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je ne sais plus répondre en pv, donc voici pour les sœurs qui mon posé les questions sur le sujet, Quelques explications sur le voile (nhésiter pas a partager) Salam alikoum wa rahamtou Allah wa barakatouhou mes chers soeurs et frères filah. Je tenais dans cet article incha-Allah traiter le sujet du voile islamique. Ceci qui ma poussé à faire cet article est une phrase que jai lu: le voile islamique nest pas un fard ( une obligation) mais une sunna (une tradition) , donc il est facultatif et quil suffisait seulement de se vêtir décemment. SobhanAllah ta3ala, ceci est faux, ce sont des turpitudes de Satan quAllah le maudisse. Les gens sobhanAllah veulent innover el qouran el karim. Lisez ce qui suit incha-Allah. Cela peut paraître long mais lisez incha-Allah. Ceci est le devoir de tout musulman. QuAllah vous en récompense. Amine. Bismilahi arahmani arahim. * Tout dabord,la réalité spirituelle du hijab nest que peu connue. Malheureusement nous constatons quaujourdhui des polémiques sentretiennent toujours au sein de la communauté musulmane sur le quand, comment et pourquoi porter le hijab. Une chose est certaine cependant et doit lêtre pour nous toutes, cest que le hijab est Fard (obligatoire). * Rappelons quil ny a pas dobéissance dans la désobéissance à Allah (Subhanahou wa ta3ala), et qu il nest donc pas autorisé, quand on se dit « muslima » de prendre certaines règles de lIslam pour en laisser dautres sur le côté. * Il est certain que le chemin spirituel est différent selon chacune. Mais ce qui est plus sûr encore, cest que Dieu exige de chacune dentre nous que nous apprenions notre religion, et de faire de cette étude est un acte dadoration envers notre Seigneur et Créateur. * Le port du hijab, en tant quélément de soumission envers Allah (Subhanahou wa ta3la), et en tant quélément préservant notre moralité et notre chasteté, fait partie de ces actes dadoration envers Allah az Zawajal. * A lheure actuelle, il est malheureux de constater que lon prend prétexte des problèmes sociaux pour ne pas porter le hijab. Il est plus facile de craindre la société et de clamer quavec la tenue islamique il nest pas possible de trouver un emploi, que de craindre Dieu dans sa punition et de lui demander secours, alors que LUI Seul est le Pourvoyeur. Bien entendu la société est ce quelle est, mais notre foi doit être entretenue. * Le chemin du Paradis nest pas un chemin facile, et il ne faut pas croire que pour y parvenir nous ne seront pas éprouvées. Sourate 3 - Verset 200: « Ô les croyants! Soyez endurants. Incitez-vous à lendurance. Luttez constamment (contre lennemi) et craignez Allah, afin que vous réussissiez » * Mais si lon frappe à la bonne porte, celle de Allah Subhanahou wa ta3la, qui peut nous certifier que les personnes qui nous sont ennemies aujourdhui, ne nous seront pas favorables demain ? Allahou a3lam (Dieu est plus savant) * Il nous faut garder en tête , chères surs, ce que Aïcha (radhia Allahou anha) a dit : « Ne cherche pas à tattirer lagrément des gens en tattirant la colère de Dieu ; cherche plutôt lagrément de Dieu même si tu dois tattirer la colère des gens. » * A côté du rappel de limportance spirituel du hijab dans lislam, il y a toute la problématique sociale qui est à démystifier : Les discussions concernant le hijab manquent souvent sincèrement dobjectivité en tant quélément vu avec les yeux de la crainte et du préjugé. Pour certains, le hijab renvoie inéluctablement au statut inférieur de la femme et à lobscurantisme. Pour dautres, qui sont au sein de notre communauté, il est devenu un phénomène de mode ou reste une tradition. Il est plus que temps de craindre Dieu, de savoir pourquoi on porte le hijab, et de démystifier les polémiques autour de notre symbole dappartenance à lIslam. * Il sagit ici de donner une définition correcte du hijab, rappelant quil ne sagit pas seulement de se couvrir les cheveux en présence détrangers, mais bien de ne laisser paraître que le visage et les mains et dêtre responsable du hijab par le comportement chaste et vertueux quapplique la musulmane. * Je parlerai également inchaAllah de lhabit islamique que la musulmane se doit de porter