« Wilfrid, je te le répète, lui dit Bernard en face, je ne suis plus dans le coup. Tu m’avais dit que tu allais juste me montrer quelque chose qui n’avait rien de commun avec cette affaire. Si cette chose n’est pas là, je crois que je vais te laisser. » Wilfrid était revenu intelligemment sur l’affaire. Bernard fit encore un balayage du regard du restaurent. Le verre de scotch devant Wilfrid avait été déjà assez entamé par le garçon. Il but encore une bonne rasade ; nerveux. Bernard ne prit rien. Dehors, Alex attendait dans la voiture. Wilfrid se fâcha que l’informaticien sur qui repose l’affaire lui face totalement fau bon. Il avait toujours espéré. Et on ne dit pas non à l’‘’immortel.’’ Wilfrid entra dans une colère noire. « Tu n’as encore rien compris, dit-il ouvertement à Bernard. Tu es un imbécile. – Je ne te permets pas cela ! – C’est ce que tu es. – Wilfrid, rétorqua Bernard énervé lui aussi, arrête ! » Mais Wilfrid n’arrêta pas. « Tu n’as rien dans la cervelle. Tu n’as fait qu’user tes fesses sur les bancs de l’école. Peut être qu’à un teste même, tu sortiras nul. Je suis persuadé que tu trichais pour tes notes. – Des armes en plastiques », fit Bernard excédé. Il voulait laver l’affront, montrer qu’il avait du répondant. « Elles ressemblent textuellement aux vraies, poursuit-il. Elles sont en ce moment commercialisées pour enfants. Vous vous introduisez dans l’établissement avec. Elles passent au scanner. Vous intimidez les gardes, à qui vous ne laissez pas le temps de réfléchir. Vous les dépossédez de leurs armes. J’ai étudié tout le système, c’est le plus performant du moment. Rien n’y peu. Un système à laser indétectable à l’œil nu protège généralement en plus l’entrée des coffres, imprenables du reste. Il vous faudra des lunettes spéciales. On n’a pas besoin d’un diplôme pour le savoir. » Fixant encore Wilfrid, il assena : « Et ne me contacte plus à ce sujet ! » Bernard se leva après cela. Il le quitta. Wilfrid régla l’addition, déposant un billet dans le sous tasse. Alex dans la voiture, mit le moteur en marche à sa vue. Wilfrid monta. « Il donne quoi, demanda aussitôt Alex, l’intello ? – Il m’a filé un tuyau, lui répondit Wilfrid, je vais l’étudier. » Ils partaient. Désirée contait ses déboires à Esméralda. Elle lui fait confiance. Désirée était vraiment inquiète. « Il me fait peur, il est devenu dangereux. – Mais, lui dit Esméralda, tu peux bien porter plainte contre lui. » Esméralda était sincère. Elle adore Désirée. P.59
Posted on: Mon, 29 Jul 2013 11:58:02 +0000
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