quittée, du même oeil envieux que nous regardions jadis le - TopicsExpress



          

quittée, du même oeil envieux que nous regardions jadis le jardin des ombres heureuses... Ni les œuvres, ni les désirs ne-nous suivent ici ; mais il y a place pour les regrets.s’expliquer un peu plus clairement au sujet de ces édifices dont il disait « qu’ils chantent ».nous vivons... Nous sommes, nous nous mouvons, nous vivons alors dans l’œuvre de l’homme ! Il n’est de partie de cette triple étendue qui ne fut étudiée, et réfléchie. Nous y respirons en quelque manière la volonté et les préférences de quelqu’un. Nous sommes pris et maîtrisés dans les proportions qu’il a choisies. Nous ne pouvons lui échapper.l’homme comme poissons dans l’onde, d’en être entièrement baignés, d’y vivre, et de lui appartenir ?t’environner, toi, esclave de la présence générale de la Musique ? Et cette production inépuisable de prestiges, n’étais-tu pas enfermé avec elle, et contraint de l’être, comme une pythie dans sa chambre de fumée ?Je confesse qu’il m’arrivait de me détacher sans le savoir, de la musique, et en quelque sorte de la laisser où elle était... Je m’en distrais à partir d’elle-même qui m’y invite. Puis, je rentre dans son sein.créations de son oeil, et environné de vue. Par deux arts, il s’enveloppe de deux manières, de lois et de volontés intérieures, figurées dans une matière ou dans une autre, la pierre ou l’air.
Posted on: Tue, 23 Jul 2013 10:58:04 +0000

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