en présence détrangers et qui se définit selon 8 conditions bien précises. Je passerai également en revues les principales objections au port du hijab, en tentant dapporter des explications islamiquement correctes pour contrer son refus. Le hijab ne doit pas être le complexe de la musulmane, mais au contraire, sa fierté dappartenir à une grande communauté, égalitaire entre chacun de ses fidèles, ou seule la piété entretient les différences. QuAllah Subhanahou wa ta3ala nous aide chacune à entretenir notre foi, à ordonner le convenable et à interdire le blâmable, quIL nous fasse miséricorde et nous accepte parmi ses pieux serviteurs. Amine. 1 Définition du hijab et de lhabit islamique de la croyante 1.1.: Le Hijab en bref Contrairement aux fausses idées qui sont véhiculées depuis un certain nombre dannées, le voile de la femme en Islam (appelé communément Hijâb dans le vocabulaire juridique) nest en aucun cas le symbole dune revendication politique ou idéologique, ni une marque de soumission et dinfériorité quelconque par rapport aux hommes et encore moins un simple vêtement traditionnel, lié à certaines cultures. 1.1.1. Double dimension du Hijab En portant le voile, la femme musulmane, - Fait acte de soumission et dobéissance envers Allah (première dimension), - Agit pour sa protection morale, en préservant sa pudeur et sa chasteté (deuxième dimension). Comme on va le voir par la suite, Incha Allah, une bonne compréhension de ces deux aspects que lon retrouve dans le Hijâb permet déjà déloigner un certain nombre dobjections superficielles qui sont très souvent soulevées à son encontre. Allah az zawajal, dans le Qouraane, après avoir ordonné aux hommes de garder le regard baissé, demande au Prophète Muhammad (sws) de sadresser aux croyantes en ces termes: Sourate An nour, verset 31 : Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et quelles rabattent leur voile sur leurs poitrines; et quelles ne montrent leurs atours quà leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs surs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves quelles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes... Première dimension évoquée: En lisant ce passage coranique, chacun peut se rendre compte quil ne laisse place à aucune ambiguïté: Cest Allah Lui-même qui ordonne, par le biais de Son Messager (sws), aux femmes de ne montrer de leurs atours, en présence dhommes étrangers, que la partie qui en paraît.: Le respect dune tenue vestimentaire bien particulière pour la femme relève de ses devoirs envers Allah Subhanahou wa ta3ala. Deuxième dimension évoquée On comprend aussi que cette prescription divine est liée à la protection de la chasteté et, par extension, à la dignité de la femme. Prise sous cette perspective, on se rend compte que le fait de couvrir certaines parties du corps constitue un bienfait indéniable pour la femme. 1.1.2. Parties du corps que la femme peut laisser paraître: Pour ce faire, il faut se référer aux explications qui ont été apportées à ce sujet par les compagnons (radhia Allahou 3anhoum), par les savants et par les commentateurs musulmans des premiers siècles de lIslam. § A ce sujet, linterprétation qui a été retenue par la majorité des commentateurs du Qourane est celle qui a été donnée par Ibn Abbâs (radhia Allâhou 3anhou). Selon lui, le terme ce qui en paraît désigne les deux mains et le visage. § Il est également intéressant de prendre en considération la réaction des femmes musulmanes à lépoque du Prophète Mouhammad (sws) lorsque ce verset fut révélé: LImâm Boukhâri r.a. rapporte à ce sujet les propos de Aîcha (radhia Allâhou anha): QuAllah fasse miséricorde aux premières femmes émigrées; dès que le verset quelles rabattent leur voile sur leurs poitrines fut révélé, elles découpèrent le drap quelles portaient (au dessus de leurs vêtements) et lutilisèrent pour se couvrir la tête (ainsi que leur cou et leur poitrine). Le second verset qui évoque lobligation de porter le voile est le 59ème de la Sourate 33, dans lequel Allah dit: Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles: elles en seront plus vite reconnues et éviteront dêtre offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux. Le