Voici un conte féerique ..mais tout à fait véridique ! Il ETAIT UNE FOIS UN TEMPLE QUI N EST PAS DU TOUT TRISTE… !! Il était une fois le temple de l’IMZAD…Le temple d’AMOUR !!... Notre charmante conteuse ( Jo lilly Serrant), qui aime nous bercer chaque soir avant de dormir avec ses si beaux contes , « accrochant à la splendeur du ciel nos rêves parmi les étoiles scintillantes » …nous raconte encore . .. « qu’il était une fois une fée.. qui s’appelle Min Ajli El Imzad…Une fée que Boukayas dans une publication d’en bas, atteste la voir de ses propres yeux oscillant une baguette magique pour faire un temple ,elle le met en haut…très haut…sur les nuages , juste au dessus du cœur de l’Ahaggar et le tient en l’air grâce à un escalier en un très long rosier suspendu…Imane Sellal l’une des nombreux apprentis sorcier de l’ interminable liste. .., nous libèrent d’en haut des nuées de papillons pour nous inviter à ce temple de merveilles et nous prêter main à escalader les marches du rosier fantastique, tout en admirant la chanson « Amasli wan Imzad » ,la voix de l’Imzad, que nous fredonnent les petits oiseaux jalonnant joliment le sentier en rosier… .Les adorables petits gardiens du temple en groupes musicales …jusqu’à ce que nous arrivons à l’abracadabrant édifice.. !!!...à sa porte Youcef Amrouche qui nous accueille avec un sourire taquinant et toujours avec son hahaha , nous aspergeant d’une si douce convivialité, il nous fait signe de rejoindre avec lui les bancs de la classe de sagesse, celle des maitres touaregs …Mais avant que la cloche ne tinte ; Imane nous fais une petite dictée sur ardoises pour vérifier l’orthographes de quelques règles d’or du temple à ne pas enfreindre…chacun de nous écrit ...1- Obligation du tutoiement entre Imzadiens et Imzadiennes …2- Obligation de s’adresser les uns envers les autres avec un « cher » et « chère »…3- Obligation de parsemer parfois les commentaires avec le hahaha de Youcef…et 4- prohibition de suppression de la liste d’amis entre Imzadiens et Imzadiennes…Puis vient un homme bleu à l’allure élancée d’un vrai maitre..vite nous croisons les bras , en dociles écoliers pour bien comprendre son préambule sur « le salut au temple » ,qui au lieu de serrer la main , doit se faire en traçant le code de séduction des touaregs , en traçant un cercle au creux de la main avec l’index pour enfin le pointer au centre de ce cercle……….. après avoir assisté le cours en proverbes , poèmes, contes , chants targuis …Des forces magiques de mains invisibles nous guident vers une drôle de chorale dans une drôle de salle très obscure…tous ensemble …nous chantons le « savoir aimer »… « … Savoir donner..donner sans reprendre..ne rien faire qu’apprendre..apprendre à aimer.. aimer sans attendre ..aimer à tous prendre..apprendre à sourire..rien que pour le geste ..sans vouloir le reste…et apprendre à vivre et s’en aller !!! » mais il se trouve que cette chanson doit se faire sans la prononciation d’ aucun mot…sans aucun mot appartenant à une quelque langue ou dialecte…C’est pourquoi « Youcef Amrouche » nous fait un signe comique de loin, nous mimant de chanter le savoir aimer en imitant seulement la gestuelle de Florent Pagny……. youtube/watch?v=g-gh2hIRhkc Soudain la lampe de Florent s’allume tout d’un coup …et on commence à voir des grimaces par ci et par là…car du coup on découvre les visages des uns et des autres… et du coup on découvre surtout nos différences de races…Et c’est là que la voix de notre invisible fée surgisse doucement et nous interpelle à méditer son nom « Min Ajli El Imzad ».. . « Voyez vous..nous dit elle , ce nom que je porte ??..c ‘est un nom d’une autre espèce que je n’appartient pas…alors que je défend la culture de l’espèce berbère … !!. ..Qu’importe !!.. Qu’importe que le nom que je devrais avoir soit mon surnom avec bien d’autres surnoms … !! »…(Imzad Dassine) une autre apprentie sorcier intervient , nous rajoutant que la richesse de l’humanité réside dans la richesse de ses diversités , et c’est pourquoi nous dit elle que je donne des cours de Tifinagh sur mon mur à d’autres espèces ,et que vice versa, même l’espèce touarègue apprendra leurs langue …quoi de plus beau !!!... Oscillant sa baguette magique sur nous, notre fée nous fait rendre brusquement compte que nous avons pu s’aimer à l’obscure salle alors qu’on étaient de PARFAITS INCONNUS !!! les uns pour les autres… !!!...Nous avons pu quand même s’aimer, alors que nous étions de parfaits inconnus qui ne tenaient compte d’une quelconque différence …et là (Abderrazzak Hafiane) nous tend chacun un pinceau pour peindre une toile qui dépasse de très loin la splendeur des siennes …et la splendeur de toute autre toile qui puisse exister…notre toile à nous les imzadiens et imzadiennes n’est faite que d’un blanc plus blanchâtre que le cœur