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stopper les manipulations du parent aliénant (fonctionnant comme une épée de Damoclès) Niveau léger __________ L’approche légale réside dans la confirmation de la garde de l’enfant au parent aliénant. Une approche thérapeutique n’est pas nécessaire dans la mesure où la confirmation de la garde atténue généralement les symptômes du PAS (cfr. apaisement du parent aliénant) Une fois l’aliénation identifiée, le tribunal doit intervenir, même s’il laisse la garde au parent aliénant. Il est impératif que la famille soit traitée par une thérapie systémique (les thérapies individuelles ne sont pas adéquates, voire augmentent l’aliénation) Niveau modéré ____________ Dans les cas modérés,deux types de recommandations légales dépendant de la sévérité de l’aliénation chez l’enfant et de la ténacité du parent aliénant. Dans le plan A, la garde est maintenue chez le parent aliénant. Cela vaut pour les cas où l’enfant continue à visiter le parent aliéné. Le parent aliénant reçoit des sanctions s’il ne se plie pas aux ordres du tribunal en matière de visite. Le plan B (changement de garde) s’applique lorsque l’enfant continue à visiter le parent aliéné mais la compulsion du parent aliénant est si tenace que la seule solution reste d’opérer un changement de garde L’approche thérapeutique nécessite un intervenant capable d’être autoritaire avec le parent aliénant (menaces) et l’enfant (obligations). La confidentialité doit être modifiée : le thérapeute doit pouvoir communiquer toute information nécessaire au juge. Le thérapeute qui n’est pas à l’aise avec les méthodes de la « thérapie menaçante » (et les adaptations qui en dépendent) ne devrait pas traiter des cas de PAS. Tout thérapeute ne sait travailler commodément avec chaque type de troubles. Il est important que le PAS soit traité par un seul thérapeute (ou groupe de thérapeutes), car le fractionnement réduit la communication et crée des subsystèmes antagonistes à l’intérieur de la famille. En ce qui concerne le parent aliénant, les menaces, utilisées en crescendo, sont cruciales. Face à l’enfant, le thérapeute doit être capable de ne pas répondre à ses demandes explicites ; respecter les désirs d’un enfant aliéné n’est pas lui rendre service. En forçant l’enfant à voir le parent aliéné, le thérapeute le libère du conflit de loyauté : l’enfant a une « excuse » valable à donner au parent aliénant (« Je ne veux pas voir mon papa/ma maman, mais le thérapeute m’y oblige »). Le thérapeute doit également ne pas prendre au sérieux les calomnies et allégations de l’enfant à propos du parent aliéné. Une équipe est nécessaire pour éviter au thérapeute d’être pris dans le système. Dans des cas extrêmes, l’équipe peut avoir besoin d’un tiers extérieur ne suivant pas la famille au jour le jour Niveau sévère ___________ Au stade sévère du syndrome, une approche thérapeutique n’est généralement pas possible avec le parent aliénant, car il n’a pas conscience de ses troubles et considère le thérapeute ou l’évaluateur, ne rentrant pas dans ses schémas de croyances, comme un opposant. Des mesures légales plus strictes doivent être prises. On doit envisager un transfert de garde vers le parent aliéné. Cette idée n’est pas bien accueillie par les juges et par certains professionnels de la santé. Un changement radical de garde n’est, dès lors, pas toujours possible., dans ces cas, des sites transitionnels comme étape intermédiaire à la résidence du parent aliéné. trois niveaux de sites transitionnels : ______________________________ - site niveau 1 : l’enfant est placé chez un ami ou chez un proche avec qui il entretient de bonnes relations. Il peut s’agir aussi d’un home. - site niveau 2 : lorsque le niveau 1 n’est pas possible, l’enfant peut être placé dans une habitation protégée pour enfants abandonnés, abusés, … Ce lieu permet de surveiller le comportement de l’enfant et d’encadrer la visite avec le parent aliéné. - site niveau 3 : si le niveau 1 et 2 n’ont pas été efficaces, l’enfant est placé dans un milieu davantage restrictif et contrôlant : l’enfant est hospitalisé. Pour chaque site, il y a six phases : 1. L’enfant est placé dans le site. Aucun contact avec le parent aliénant n’est permis. Après quelques jours d’accommodation, une visite par le parent aliéné est organisée. Selon la tolérance de l’enfant, la fréquence des contacts avec le parent aliéné est progressivement augmentée. 