aussi, que rendez-vous vraiment compte, observez encore cette image, et quoi d’image, et combien que d’image, que d’un langage. Oui, la tragédie était là, pour si justes personnages en la souffrance de l’homme de Nigritie, le père, la mère, le fils, l’homme de Nigritie, la femme de Nigritie, l’enfant de Nigritie. Cette image de grande tragédie n’est pas un honneur pour un homme de Nigritie qui apprend aussi librement, que désormais, combien cette chose atroce fut décidée par les américains, les occidentaux, exceptionnellement les judéo-chrétiens. Quel autre humain ne voit les images de Dallas, pour ne pas y découvrir le cri venant de l’effroi, annonce de la douleur humaine, que le brusque emportement, l’impératif à s’envoler, à quitter l’horreur, à repousser le calvaire, à rejeter la terreur, la nécessité à l’échappatoire qu’exprime instinctivement cette dame éclaboussée par le sang de son homme, son époux. Ici, la douleur est interpellatrice, parce qu’elle ne reste qu’essentiellement humaine, pour si franche réaction que celle qu’offre l’inexplicable qui survient à un moment pendant lequel on ne sut jamais la prévenir. Rien qu’une main, pourtant humaine, repoussa le corps de cette dame, pour si simple que la ramener à sa place, que très probablement la sauver d’autres torts. Oui, le fils de cette femme de Nigritie qui ne savait ni lire, ni écrire, ne fut qu’à l’effort d’observer la main humaine. Elle lui permit de saisir le fait d’une bonne école. Désormais il prend la précaution de ne pas se réclamer maître, et surtout ne pas se reconnaître savant de tout principe. Il a entendu l’humain raisonner, que dire : « L’homme n’est pas le seul animal qui pense, sans doute, il est le seul animal qui pense qu’il n’est pas animal ». En vérité, le fils de cette femme de Nigritie ne sait de qui vient cette pensée, cependant, il soutient que Darwin fut exclusivement, qu’avant tout qu’un observateur. Il serait toute bonne chose de belle justice que celle pour laquelle tout homme serait fondamentalement sage que pour son propre individu, par son compte. L’occident ne saurait jamais expliqué ce qu’il entend sous tel de valeurs universelles. Telles valeurs, pour bien viles, attachées à si peu concret entendement sur l’universel, se limitent uniquement à la force et à la violence. Pour la part de cet enfant de Nigritie, son discernement de la chose naturelle aurait au moins désormais permis à de bien nombreuses personnes de se découvrir douées de grande qualité de prêche et de sagesse. La question de dieu, il en a fait une si belle mode, tel autre cas de traumatisme. Tout le monde en parle désormais, un peu comme si les fondements d’une chose de grand mensonge étaient menacés. La religion, c’est l’output pour telle domination du monde de la communication. C’est le canal de l’information dans cette guerre que l’humain mène contre lui-même. Le comble cependant repose sur le justifié de l’intouchable, de l’exclu à la réflexion, du protégé contre la raison, qu’aux gardes du sacré, qu’aux mains du pouvoir, qu’à l’exclusion du devoir, qu’en effet, il faut s’attendre à recevoir, et tel, qu’au meilleur cas sans jamais voir. Il faut se taire. Il faut le taire. On est rendu meilleur pour cette fonction. Que de se taire, qu’aux dépossédés de leur humanité, la démocratie ne peut pas être à telle nature dont semblable que semblerait offrir l’Occident. Les pays de Nigritie ne portent pas telle originalité qui soit de leur invention. C’est l’Occident qui a crée ces Etats, ces républiques, qu’autre empire. Jadis, ce fut aussi une tentative pour l’Orient, avec ses sultanats. Découvrir le prix qu’on fait payer à un homme qui refuse une mafia, un non sens, une inconscience, est de la bonne œuvre qui renseigne sur l’horreur propre que propose une tyrannie. Il n’est pas de juste situation, en laquelle on découvre la figure d’un tyran, si ce n’est d’encore meilleur que par le fait de l’esclavage. Cet enfant de