mot arabe employé dans ce verset et qui a été traduit par grands voiles est jalâbîb. Encore une fois, sil existe des divergences quand à la nature, la forme et la taille exacte de ce voile, il y a cependant unanimité entre tous les commentateurs du Qouraane sur un point: ce voile en question recouvre entièrement la tête et les cheveux. (imposé aux épouses du Prophète (sws)) § Enfin, la nécessité de porter le Hijâb a été explicitement évoquée par le Prophète Mouhammad (sws) dans la célèbre Tradition rapportée par Aboû Dâoûd: Aïcha (radhia Allâhou anha) raconte quune fois, sa sur, Asma (radhia Allâhou anha) entra chez le Prophète Mouhammad (saw) avec des vêtements transparents. Le Prophète Mouhammad (saw) se détourna delle et dit: Ô Asma, quand la fille devient pubère, il ne convient pas de voir delle une autre partie que celles-ci (et il lui indiqua le visage et les mains).(Hadith Moursal) Ces trois références que nous venons de voir prouvent au moins deux choses: 1- Le port du Hijâb est bien une prescription divine. 2- Les cheveux de la femme faisant partie du awrah, il est donc nécessaire de les couvrir en présence détrangers, au même titre que les autres parties du corps, exception faite du visage et des mains. 1.1.3. Passons en revue les principales objections au port du Hijab: 1ère Objection: Le Hijâb ayant pour objectif de sauvegarder la pudeur, si une femme a un comportement chaste et empreint de modestie et de retenue, pourquoi donc devrait-elle le porter ? Ce genre de question peut se poser si on ne se réfère quà la deuxième dimension du Hijâb qui a été évoquée plus haut. Par ce genre de discours, on oublie la première dimension qui est, pourtant, beaucoup plus importante: Lacte dAdoration envers Allah Subhanahou wa ta3ala. En effet, si le port du Hijâb a, effectivement, un rôle actif dans la protection de la pudeur, il nen reste pas moins quil sagit surtout dune prescription divine et absolue, dont lapplication de la part de la croyante doit être inconditionnelle. En dautres mots, on pourrait dire quil y a là deux choses bien distinctes: * La première, cest le commandement de la part dAllah de se couvrir les cheveux, qui font partie du awrah de la femme. * La seconde, cest le devoir pour celle-ci de toujours agir pour protéger sa pudeur. Il est évident que lapplication et le respect de lune de ces deux choses ne dispense pas de lautre (auquel cas il serait tout à fait légitime daffirmer que, le principal objectif des prières obligatoires quotidiennes étant de permettre au croyant de se souvenir de Dieu, cest pourquoi, il nest pas nécessaire à celui qui reste de façon permanente dans la pensée et le rappel dAllah de faire la prière !!!!) Il ne sagit pas doublier lavertissement sévère lancé par Allah Subhanahou wa TaAla dans le Qoran à lattention de ceux qui avaient justement cette fâcheuse habitude de ne pratiquer que de façon partielle les commandements qui leur était révélés: Croyez-vous donc en une partie du Livre et rejetez-vous le reste ? Ceux dentre vous qui agissent de la sorte ne méritent que lignominie dans cette vie, et au Jour de la Résurrection ils seront refoulés au plus dur châtiment, et Allah nest pas inattentif à ce que vous faites. (Sourate 2 / Verset 85) De la même manière, il est important de rappeler ici quil y a une responsabilité associée au port du Hijab: Autant cest une prescription divine et donc un acte dadoration envers notre Seigneur, autant le comportement de la soeur doit sassocier à cet acte de dévotion. Il sagit de mettre en pratique ce que lislam ordonne comme enseignement de léthique vis à vis de Dieu, de soi et des autres (Khoulouq mâ Allah, mâ an nafs, mâ an nâs) La responsabilité du hijab sera donc mise en avant dune part par le fait de porter le hijab pour Allah az Zawajal et dautre part, par la mise en pratique de cette adoration dans le comportement islamique de la croyante. 