2. L’enfant va visiter le parent aliéné et revient directement au site transitionnel. 3. L’enfant quitte le site et va vivre chez le parent aliéné. Les contacts en provenance du parent aliénant ne sont toujours pas permis. Si le parent est vu dans les alentours, cela est immédiatement signalé au tribunal. 4. Des conversations téléphoniques courtes sont autorisées avec le parent aliénant. S’il apparaît que le parent aliénant est capable de contrôler son obsession à manipuler l’enfant, des conversations téléphoniques plus longues sont permises. 5. Le parent aliénant vient visiter l’enfant dans la maison du parent aliéné. La fréquence et la durée de ces contacts dépend de la façon dont le parent aliénant réduit l’inculcation et l’animosité envers le parent aliéné. 6. Des visites limitées sont organisées chez le parent aliénant. Cela est rendu possible uniquement si l’animosité du parent aliénant est réduite (sans quoi tout le travail précédemment établi serait caduc) Évaluation ________ Le diagnostic doit précéder le traitement. Il est impératif de définir le niveau de gravité du PAS avant d’envisager les interventions légale et thérapeutique. L’évaluateur ne doit pas déterminer le niveau de PAS en fonction des tentatives programmantes du parent aliénant, mais en fonction du succès de cet endoctrinement sur l’enfant (alors que le traitement ne se base pas uniquement sur le degré d’aliénation de l’enfant, mais sur les attitudes du parent aliénant). Le diagnostic de PAS s’établit sur base de tests, d’une étude de cas détaillée, et d’observations de l’expert . Une évaluation comparative doit être réalisée au niveau des capacités parentales respectives du parent aliénant et du parent aliéné. S’il s’avère que les habilités parentales du parent aliéné sont adéquates, et que le parent aliéné promeut également la relation de l’enfant avec l’autre parent, le tribunal considère un changement de garde, à moins que l’enfant soit à tel point perturbé qu’un changement de garde lui serait nuisible. Si le parent aliéné n’est pas adéquat, le tribunal cherche un tiers capable de prendre en charge l’enfant, et d’encourager l’enfant dans le maintien des relations avec ses deux parents . Il peut être utile, lors d’une déposition, de poser des questions au parent aliénant qui démontrent l’aliénation. Interroger un parent aliénant obsédé est chose facile car ce parent est loin d’imaginer qu’il fait du tort à son enfant. Une évaluation peut être ordonnée par le tribunal. L’évaluateur doit être familier aux standards de conduite d’évaluation ; il doit en outre rester impartial et objectif durant l’évaluation. Chaque participant doit être prévenu des limites de confidentialité. l’évaluation ne soit pas exercée pour une partie seule (qui entraîne généralement une bataille entre experts), mais pour l’ensemble de la famille. L’examinateur doit être neutre et objectif vis-à-vis de chaque sollicitant. Ceci est corroboré par pourquoi l’évaluation doit être unique (de multiples évaluations perdent de vue les interrelations à l’intérieur de la famille). L’évaluation doit identifier les motivations et comportements qui ont mené à la séparation parentale et indiquer si une thérapie individuelle supplémentaire est nécessaire pour résoudre d’éventuels problèmes psychiques.l’intervenant se doit également de communiquer oralement les résultats de l’évaluation. Aussi, plutôt que de conduire l’évaluation en deux ou trois heures (laps de temps incompatible avec une compréhension véritable de la situation), l’examinateur devrait se réserver au minimum six semaines (pour les cas de parents avec un enfant, plus une semaine supplémentaire par personne additionnelle). Enfin, l’évaluateur ne demande pas à l’enfant sa préférence (pour parent). Médiation familiale ________________ Un médiateur entraîne les couples aux aptitudes de