Nigritie a refusé le Christianisme et il a connu le prix. Simple encore est ce prix, et il ne vaut que la guerre. Voilà ce même schéma en tel autre pays, en bien de terres occidentales se réclamant de démocratie, contre tel autre homme, qu’aussi sauvagement méprisé, piétiné, brutalisé, pour si moindre tort qu’affirmer qu’il n’appartient qu’à la Nigritie, qu’il est un homme d’une certaine race, qu’il porte aussi dignement sa qualité que son humanité d’homme dit « noir », qu’en réalité, il se refuse à la dépendance, à l’ignominie, à l’insulte de son humanité que représente tel portrait, qu’en effet, il entend se libérer de cette horrible sujétion. Le prix à payer contre l’autoritarisme fut encore lourd. On le paya pour s’acquitter de l’obligation qu’il impose, tel traumatisme venant de cet absolutisme répugnant. On est encore que quitte pendant qu’on a enduré la persécution. La somme est faite par le bilan sur tant de contraintes qu’on a essuyées, de si graves épreuves traversées. En cela, on distingue le despote de ces hommes qui entendent encore faire triompher leurs irrationalités. La servitude qu’on devrait dire à d’autres peuples, d’autres humanités. L’intolérance qui voue à l’avilissement l’individu victime de si grave atteinte, qu’en tel, et d’autre que se considérer affirmé dans la persuasion qui le tient de toute estime qu’en cette cause sienne qui soit irréprochable de sens, le détermine vers ces clairvoyances qui ne sachent que davantage corrompre son libre-arbitre. On aurait eu l’expérience du tourment pour telle opinion qu’on porte, et dont on a suffisamment que partagé raison, pour savoir qu’il n’est pas de tout principe imaginable capable d’apporter toute contradiction à ce fait qui soit réel, qui soit évident. On aurait regardé dans les yeux du despote. On pourrait témoigner sur l’insulte cruelle. On dut encore se battre qu’avec soi-même pour entendre dire autre raison qui voudrait que, de toute effectivité, il ne soit pas de doute pour lequel on ne sait plus s’arranger à admettre combien le fait religieux n’est que d’intolérance, en toute finalité, que pour manipulation d’aussi vrai dessein que d’objet de communisme. Il faudrait bien accorder la liberté à tel qui soit bon que de se faire soi-même meilleur. Il conviendrait de respecter les règles, et cela que pour tous. Le système de terreur de l’Occident a ramené l’homme de Nigritie à plus grave, au point de le tenir pour tel humain qui n’existe que pour avoir uniquement peur de sa propre ombre. Il fut une fois, qu’en un cours, où on mit cet enfant de Nigritie à l’école, en laquelle on entendait l’amener à penser sur le mot Israël. Ce fut sans dommage, en tel lieu, qu’en Nigritie. Ce même mot qui pourtant lui fut d’un temps libre que d’usage, est devenu l’objet d’une énorme faute pendant qu’il l’eut innocemment évoqué, qu’en Occident. Ce même mot que juif, lui est devenu objet d’un interdit. Ce fut aussi le prix. La preuve, il en a fait assez bonne école que savoir exactement qui il était, d’où il venait, et à quoi il devrait ressembler, qu’encore, tel qu’il ne pouvait pas être, autre que se savoir d’humain fondamental, pendant qu’il ne laisserait plus personne lui trouver une identité, lui prendre sa nature, toute autre qu’une complaisance. Pour ces mots, Israël et juif, on le traina aux rigueurs proposées à ceux qui disent leur enthousiasme sur le conflit israélo-arabe, Israélo palestinien. Il en a encore, que d’un principe, fait bonne école. Il fut sans intention. Il découvrit cependant, autre réel, pour lequel, il fut simple d’admettre que, d’unique que pour cette cause en cette guerre, celle entre juifs et arabes, israéliens et palestiniens, Israelites et leurs adversaires, le restant des humains ne doit plus connaître la liberté. Ce fut bien fort. On l’invitait dans une chose qu’il n’avait jamais connue, jamais imaginée, jamais sue, qu’encore que, il ne la désirait pas, et surtout, tel qu’il ignorait