2ème objection: Ce qui importe aux yeux dAllah, cest la pureté et la sincérité du cur. Lapparence physique ou la tenue vestimentaire Lui importe peu. Ce nest pas parce quune femme ne portera le voile que cela portera atteinte à la Majesté dAllah Il faut rappeler quAllah na pas besoin de notre adoration mais nous avons besoin de LUI. Par ce biais, il est certain que la personne qui ne respecte pas ses obligations religieuses ne cause aucun tort à notre Seigneur mais se porte préjudice à elle seule. Cest en effet elle et elle seule qui aura à rendre compte devant Son Créateur de ses faits et gestes. En cela, rappelons que lon est musulman (soumis à notre Seigneur) quand on déclare prendre pour soi et sous pleine acceptation les principes des 5 piliers de lislam et des 6 piliers de la foi. Nous rappelons donc quil ny a pas de musulmans pratiquants ou non pratiquants. Il nexiste pas de distinction entre la foi et la pratique quotidienne. Le Qouran est on ne peut plus clair à ce sujet quand il lie, dans un très grand nombre de versets, la réussite éternelle aussi bien à la foi (Îmâne) quaux bonnes pratiques (Âmâl Swâliha). En effet, lIslam se caractérise par le fait quil représente un véritable mode de vie: La pratique du musulman ne se limite pas à lobservation des seules pratiques rituelles, telles que la prière, le jeûne, laumône etc.. En fait, tous les aspects de son existence que ce soit au niveau de sa conduite (dans ses relations avec autrui, dans son comportement au sein de la société, dans ses transactions etc..), mais également sa façon de satisfaire ses besoins essentiels et fondamentaux (manger, boire, se vêtir etc) sont concernés par les principes inspirés des sources fondamentales de lIslam: Le Coran et la Sunnah. Preuve par la Sourate 6 / Versets 162 et 163) Dis : En vérité, ma Salat, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort appartiennent à Allah, Seigneur de lUnivers. A Lui nul associé ! Et voilà ce quil ma été ordonné, et je suis le premier à me soumettre. 1.1.4. En conclusion: La foi du musulman, qui se loge au fond de son cur, se doit de rayonner sur toute sa personne et de lui dicter sa conduite. Cest pourquoi il est inconcevable, pour un musulman, de minimiser certaines obligations divines. Auquel cas, cela reviendrait pour lui à soctroyer le droit de faire le tri entre les prescriptions dAllah et de déterminer lesquelles peuvent être abandonnées, car sans importance Son titre de musulman ou musulmane (littéralement, soumis (e)) perdrait alors tout son sens 2. le vêtement islamique. 2.1. le hijab et le jilbab de la femme musulmane à travers le Coran et la Sunna : épître du Sheikh al Albâni(Rahimahou Allah) [/c] A travers cet épître, nous reprendrons inchaAllah, les 8 conditions qui doivent être appliquées à lhabit de la femme musulmane lorsquelle sort de chez elle ou lorsquelle est mise en présence détrangers : I : Il doit couvrir le corps Preuve par la sourate An nour, verset 31 : « Et dis aux croyantes quelles baissent leur regards et quelles gardent leur chasteté, et quelles ne montrent de leur parure, que ce qui en paraît, et quelles rabattent leur voile sur leur poitrine ; Et quelles ne montrent leur parure, quà leur mari, ou leur père, ou au père de leur mari, ou à leurs fils, ou aux fils de leur mari, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sursEt repentez-vous tous devant Dieu, ô croyants. Peut-être serez-vous gagnants. » Par ce verset , il y a donc bien lapport de preuve que seuls, le visage et les mains ne peuvent paraître, alors que tout le reste du corps doit être à labris du regard. II : Être épais, non transparent La transparence ne fait quajouter à la femme la beauté et lattirance de la convoitise masculine notamment. Le Prophète (sws) dit à ce propos : « Il y aura dans ma communauté des femmes habillées, mais nues, sur leur tête il y a comme des bosses de chameaux, maudissez-les car elles sont maudites» et il (sws) ajoute : « Elles nentreront pas au Paradis et ne sentiront pas son odeur, bien quon puisse sentir son odeur de telle et telle distance » III : Ne pas être une parure en lui même La preuve est apportée par le verset 33 de la sourate les Coalisés : « Tenez vous digne dans vos foyers, et ne vous montrez pas de la façon dont on se montrait lors de lancienne ignorance » Le but du vêtement islamique est de protéger la chasteté de la femme en la préservant du regard de séduction et en élevant sa dignité. Il serait donc inconcevable que ce vêtement deviennent une parure lui