résolution de problèmes et de conflits. Beaucoup de médiateurs ne sont cependant pas des professionnels de la santé, et ne connaissent pas la théorie systémique ; ils ne sont donc pas équipés pour combattre un PAS. La médiation consiste à développer chez les parents des moyens adaptés pour dépasser des différends en matière d’éducation des enfants. La médiation est moins coûteuse en temps qu’une psychothérapie et moins onéreuse qu’un litige au tribunal. Lors de la première phase, les parents reçoivent des explications sur le processus de médiation. Les principaux sujets de discorde sont discutés. Les parents apprennent à prendre des décisions ensemble pour ce qui concerne l’enfant. Lors des séances suivantes, les parents mettent en commun leurs points de convergence, et apprennent à régler leurs points de divergence. L’attention est dirigée vers l’intérêt de l’enfant. La médiation se termine par un accord écrit entre les parents. La médiation est de plus en plus « en vogue », ce qui s’explique, entre autre, par son efficacité. Néanmoins, certains la considèrent comme une lubie ; d’autres, comme un moyen viable d’éviter le recours récurrent au litige. Bien que la médiation ne soit pas la panacée dans tous les cas, elle est cependant efficace dans un grand nombre de situations. La médiation exercée par un professionnel de la santé produit un résultat positif et constructif pour toutes les personnes concernées Thérapie comportementale ______________________ le rejet d’un parent par un enfant, rejet fréquemment accompagné d’une alliance avec l’autre parent. Le rejet ne se base pas sur des dysfonctions objectives (abus, négligence, alcoolisme, …) et l’enfant manque d’ambivalence normale (alors que cette ambivalence s’observe chez les enfants envers les parents dysfonctionnels). L’approche thérapeutique consiste à traiter le rejet comme une phobie à traits hystériques. Dans un premier temps, la technique de désensibilisation est utilisée individuellement chez l’enfant et le parent allié. Le parent aliéné est traité seul afin de travailler ses comportements qui maintiennent le problème (rejet par l’enfant). Ensuite, la technique d’immersion est employée : l’enfant est placé chez le parent rejeté pour une période allant de six semaines à deux mois, tandis que le parent aliénant continue à être suivi pour contenir son anxiété et réduire ses intentions de susciter un comportement collusif chez l’enfant. L’efficacité de ces méthodes thérapeutiques est cependant mitigée. Thérapie familiale (thérapies individuelles combinées) ____________________________________________ La thérapie aide le parent aliénant à dépasser les sentiments causés par le divorce (perte, abandon, colère, …) plutôt qu’à les exprimer via les enfants. La thérapie apprend au parent aliénant à séparer ses propres sentiments de ceux de l’enfant. Le thérapeute doit également aider le parent aliénant à se reconstruire, à trouver de nouveaux centres d’intérêt. Le thérapeute tente de débusquer les motivations du parent aliénant étant à la source de son animosité envers le parent aliéné afin de les traiter. Enfin, lorsqu’un parent aliénant (souvent la mère) souffre de privations financières, et qu’il s’avère évident que la plainte est justifiée, le thérapeute peut transmettre, au professionnel compétent, un rapport indiquant la nécessité de réviser le problème. D’ordinaire, cela suspend le PAS Le thérapeute doit expliquer les circonstances d’apparition du PAS au parent aliéné : plus il connaît le phénomène, plus il est à même d’y faire face adéquatement. Le parent aliéné est aidé à ne pas prêter attention aux diffamations de l’enfant.. Le parent aliéné est également aidé dans l’évitement des erreurs communes, dans ses habiletés parentales, ainsi que dans les réactions adéquates face au comportement de l’enfant aliéné. Le thérapeute doit soutenir le parent aliéné à résister aux séismes que cause le PAS sur sa vie. Le parent aliéné doit apporter son témoignage (y compris les raisons de la séparation). Enfin, le thérapeute essaie de tempérer au mieux les pulsions du parent aliéné face à ce type de conflit. Il aide également le