profondément. On prétendit le dresser. Il ne manqua de se redresser. On essaya de l’étourdir. En tel complot, il put encore découvrir ceux qui durent l’ourdir. Il eut l’expérience, d’où sa liberté conquise. Il a vu l’un, et il a observé l’autre. Les deux sont autant persuadés de la sentence sur la qualité de l’humain qu’il porte. Ce fut encore l’instant de son indépendance. Elle lui vint par la souffrance. Elle l’assiégea par la douleur. Ses bourreaux se montraient assez appliqués. Tant de supplices, tant d’afflictions, tant de tortures. Pour une si longue nuit, il a tenu le malaise. En un jour encore lointain il a repoussé la désolation. Il a entendu un homme d’Occident lui crier son amertume. Il a vu un homme d’Orient lui cracher sa méchanceté. Longtemps encore, il a porté l’infortune. Il n’a exactement pas su quand prit fin son calvaire. Il ne le sait pas toujours. Son quotidien, pour si nombrables faits, fut encore que coloré de malheurs. Le sourire fut autant que toute chose rare. En telle situation, l’histoire justement sait venir en aide. On se défend et on prépare son discours. Il ne souligne que ce qu’on a observé, tel qu’on a vécu, si simple en tel dont on se découvre. Il est d’un titre que celui sur le discours de l’homme dit « noir ». Ce fut aussi ce tort fondamental que cet enfant de Nigritie a porté pendant qu’il était en Occident. Il n’avait de devoir que s’interroger, pendant qu’on ne tenait son humanité qu’au soupçon de celle qui soit condamnée à courir derrière l’argent. L’autre pourtant sait fabriquer l’or, et d’artisan qu’au moyen de l’incantation. Pour autre temps, il fut trempé d’un souvenir que se rappeler qu’on put accuser les dirigeants de Nigritie d’être des communistes. En tel tort, il n’y eut de réactions tangibles que par celles de si brutales mains qui aboutirent à les assassiner. Ce fut telle époque d’une autre si sombre justice que par le retentissement d’un maillet sculpté d’un tout métal rare. Le communisme fut presque éradiqué, et de moindre que pour tel qui soit désigné pour objet d’échec. Ce fut le dessein du monde capitaliste. Aujourd’hui, il en est d’usage de même méthode conduisant au mutisme de l’homme de Nigritie. La guerre étant désormais celle du monde arabo-musulman contre tel occidental, judéo-chrétien, qu’alors, par telle accusation de transfuge, d’encore que par l’abjecte de toute calomnie, au moyen de laquelle on combat désormais l’homme de Nigritie qui ne se reconnaît ni dans le Christianisme, encore moins dans l’Islam, et cela, ni dans l’un, ni dans l’autre, qu’en effet, abandonné à ce sort, il devient la bonne victime du monde occidental, qui le falsifie, et de moindre que le faire passer de l’autre coté, celui de ses adversaires naturels, pour tant de siècles en un conflit pour le contrôle de la libre raison humaine, qu’en réalité, on se demande donc si le monde occidental arrivera aussi à éradiquer l’Islam de la planète entière, que vice-versa, qu’à l’évidence, il ne sera que de bonne mission, car on ne massacra plus l’homme de Nigritie, pour si moindre qui ne lui reste qu’une étrangéité. Ainsi va le monde. Ainsi il va, et de mieux que par la violence. Les juifs et les arabes ont échoué, et cela que lamentablement. L’expression de la violence ne sera jamais de cette incorrection qui sache tordre une raison. Les juifs et les arabes peuvent encore rectifier tant d’absurdités, qu’alors, il leur faudrait simplement enseigner le temps, pour tel qu’ils ne savent pas, et de mieux que pour ces moindres périodes qui s’adaptent à leurs récits. L’existence n’était pas organisée que sur la seule base d’une légitimation de superstitions et superpositions de vices de consentements. En cela, ils entendent enseigner autre monstre que la démocratie. Certainement, telle qui soit d’autre illustration pousserait les hommes de Nigritie à se tuer entre eux, parce qu’elle viendrait balayer la tradition qu’elle insulte, qu’encore, elle ne saura