d’un enfant..et plus blanchâtre que le blanc même…Car c’est la toile de l’AMOUR… !!. ..Une fois achever la peinture, Notre fée nous égrènent encore et encore d’autres mots fabuleusement très magiques… !!... et nous appellent à en faire de l’AMOUR une FOI….Et c’est ce qui fait révolter le farouche mais très bon (Momo Juba)… « Mais attendez là…qu’est que vous me racontez ??...Moi je suis un adepte de cette foi depuis belle lurette.. !! Vous n’avez qu’a voir mon profil sur facebook , c’est écrit que mes opinions religieuses sont celles de l’amour…mais si vous voulez, je vais vous montrer la preuve de ma conviction »…il prends dés lors son appero « un bon Riccard »et prend une photo du monde d’en bas..ensuite, il nous la fait voir en disant « Vous voyez comme le monde entier est si petit et si insignifiant de ce haut temple d’AMOUR… ??!!! »…Ayant de ce fait le plus beau sentiment qui puisse exister…nous se voyons rapidement dotés de superbes ailes d’adorables petits angelots qui ne font que battre au rythme d’ « on va danser, on va chanter , c’est ça la vie la la la la la !» avec le king Khaled…et ainsi ,des portes internes du temple s’ouvrent grandement à nous pour nous accueillir à un pays de merveilles plus merveilleux que celui d’Alice… !!!..un monde où chacun cueille des sucettes du gigantesque arbre né spontanément de notre AMOUR, pour l’offrir à ses camarades de chorale devenus désormais des chérubins angelots..un monde où tous ensemble en une « bande de brigands » , volent à la dérobée un magique plateau exhibé au mur de Youcef Amrouche, de quoi on se sert les plus beaux jeux d’antan , la corde ,la marine ,cache cahe.. le jeu de petites pierres « les osselets » Ainsi qu’Imane nous corrige l’appellation ………….C’est fou combien l’Amour fait de nous bizarrement de si joyeux enfants .. !!!.. ……..Tout en chantant les chansonnettes de notre tendre enfance, nous consentons à faire un autre jeu qui consiste à balancer tous ensemble un immense filet de pêche à l’immense océan saharien qui se trouve au dessous du temple flottant sur les nuages…un filet pour pêcher un tat de poèmes de silence …Avec un « hé la hop….hé la hop » nous le balançons… et avec lequel nous devenons des muets…des muets qui récitent les poèmes de toutes les dunes sahariennes…pour enfin décider de descendre sur terre à travers le rosier fantastique en défilé la main dans la main… et construire l’édifice d’un MONDE MEILLEUR… !!!..Un majestueux et auguste édifice.. où chacun de nous n’est appeler qu’a déposer une petite et insignifiante pierre.. …..Mais soudain, par la fenêtre du temple d’en haut ,nous appelle (Danna bay) d’(Imzad guitare)furieux « Mais comment ça se fait que vous vous empressez ainsi à partir comme ça sans aucun au revoir… ??!!...Revenez de temps en temps arroser l’arbre d’Amour pour qu’elle ne se dessèche pas… »… Gazouillant sa belle chanson « Naghra Ayetma » nous l’entendons chanter (Je vous appelle , tous mes frères ..tous ensemble ..arrosons notre arbre…ne le laissons pas mourir et revenons à l’arbre desséchée qui a besoin d’eau.. !! »……………....Ainsi s’achève un conte à l’interminable liste d’apprentis sorciers , et à l’interminable liste d’Imzadiens et imzadiennes, qui tous aux riches cœurs , pardonnent charitablement un manque de subtilité capable de les citer tous et de citer tous leurs pouvoirs magiques…des apprentis sorciers , Imzadiens et Imzadiennes trés généreux qui pensent d’ores et déjà à corriger le manque de subtilité pour inclure ce qui a été omis dans NOTRE CONTE A NOUS TOUS !……….Ainsi s’achève un conte qui ne se conjugue pas au passé………. Et ainsi l’honorable érudit Messaoud Sellal , qui se consacre à écrire le vécu et vivre l’écrit , ne tarde pas à se résigner sur le mur facebook de Youcef Amrouche à nous écrire clairement un dernier commentaire ,sans aucun de ses habituels lexiques si difficiles…finissant son écrit par une citation de Omar El Khayam «Nos jours passent comme l’eau du fleuve ou le vent du désert, cependant je reste indifférent à la journée qui est passée hier et celle qui arrivera demain. Fin de citation ».…Puis tenant la tête entre le pouce et l’index d’une main , et de l’autre sa plume…il efface « fin de citation » et écrit « Parce qu’il était une fois l’amour , il l’est encore …et restera pour toujours…. »...Et touta touta makhlasetche el hadouta… !!...Un récit d’un conte s’achève ; mais makhlasech le conte infiniment infini de l’IMZAD ...le conte d’AMOUR ………….. Sur ça , la tendre bise de notre charmante conteuse se met plus tendrement encore sur la joue de chacun de nous Imzadiens et Imzadiennes pour nous souhaiter , bonne et douce nuit…Un souhait saupoudré toujours de ses minuscules petits cœurs …………………………………
Posted on: Thu, 12 Sep 2013 18:11:41 +0000
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