Zouzi Chebbi Mohamed Hassen: Il est une question sibylline qui se trouve souvent posée, dès quil sagit daborder lhistoire en marche comme un polar, on peut sans dommage essayer la vision policière des agitation fiévreuses qui saisissent une société ou un ensemble régional de pays limitrophes imprégnés des mêmes cultes et cultures: A qui profite le crime. Cette méthode un peu raide jouant sur les mécanismes hypothético-déductifs, permet de requalifier un événement majeur, le paradigme que tu nomme le quatorze janvier (Je tépargne mes interprétions numéro-logiques sur la terrible signification du 14, moitié du cycle lunaire et paire de semaine etc.). Sans hésitation je te répète ce que je me rappelle tavoir déjà dit lors dun échange furtif dil y a quelque temps, je me range du côté de thèse dAlain Badiou qui qualifiait démeutes ces événement sanglants alors que les gogos naïfs se gargarisait du terme de révolution, de soulèvement populaire et dautre fanfaronnades aussi tonitruantes que creuses. Comment sétonner dès lors que toute la crème recrutée par les pêcheurs en eau trouble saute sur loccasion comme la petite vérole sur le bas clergé breton! pour profiter de la curée, aidée en cela par des masses de liquidités financière venue de là où tu sais, en exécution dun vaste plan de déstabilisation générale qui part de la jonction Afrique-Asie et rampe comme la peste noire vers le Maghreb et le continent matriciel de lhumanité (lAfrique). Il suffit pour cela de regarder une carte avec les yeux dun général poussé dans les moustaches de Genkiz Khan ou dans la barbe de Bismarck! Laction caritative qui permettait aux organisations dénaturantes de la foi des miséreux abandonnés par les Etats-voyous se concotait ici et là entre Londres, Washington, Riadh et Doha. Rien que les milliers de prisonniers de droit commun libéré par le chef de lEtat sur lordre de celui qui, dans son coin de guide suprêmeet pilote expert en manipulations occulte, la désigné pour exécuter ès-qualité et par la grâce ridicule des maigres prérogatives qui lui restaient pour faire bonne gueule de Président malgré lui comme interface dun médecin de la même farine, sont amplement suffisants pour les basses œuvres de barbouzes gardiens de la dite révo-démolition. On parle de manière choquante et obscène dune transition denculage lamentable des sans-culottes qui ont toujours été le dindon de la farce.Bien évidemment je partage ta colère et ton amertume, devant limpuissance avérée à corriger le tir. Quand on voit stoker des armes de guerre à travers un si petit territoire, il nest point besoin dêtre une lumière pour comprendre que ce nest certainement pas pour aller à la chasse au dahus. Je tinvite cependant à tenir bon! lespoir seul permet de tenir et de penser debout!
Posted on: Mon, 25 Nov 2013 09:22:50 +0000
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