jamais condamner un parricide, ni un matricide, qu’en moindre, un fratricide. En tel contexte, d’aussi essentiel que rejeter les acquis, la démocratie, manifestement porte aussi le même sens que dirait une élection, qu’à l’endroit de celui qui aurait lu la « République » de Platon, et la « Politique » d’Aristote, qu’à la fois, on saurait le tenir à pied d’égalité, que d’égal à égal, avec tel qui ne les aurait jamais lu, qu’autant ne pourra jamais les lire. L’essentiel serait là, dira-t-on. Il faudrait simplement faire un choix. L’Occident inspirateur de la démocratie est encore le même que tel qu’un de ses propres enfants ne désigne, entre autre, que pour ce milieu mystérieux, où s’exerce une violence inapprochable, par toute qualité qui soit de même que celle de la « dictature de la police de la pensée ». L’Occident, pour tel qu’il soit, celui d’un peuple fondamentalement identifiable par sa race, qu’encore que majoritairement, n’est pas prêt à entendre, à comprendre qu’il continue à infliger des souffrances énormes à la Nigritie. En cela, voilà exactement ce que c’est que sa malédiction. Cet enfant de Nigritie écoute Lumumba, lorsqu’il parle de « frères de race » devant Baudouin. Il ne désigne ni l’israélite, encore moins l’arabe. Il parle véritablement de « frères de race », et, de toute exactitude que pour celle qu’il ne partageait en réalité pas avec ce roi qu’une certaine violence humaine venant du monde occidental lui avait imposé. Pour si moindre exemple, toute propriété de civilisation, qu’en ce contexte, était celle d’une race, une tyrannie sur une toute autre, celle de l’homme dit « noir ». Baudouin était encore un roi, belge, occidental, peut-être juif, mais très certainement Judéo-chrétien. Il n’était pas considéré comme « frère de race ». Ce ne fut pas une insulte. Il n’avait pas subi la souffrance que portait le discours de Lumumba. Au contraire, l’homme de sa race avait été celui qui l’infligeait aux hommes de Nigritie. Jamais, on ne permit aux hommes de Nigritie de l’apprendre, de l’enseigner et surtout pas de le savoir. Le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, ne pense pas qu’il fut aussi intelligent que Lumumba. La preuve, tout ce qu’il dénonça, bien avant sa naissance, est encore de ce moindre pour lequel on admettrait que rien n’eut été résolu. Le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, l’a aussi vécu, pour bien savoir, qu’à son tour, distinguer un « frère de race ». Il faut l’entendre, et oublier ces vaines rhétoriques sur le sacré, sur l’élu, puisqu’en réalité, elles ne font que nous faire tourner, qu’encore qu’autour du même pot. Il faudrait encore apprendre à respecter le capital. Il faut le respecter. Il importe désormais de le faire. Il est tel pouvoir qui aveugle l’Occident et l’Orient, au point où ils ne se rendent même pas compte des crimes qu’ils commettent. La force du capital fait passer la criminalité pour toute excellente moralité. Tel qui se refuse à la contradiction, n’impose à sa raison que le fait de la barbarie. Cette violence, irrémédiablement, oblige à ne pas manifester l’obligation au doute. L’homme était pourtant né libre, la société, cependant ne manqua à sa mission. Elle corrompt, qu’inévitablement. Il en est de toute chose pertinente qui soit de l’essentiel que porte ce livre. Il faudrait bien partager les douleurs de ce personnage, qu’encore que chez tout supplicié, tel qui ne pouvait véritablement qu’être retenu à son sentiment, lorsqu’il apprécie ces dénuements qui l’étranglaient et pour si petite raison que celle de ne pas s’aligner sur ces considérations qu’il ne cesse de prendre pour tyranniques. Justement, celui qui se retrouve là, refusant d’avaler des récits de trouble, par le complot, se découvre encore que là, à avaler son propre trouble, que double. Ces gens qui voulaient lui dire qu’ils étaient d’un autre milieu, qu’ils étaient supérieurs par leurs origines, cependant, d’évidence, n’admettaient