parent aliéné à comprendre que l’enfant porte une carapace de haine, instaurée par le parent aliénant. Il faut qu’une atmosphère de liberté de pensée et de parole soit instaurée chez le parent aliéné, pour contrer le milieu du parent aliénant L’enfant aliéné bénéficie d’un territoire neutre où on l’aide à se détacher des querelles parentales. Il est encouragé à juger par lui-même. Le thérapeute essaie de faire comprendre à l’enfant que son animosité à l’égard du parent aliéné a été l’objet d’une influence de la part du parent aliénant. Cette technique de déprogrammation est semblable à celle utilisée pour les victimes de sectes. Le thérapeute ne doit pas respecter le désir de l’enfant de ne pas voir le parent aliéné Thérapie systémique _________________ situation de divorce à un « temps de guerre », où chacun des protagonistes tente à se parer du rôle de « bon parent », et à percevoir l’autre comme « méchant ». Des couples peuvent s’affronter à « armes égales », mais si l’un des deux partenaires ne s’estime pas à même de combattre l’autre ouvertement, la bataille devient plus sournoise, via une stratégie de disqualifications insidieuses et subtiles, qui signe le développement d’un PAS. Une erreur, pour le thérapeute, consiste à tenir uniquement compte de l’avis de l’enfant (forcément influencé par le parent aliénant), et à entamer une thérapie familiale classique. L’approche structurale vise à redonner à chaque parent un territoire propre et délimité. En effet, de nombreuses intrusions peuvent avoir lieu sur le territoire de l’autre : divergences de points de vue, de préférences, de style éducatif, qui ont des conséquences négatives sur l’enfant, étant contraint de faire alliance avec l’un des deux camps. Est importante, également, la notion de hiérarchie : noyés par leur conflit, les parents perdent la capacité d’assurer une hiérarchie compétente. La restitution de frontières claires permet à l’enfant d’avoir deux champs relationnels distincts, ainsi qu’un attachement avec son père et sa mère. L’approche stratégique (de l’école milanaise) précise le lien entre les structures relationnelles passées, et le comportement au présent. Une rupture conjugale peut réveiller des conflits systémiques plus anciens (incluant la lutte de pouvoir). Chaque parent peut alors tenter d’établir une relation particulière avec ses enfants, afin de réparer les carences du passé. L’intervention stratégique consiste à injecter des changements dans l’homéostasie familiale, qui autorisent la création de solutions adaptées au problème présent. Le modèle narratif « le psychisme humain est largement déterminé par un récit dominant sur soi-même et ses relations avec les autres ». Débloquer un problème nécessite que le thérapeute donne une version alternative au récit officiel. Pour cela, il commence par un questionnement (le relative influence questionning) qui consiste à trouver des exceptions (unique outcomes) à la description « saturée par le problème ». Des parents habituellement en conflit peuvent avoir déjà, de manière isolée, réussi à dépasser leurs querelles. Ensuite, il donne consistance à ces exceptions, et entreprend de faire partager ces nouvelles descriptions par les membres du système. Lorsque deux partenaires s’engagent dans une escalade symétrique, ils se perçoivent mutuellement comme malveillants, nuisants, et dangereux, ce qui les motive donc à protéger leurs enfants de l’autre parent, incarnant le « mal ». Des interventions supplémentaires, et spécifiques au PAS peuvent être nécessaires. Le niveau sévère du syndrome exige une collaboration avec les instances judiciaires. La menace de sanction joue alors un rôle structurant. Interventions judiciaires ____________________ La question de savoir si le tribunal doit imposer à l’enfant de visiter ou d’habiter chez le parent aliéné (dans certains cas modérés, et dans les cas sévères) ne fait l’objet d’aucun consensus . Cette recommandation est l’élément le plus controversé dans la littérature du PAS. Un des arguments invoqués est que l’enfant a très peur du parent aliéné et considère son lieu de résidence comme un endroit dangereux ; le