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les moments sont durs Les temps sont durs en Haïti et aucune planification de la sortie de la crise n’est ni formuler théoriquement ni coordonner dans le concret. Les mêmes vieux reflexes de «grenadiers à l’assaut, saki mouri zafe a yo», du déboulonnement des gouvernements juste pour «ôte-toi que je m’y mette, vle pa vle fol ale!» sans que l’intérêt général y soit pour quelque chose. Le dilemme que nous vivons dans cette conjoncture est apparent. D’un côté, l’entêtement de Martelly d’exacerber les conflits par ces attaques verbales et arrogant, par l’empêchement de la bonne conduite des institutions en louvoyant sur l’organisation des élections, par son intervention dans les affaires des deux autres pouvoirs (législatif et judiciaire) de l’État, dont le but est d’imposer une dictature est inacceptable, car des générations se sont battues et sacrifiées contre l’autocratie ambiante dans la culture haïtienne pour changer la donne. De l’autre côté, l’opposition voudrait, soit par vengeance ou par intérêts mesquins, renverser le président et prendre le pouvoir. Les intolérants d’hier se proclament démocrates aujourd’hui. Après avoir collaboré en catimini avec le pouvoir tèt kale, pour une raison ou pour une autre, Lavalas, aujourd’hui, devient l’avant-garde de la bataille contre le gouvernement de Martelly-Lamothe. Une frange importante de la population a un souvenir désagréable du pouvoir anarcho-populiste de Aristide. Ce dilemme n’est qu’apparent parce que le peuple haïtien ne doit pas choisir entre deux maux organiques, des frères siamois: Lavalas et Tèt Kale, nouvelle version du duvaliérisme Jean-claudiste. L’alternative est la planification de la transition car, de toute façon, Sweet Micky est incorrigible. Il nous en a déjà fait la preuve après plus de deux ans à la tête du pays. Sweet Micky contre T-Vice est le même pattern qu’il nous reproduit. Alors, rien à faire. je ne connais pas votre position, mais quoi qu´il en sorte. on est a revivre une situation d´hier. le moi est haïssable, surtout quand on ne veut admettre de nos erreurs. pour en faire croire que nous sommes des dieux. le comportement et la corruption d ´hier est de même aujourdhui, rien ne change on vit dans le passe de notre vieille histoire. un peuple livrer a lui même, une misère assombrie, un chômage douloureux. l´aberration de notre président nous condamne a vivre en dehors du pays car ces actes sont incertains. La crise qui s’annonce inéluctable doit être abordée de façon nouvelle si nous voulons vraiment donner un ultime élan à la patrie commune. L’intérêt suprême d’Haïti doit passer outre la mesquinerie individuelle ou corporative. Si tous les citoyens s’impliquent dans le débat en exigeant le respect scrupuleux de certains principes démocratiques comme le respect de la constitution, donc le fonctionnement des institutions suivant les règles démocratiques émanant de la loi mère, ni l’exécutif ni le législatif, voire l’opposition, ne pourrait nous amener à la dérive. Un peuple décidé avec des idées claires sur la marche des affaires d’un pays est invincible. Rossely pouchanjman.
Posted on: Thu, 24 Oct 2013 16:02:56 +0000

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