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VACCINS & MICROBES : les relations désastreuses Les écologistes nous mettent en garde contre le réchauffement climatique, les dangers du nucléaire ou l’effondrement de la biodiversité. Et ils ont bien raison. Mais rares sont ceux qui prennent la mesure du principal péril menaçant l’espèce humaine : les vaccinations de masse et leur multiplication insensée! Contrairement à ce qu’on nous fait croire, les vaccins ne sont en effet pour rien dans le déclin des grandes épidémies de jadis. En revanche, il y a tout lieu de penser qu’ils sont en partie responsables des fléaux actuels et de ceux qui se profilent. Pourquoi ? Parce qu’ils modifient et perturbent profondément l’univers des virus et des bactéries. Sous la pression vaccinale, l’écologie microbienne se transforme et acquiert un caractère pathogène qu’elle n’aurait pas, ou n’aurait plus si l’évolution naturelle de notre biotope était respectée. Dans ce dossier, Françoise Joët nous explique notamment que les ravages de la tuberculose sont clairement imputables à deux siècles de lutte artificielle contre la variole, et que la polio n’aurait pas fait tant de dégâts sans les vaccins contre la diphtérie et la coqueluche ! Autres exemples à l’appui, notre collaboratrice montre bien que les vaccins constituent probablement la menace écologique numéro un. On le sait depuis longtemps, lorsqu’une niche écologique reste vacante, elle est immédiatement occupée par une autre espèce, la nature ayant horreur du vide. Ainsi a-t-on vu se succéder diverses maladies au cours du temps, les unes remplaçant les autres avec les mêmes cycles d’évolution : l’émergence, de fortes poussées, un palier stable puis leur déclin. C’est en somme le schéma d’une courbe de Gauss. Le principe qui régit ces modifications écologiques avait été défini par le Pr Marko GRMEK dans son livre « Histoire du sida » (Ed. Payot, 1989) sous le terme de « PATHOCENOSE ». La fréquence de chaque maladie dépend de la fréquence des autres maladies dans la même population. « Une sorte d’unité, explique M. GRMEK, ne réunit pas seulement toutes les maladies d’une population, et dès à présent de presque toutes les populations du monde, mais aussi l’ensemble des microbes. Entre ces êtres minuscules et en apparence si simples existent des équilibres subtils, des échanges d’informations et des potentialités d’adaptation dont on commence à peine à soupçonner l’existence. […] Quatre grandes ruptures d’équilibre pathocénotique se sont produites dans le passé du monde occidental : au Néolithique, avec le passage au mode de vie sédentaire ; au Haut Moyen Age, avec les migrations des peuples venant d’Asie ; à la Renaissance avec la découverte de l’Amérique ; et, enfin, à notre époque avec […] la chute de la plupart des maladies infectieuses. Avec la disparition d’un plan de morbidité, un autre apparaissait [1]». Autrement dit, dans la nature, chaque trou qui a été creusé dans un équilibre naturel est immédiatement comblé. La pression excessive exercée sur une espèce de bactérie ou de virus est aussitôt compensée par le développement plus fort d’une autre espèce. La succession des maladies dans le temps n’est pas le fruit du hasard : il faut qu’il y ait, comme on vient de le voir, un élément déclencheur ; l’apparition d’une maladie, l’installation d’une épidémie et leur disparition, tout à une explication.
Posted on: Sun, 01 Dec 2013 21:20:22 +0000

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