pas que leurs mérites avaient été, d’autre succès, que successifs aux nombreux crimes, lesquels permirent à leurs parents de pouvoir se distinguer par telle prétention qu’ils n’ont cesse d’affirmer. Comment pouvait-on parler de droits de l’homme pendant qu’un homme de Nigritie subissait telle forte barbarie pour des choses qui soient si faciles à comprendre ? En cela, « Les juifs n’achèteront pas ton livre », serait-on encore tenté de lui dire. Ils ne le feront pas vendre. Ils vont t’espionner, le pirater, qu’alors, se lancer dans une entreprise de diffamation. Ils vont le divulguer par des méthodes qui n’ont cessé de les qualifier. Les hommes sauront tout de son contenu, sans jamais l’acheter et le lire. Cela ne vaudrait qu’une méthode. D’effectivité, et justement, il en est de ce que porte ce livre. L’un dira que le monde bascule, cependant, il ne sera jamais celui qui saura entrainer ceux qui n’ont rien d’absurde, dont ils ne manquent de tendre au dérisoire qu’une identité religieuse. Le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, aurait certainement tout perdu, cependant, il s’est détaché de toute ignorance, et d’aussi bien persuadé, puisque le juif est tel qu’il n’ignore plus désormais, l’israélite non plus, l’arabe encore moins. Que de les savoir désormais, quel salut ? Que l’israélite et l’arabe soient certains du fait selon lequel, toute opportunité, qui sache œuvrer pour toute quelconque circonstance conduisant l’homme de Nigritie à se faire une véritable connaissance de leurs êtres et personnes respectifs, qu’en conformité avec leurs historiques, constitue la belle occasion à partir de laquelle l’homme de Nigritie tiendra toujours une distance qu’auprès d’eux. Le destin de l’homme de Nigritie n’est en rien lié, ni à l’histoire du judaïsme, ni à celle du christianisme, encore moins à celle de l’Islam. Le destin de l’homme de la Nigritie ne lui est propre que par le sang froid qu’il pose sur l’histoire de la Nigritie. Cette forme de choix qu’on impose à la Nigritie, pour une partie de ses enfants, est totalement inadmissible. Nombreux déjà, que presque tous, sont ceux qui ne peuvent plus se passer du pain, cependant, bien qu’ils le mangent, dans leur consommation, ils ont rejeté ce choix et cette forme arbitraire qui les conduisent vers ces théâtres répugnants, qu’autant aussi sales par l’identité de duperie qu’on leur impose. Personnellement, qu’en qualité d’auteur de ce livre, tel qui entend lever la faute de mon géniteur, qu’ensuite me faire passer pour un usurpateur, pour si moindre que m’humilier au fait de la contrainte qui vient d’une table, eh bien, qu’il soit rassuré, ce livre ne manque d’apporter l’explication sur ce qui semble conduire à usurper. Il faudrait toujours tenir un litige pour tel qu’il offre par son principe. Le droit, vraisemblablement, le renverserait. On admettrait donc que nul n’est parfait, qu’en effet, rien n’est imparfait. Si l’Occident ne m’avait pas contraint à l’injustice, je ne serais personnellement pas là à discuter de l’incompréhension d’un temps, pour unique motif que survivre. Certes, cela n’est pas toute excuse, cependant il faudrait aussi justement le tenir, que d’y commencer. En si moindre, je ne comble pas mon être de reproches. Heureusement, l’opprobre vers lequel on tient désormais, qu’à ma personne, ne sort pas du cadre de la Nigritie. Autre crime pourtant est ailleurs. Que basse manœuvre, et à suffisance. Voilà justement la rue dont je parle. Si petit mérite. D’œuvre, ayez qu’encore que souffle que vous recevez. L’humain ne pourra pas arrêter de se montrer ridicule, par telle prétention le distinguant à parler de dieu, telle chose qu’il ne peut qu’indéfiniment ignorer. Cependant, que d’invention humaine, elle ne cesse d’être une grande entreprise, pour toute fin que celle à toute mission de dominer l’humain, si ce n’est de le déshumaniser. Le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, parle