imagine à suites avec Harry partie 6: *PDV dHarry* On venait de terminer notre performance à Vérone, en Italie. Nous rentrâmes en coulisses et après mêtre changé, je saissi mon télépjone tel à mo habitude pour appeller [ton prénom]. Avant davoir eu le temps de conposer son numéro, je maperçu quelle mavait laissée un message vocal, jécoutai donc celui-ci : «Salut mon amour, je voulais simplement tannoncer avec regrets que je dois me rendre en Iran. Je sais que je tavais promis de ne pas y retourner mais je nen ai pas le choix. Il reste 4 ans de service à mon mandat. Sache que je taime de tout mon coeur et que je tenverrai des lettres le plus souvent posssible. Tu mas aidée à retrouver un quotidien de vie normal et grâce à toi javais réussi à oublier les atrocités de la guerre. Je suis désolé de devoir te laisser une deuxième fois, ce nétait pas mon intention. Je taime et ce, jusquà linfini. Au revoir mon amour.» Non... non, non, non ! Elle mavait promis ! Je me mis à pleurer, de peur de la perdre définitivement cette fois-ci. - Ça va Hazza ? - Non, bien loin de là Liam. - Explique. - Elle est repartit là-bas. - Ouch... Pour combien de temps ? - Je nen ai pas la moindre idée... *ton PDV* Cela faisait déjà deux mois que tu tuait des gens et faisait exploser des villages en but de faire régner la paix. Paradoxal, non ? Tu ny avais jamais rien compris. Chaque semaine, tu envoyait une lettre à Harry. Les recevait-il ? bonne question, tu nen savait rien. Aujourdhui, le stress était à son maximum pour chaque membre de ton régiment. Vous vous aprêtiez à effectuer un débarquement dune haute importance qui pourrait mettre vos vies en péril. - Trois, deux, un, SAUTEZ ! Tu te laissa tomber en bas de lavion de pointe. Rendu à la moitié de ta chute, tu ouvris ton parachute et te mis à tirer sur les militaires Iraniens qui se trouvaient sous tes pieds. Un fois posés au sol, vous vous regroupèrent et vous rendirent sous les ruines dune résidence. Tu tavança un peu plus que les autres et après avoir parcouru quelques pas, ton sang se glaça. Tu te figa et cessa de respirer. Ton pied venait de se poser sur une mine anti-personnelle. Comme si ce nétait pas assez, un soldat de ton régiment tenta de lancer une grenade sur le bâtiment voisin mais au plus grand malheur de tous, elle ricocha et retomba où elle avait été lancée. Les soldats se sauvèrent aux pas de course tandis que toi, tu étais prise au piège, condamnée à mourir dans un quart de seconde. Je poste la DERNIÈRE PARTIE à 10 jaimes et 5 avis :) #Gabrielle
Posted on: Sun, 17 Nov 2013 21:31:59 +0000
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