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a lire et à savoir comment la plus part des marocains ont devenu des milliardaires dans un laps du temps Lors de l’AGO du Conseil de la Ville le 31 octobre, cinq dossiers relevant du patrimoine communal ont été examinés. Lido, Sqala, marché de gros… les clauses de certains contrats sont ahurissantes! Jugez-en! Le Lido: Akram dégage ! Exploité par le tant controversé Abdelilah Akram depuis juillet 2002, voilà que deux années après la conclusion du contrat avec la commune, ce dernier revient à la charge et demande la prolongation du contrat pour…45 années. Demande acceptée par le conseil de la ville à condition que l’entreprise Plein ciel s’engage à investir 33 millions de DH en équipement et dédie 60 MDH à la construction d’un hôtel et d’un parking de deux étages. Les travaux devaient démarrer en 2006 et se terminer en 2011. Sauf qu’en 2010, coup de théâtre. La commission des investissements de l’Agence urbaine de Casablanca répond négativement au dossier présenté par Akram. Et pour cause : le contrat rectificatif avec la commune n’a pas été ratifié et pose donc le problème de son effectivité. Au regard de la loi, plus rien ne lie la commune à Akram. Un nouveau cahier des charges et un nouvel appel d’offres sont en préparation. Notons que ce complexe était loué à 1,35MDH par an ! La sqala, un grand mystère ! Devinez à combien ce lieu historique est loué à l’entreprise Resto-Pro ? A 750DH par mois. Non, nous ne sommes pas trompés de chiffre en omettant un ou deux zéros. Ah, un détail : la superficie dépasse les 1.000m2. Pire, le contrat signé en 2006, liant l’entreprise à la commune de Casablanca, a pris fin le 30 novembre 2011. Et depuis, Resto-Pro exploite la Sqala sans verser de contrepartie à la ville ! Sans parler de l’esplanade exploitée par cette entreprise sans projet et sans autorisation. Complexe sportif Zenata : IAM, ce mauvais payeur ! Deux contrats sont à revoir. D’abord le premier signé entre la commune de Bernoussi et la société Atlantic Beach (Abdelmajid Semlali). Cette dernière exploite le complexe en contrepartie d’une redevance mensuelle de 10.000DH pour une durée de 10 ans, renouvelable par tacite reconduction. Il a été convenu de résilier ce contrat et de lancer un nouvel appel d’offres sur la base d’un nouveau cahier des charges. Un deuxième contrat est conclu avec Maroc Telecom qui y occupe un local de 24m2 depuis 1999 en contrepartie d’un loyer mensuel de 3.000DH. Montant dont le locataire ne s’est jamais acquitté, selon un document émanant du conseil de la ville. Deuxième hic et non des moindres : le contrat de bail ne reconnaît le droit de résilier le contrat qu’à une seule partie, Maroc Télécom en l’occurrence. Il est prévu de revoir les termes du contrat et demander à IAM de payer ses arriérés. L’ancien marché de gros Roches noires : Miloud Châabi évincé Le projet d’un hypermarché Aswak Assalam à l’ancienne halle de fruits et légumes du quartier Roches noires tombe à l’eau. Le conseil de la ville a décidé, à l’unanimité, de poursuivre en justice l’actuel exploitant des lieux. Ceci fait suite à l’assemblée générale ordinaire de juin 2012, tenue par la commune Roches noires, lors de laquelle il a été décidé de résilier le contrat conclu avec le groupe Châabi. Le montant du loyer n’a pas été dévoilé par le Conseil de la ville. Salles des fêtes Moulay Rachid : un nouveau cahier des charges en perspective Dépendant du complexe de tennis, la salle des fêtes ainsi que le café Moulay Rachid ont été loués à Brahim Cherkaoui et Mohamed Moustaid en août 2003. Montant du loyer annuel: 9.350DH, majoré de 10% tous les cinq ans. Lors de l’AGO du 31 octobre, le conseil de la ville de Casablanca a voté à l’unanimité le projet de préparation d’un nouveau cahier des charges pour l’exploitation de ces équipements.
Posted on: Fri, 08 Nov 2013 12:34:44 +0000

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