des juifs, pas en termes de haine, pas en termes d’idéologie, cependant, pour si simple que pour des choses qui relèvent du savoir. Il a du endurer bien de faits pour savoir qui sont les juifs. Il le sait désormais. Il sait de quoi il parle. Ne les a-t-il pas vus ? N’a-t-il pas subi leurs foudres ? Le Christianisme des juifs, et l’islam des arabes, pour l’homme de Nigritie, que le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, est, ne sont que des faits d’agression, d’oppression, d’humiliation. D’autres peuples n’ont-ils pas pu repousser ces abjections? Il peut bien le savoir. L’école encore lui apprit sur l’humanité des « boxers ». Les ironies, les insultes, les mutilations, les travaux forcés, flagellations, tortures, châtiments, tueries, massacres, carnages, disait encore Lumumba devant Baudouin, « on le subissait parce qu’on était nègre » . Rien n’a pourtant changé. Il en est encore d’aussi semblable que d’actuel. Les hommes de Nigritie souffrent d’encore inhumainement, parce qu’ils ont en face, ceux qui ne sont pas, et ne seront jamais « des frères de race ». L’avouer n’incite pas à la haine. Aucunement. Observez encore que, lorsqu’on parle de la naissance du Jazz en nouvelle Orléans, on ne l’évoque qu’en tel lieu qu’on nomme « Congo Square », jamais on ne parle de « Afrique square », encore moins « d’Arabie square », qu’encore que jamais on ne parlera de « Judée square ». Pour si moindre exemple, dira-ton encore que l’humanité, qu’au meilleur, l’histoire de la Nigritie est telle dont on confondrait l’exactitude avec celle des juifs, celle des arabes ? Le sieur Julien Drey, un politique du parti socialiste, disait encore : « personne n’a d’avenir s’il n’a d’histoire ». Cet homme qui le dit, le sieur Julien Drey, a eu les faveurs de l’existence, pendant qu’il sait d’aussi bien de son histoire et de son identité. Nul ne lui prendrait telle réalité sienne. Au fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, désormais, il ne lui arrive plus de se prononcer sur toute chose pour laquelle il reste totalement ignorant. Il avait parfois assisté à des cours de sciences juridiques sur le régime présidentiel. En telle activité, il fut surtout médiocre, devrait-il encore le confesser, cependant, assez éveillé pour entendre des enseignants dire, aussi bien en Nigritie, qu’en Occident, que ce régime américain est fondamentalement animé par des lobbys, et de principal, que par le lobby juif des Etats-Unis d’Amérique. Ces enseignants le désignent encore comme le plus puissant de tous, qu’encore le véritable moteur de cette machine. Autre savoir est déjà, qu’à la disposition des enfants de Nigritie, pour lequel on leur fait ouvertement entendre que les dirigeants américains furent encore ceux qui décidèrent de la mise à mort d’un dirigeant de Nigritie, en l’occurrence, Lumumba. Sieur d’Ormesson, le monde occidental voudrait-il, pour tel cas, laisser les enfants de la Nigritie aller vers ces inférences, pour lesquelles, ils désigneraient aussi facilement un coupable en tel crime? Est-ce exactement ce que les hommes d’Occident voudraient laisser entendre ? Est-ce véritablement ce qu’ils attendent entendre les enfants de Nigritie professer ? Les hommes d’Occident pensent-ils que, lorsque des enfants de Nigritie le feraient, il suffirait simplement de les tenir à toutes bien formes de représailles, pour celles si banales, consistant à leur interdire de boire une bonne bouteille de Guinness, et de manifestation, qu’autre que la découvrir brisée, qu’en effet, on observerait que les tessons seront déposés dans un plat pour repas, et de moindre mise en scène que laisser aussi facilement distinguer cette harpe en or qui orne cette bouteille ? Tout cela parle pourtant. Tout cela trahit des symboliques, que de nombreux sacrifiés pour le besoin. Pour tant de méthodes d’un langage boiteux, que de moindre intimidation, veut-on laisser entendre aux enfants de Nigritie que ce lobby, qu’encore