même, attirant donc sur lui et par la même sur la croyance, le regard de lhomme. IV : Être ample, non serrant : Rappelons que lIslam a déterminé le port du vêtement selon deux buts : 1) Couvrir la nudité 2) Parer le corps Dans la sourate 7, verset 26, Dieu Exalté dit : « Ô fils dAdam ! Nous avons effectivement fait descendre sur vous des vêtements cachant vos parties honteuses ainsi que des parures » V : Ne pas être parfumé : La femme doit faire tout son possible pour éviter que lhomme ne se retourne sur elle. De la même manière cela ne sera pas possible si elle se parfume pour sortir de la maison, laissant ainsi une traînée de parfum qui la suivrait au cours de ses déplacements, provoquant, de la sorte, lattirance de lhomme sur elle. Le parfum enivre, cest une évidence ! Il n y a donc pas sujet à polémique sur linterdiction pour la croyante de se parfumer pour sortir de chez elle. Elle peut par contre user de tous les parfums quelle désire chez elle, mais avant de sortir, elle doit sassurer que le parfum sest évaporé, si ce nest pas le cas, quelle fasse le ghousl avant de sortir. Ghousl=grandes ablutions. Les hadiths suivants apportent les preuves nécessaires à laffirmation avancée. * Abî Moussa al Asharî a dit que le Prophète (saw) a dit : « toute femme qui se parfume puis passe devant les gens pour quils sentent son odeur, est une fornicatrice. » * On a raconté quAbou Houraira (rar) rencontra une femme dont le parfum fut répandu. Il lui demanda : « O servante du Tout-Puissant ! Etais-tu à la mosquée » - Oui répondit-elle - Tes-tu parfumée ? » - oui. Et Abou Houraira (rar) de poursuivre : « Jai entendu mon bien aimé Aboul-Qasim (un des nom du Prophète) (sws) dire : « Dieu naccepte pas la prière dune femme dans la mosquée après sêtre parfumée jusquà ce quelle revienne chez elle et fasse une lotion comme celle pour se purifier de ses menstrues (ghousl) ». VI : Ne pas ressembler à lhabit de lhomme * Le Prophète (sws) a déclaré quil était interdit à lhomme ou à la femme de changer la nature première de sa création. Il (sws) a maudit les hommes qui prennent lapparence des femmes et les femmes qui prennent lapparence des hommes (rapporté par Al Boukhary et les autres.) * Entre dans ces apparences, la manière de parler, de se mouvoir, de se vêtir, Le plus grand mal qui puisse toucher la vie et la communauté est de sécarter de la saine nature et de se rebeller contre ses lois. Or, la nature comprenant un homme et une femme, chacun pourvu de ses caractéristiques propres, le fait de féminiser lun ou de masculiniser lautre dénote un signe évident de chaos et de dégradation des murs. * Selon un hadith rapporté par At Tabari, le Prophète (sws) a maudit dans ce monde et dans lau delà les hommes que Dieu a créé en tant quêtres masculins, mais qui se sont efféminés, en prenant lapparence des femmes. Il a même cité les femmes que Dieu a créées en tant quêtre féminin, mais qui se sont virilisées en prenant lapparence des hommes. VII : Ne pas ressembler à lhabit de la non-musulmane : * Il nest pas permis aux musulmans dimiter les pratiques des non-musulmans, que se soit dans leurs adorations, leurs pratiques usuelles ou leur pratiques cultuelles, culturelles ou quotidiennes. Il y a des sourates nombreuses qui rappellent cela, notamment : -LAgenouillée (Al Jâthiyya), v 16/17 -Le Tonnerre (Ar Rad), v 36/37 -Le Fer (Al Hadîd), v 16. Je citerai un hadith de Abdillah Ibnou Amr Ibnou Ass selon lequel le Prophète (sws) a dit (en voyant deux étoffes traitées au safran) : « Ceci fait partie des vêtements des mécréants, alors ne les porte pas. » VIII : Ne pas être un habit de renom Cest-à-dire par exemple un vêtement de grand marque ou très cher. Dans un Hadith rapporté par Ibn Omar, le Prophète (sws) dit : « Celui qui revêt un habit de renommée sur Terre, Allah lui fera revêtir un habit dhumiliation le jour de la Résurrection, puis lenflammera. » Ceci préserve le croyant de la vanité et de la vantardise, ainsi que la concurrence entre les gens par des apparences futiles. Wa Allahou a3lem. Jazakoum Allah o khayerane wa salam alikoum wa rahmatou Allah wa barakatouhou
Posted on: Mon, 11 Nov 2013 21:24:39 +0000

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