transfert peut donc être potentiellement préjudiciable. cette réticence en affirmant qu’en compagnie du parent aliénant, l’enfant se dirige droit vers la pathologie, y compris la paranoïa . Les professionnels de la santé considèrent généralement qu’un changement de garde est antithérapeutique et qu’une coercition peut entraîner de la pathologie. Ceux-ci préconisent un travail lent et méticuleux (« évolution plutôt que révolution »). Malheureusement, le temps joue en la faveur du parent aliénant (plus de temps est utilisé à la thérapie « lente », plus le parent programmant a du temps pour aliéner son enfant impunément). Les juges sont réticents à l’idée de changer la garde. La tendance générale tourne autour du statu quo . Le « contrôle émotionnel » qu’exerce le parent aliénant sur l’enfant ainsi que son refus de donner une « permission émotionnelle » à l’enfant de voir le parent aliéné sont insidieux et difficiles à prouver. la visite forcée comme extrêmement punitive pour l’enfant (l’enfant est puni pour ses sentiments) et contreproductive (la haine se renforce). Au lieu de cela, l’auteur propose le recours à un counselor et à l’encadrement des visites. De son côté, met en garde contre la tentation de tolérer les refus de l’enfant d’avoir des contacts avec le parent aliéné. De plus, superviser une visite confirme les craintes de l’enfant à propos du parent aliéné (dont il faudrait être protégé). Renverser l’aliénation est possible en donnant à l’enfant la possibilité de vivre des expériences positives avec le parent aliéné, sans quoi ses croyances à son propos se maintiennent . une approche plus prudente : - un tribunal reconnaît la nécessité du maintien de contact entre l’enfant et le parent aliéné ; ensuite établit une structure pour le contact, - un professionnel de la santé travaille avec l’enfant et la famille, - un coordinateur fait respecter la compliance, et dénonce au tribunal le parent qui ne s’y soumet pas, - le parent aliénant s’engage dans une thérapie qui lui faire comprendre les dommages causés sur l’enfant. Si le parent aliénant est traité par un thérapeute qui soutient le PAS, le tribunal ordonne le transfert vers un thérapeute connaissant le phénomène du PAS. L’enfant aliéné se trouve généralement dans une relation hostile-dépendante avec le parent aliénant. Un changement de garde abrupt peut provoquer des problèmes chez l’enfant (Stahl, 1999). Au niveau sévère, l’enfant aliéné a incorporé la haine du parent aliénant, ses émotions et ses désirs (il est entièrement capturé dans les filets du parent aliénant). Le Self de l’enfant est totalement dépendant du parent aliénant, et la perte de cette relation peut mener à la destruction de son Self. Il n’est pas adéquat de punir l’enfant pour une méconduite du parent aliénant. Plutôt qu’un changement de garde total, pour que l’enfant passe du temps avec chaque parent à périodes égales et pour de grands laps de temps. Prévention _________ les magistrats(es) devrais apprendre aux parents impliqués dans un divorce de suivre un programme éducationnel destiné à leur apprendre les impacts du divorce sur eux-mêmes et leurs enfants, ainsi qu’à leur faire assimiler la nécessité pour les enfants d’avoir leurs deux parents. une médiation mandataire afin d’éviter le recours systématique au litige. Bien qu’aucune étude n’ait mesuré l’efficacité de ces programmes, les participants en rapportent une satisfaction Les avocats et les thérapeutes se doivent d’informer leurs clients qu’un divorce implique colère, rage, bouleversement, détresse, … Les clients doivent être aidés à reconnaître la normalité de ces sentiments mais aussi à les maîtriser. Aussi, en cas d’aliénation notamment, un avocat est tenu de ne pas défendre certaines actions. Pour ce qui est de la prévention, conférences, les discussions dans les écoles (du niveau maternel au niveau supérieur), ainsi qu’une formation continue, destinée aux parents et aux professionnels intervenant dans le domaine du divorce, consistant à transmettre l’information. Bonne lecture à vous ;)
Posted on: Fri, 30 Aug 2013 15:57:47 +0000

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