que si extrêmement puissant est tel qui porte la responsabilité de l’assassinat de cet illustre dirigeant de Nigritie, ce si cher « frère de race » ? Soyez rassuré, sieur d’Ormesson, ce livre ne porte pas cette accusation. Il ne le dit pas. Il porte cependant plus grave accusation encore. Il parle d’école, de toute chose qu’elle enseigne, autre que vous n’ayez jamais connue, cependant, tel que vous ne semblez pas ignorer, et qui soit justement l’inférence. J’ai vu en bien de lieux en Nigritie, des images montrant le calvaire des hommes de Nigritie ayant des mains tranchées, pour si moindre motif qu’avoir refusé d’obéir aux volontés du colon occidental, pour travaux forcés, et bien d’autres inhumanités le retenant à ne servir le colon que dans des conditions aussi indignes. J’ai vu les images de Kunta Kinté, auquel on tranchait le pied, pour si moindre que lui interdire de ne pas aller en liberté. Ce fut encore l’œuvre de l’homme d’Occident, n’est-ce pas ? Tel qu’on a condamné chez Hitler, on le voit désormais être pratiqué sur des bêtes, sur des humains. Si on a pu être épargné par la violence des autres, on se sait tout au moins solidaire de soi-même, qu’en une justesse que défendent des idéaux qui animent l’humain qu’on représente, et de vive fidélité qu’en besoin d’intégrité. La question du pain en Nigritie est relative à la réalité de ces hommes face au droit à travailler. Pendant qu’on les amène à ne pas comprendre que travailler est un droit, on livre plutôt des armes à des gouvernements, à des milices, chargés de protéger les intérêts des entreprises des occidentaux. Le travail, justement, en Nigritie, ne devait pas être un droit pour tous, parce qu’il est en vrai cette franche source de liberté. Tel homme de Nigritie qui serait libre n’aurait plus besoin du tranquillisant que lui procure le roman des juifs, qu’en moindre celui des arabes. Cet homme de Nigritie devenu libre saurait trouver des stupéfactions ailleurs, et d’aussi nobles que celles qu’il se serait construit lui-même, qu’en effet, pour telle loi du travail, en si simple que l’offre et la demande, les « entreprises » juive et arabe devraient déposer le bilan. Cela, ce peu, tout le monde pourrait le comprendre, et d’encore, par toute justesse, même chez ces élites de Nigritie qui se retrouvent occupant des sièges en ces assises dites internationales, qu’à la fois, la diaspora, et même tous qui constituent ce qu’on pourrait d’aussi essentiellement figurer, pour tout simple qu’un contre poids contre les véritables orientations et aspirations que prendraient des hommes avisés en Nigritie, d’une part, qu’encore de bonne lecture, une espèce de monde retenu en captivité, d’autre part, dont les expectatives, les challenges représentent cette corde sur laquelle on ne cesse de tirer, et d’unique fin que fragiliser ce sens d’une vue profonde des hommes en Nigritie, qu’alors, ils n’ont de regard que pour une admiration à l’endroit de ceux qui passent pour des captifs. Pour toute ruse opérant à reprendre une liberté aussi chèrement acquise par un homme de Nigritie, face aux tyrannies que représentent le Christianisme des juifs et l’Islam des arabes, on voudrait l’amener à se conformer, que lire le langage des mafieux, se mettre au langage des sanguinaires, se distraire au langage des criminels, lequel demeure le même, cependant reste cette absurdité de toute violence qui ne sait pas le déstabiliser. Quoi d’autre qu’il sache user. Jamais, ces fantasmagories ne sont sujets à des raisons. Nous, les hommes de Nigritie, ne sommes plus que dans une partie du monde, de la planète, où on nous tient pour parqués comme du bétail, dans une réserve du monde occidental, surveillée, contrôlée, qu’en effet, l’Occident prend encore son temps, et se prépare pour en faire si bonne propriété plus tard, qu’en solution, qu’en définitive.
Posted on: Mon, 16 Sep 2013 18:36:13 +0000

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