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youtube/watch?v=7LAcI01VbKg&feature=player_embeddedère de Priscillia, mépris de Taubira et indignation indécente du Nouvel Obs Publié le 8 septembre 2013 par Caroline Alamachère - Article du nº 319 Christiane Taubira était jeudi soir l’invitée de l’émission Des Paroles et des Actes sur France 2. Vers 21h45 David Pujadas annonce le témoignage en visage caché de la maman de Priscillia, l’une des deux jeunes filles violées et massacrées par un multirécidiviste violent et dangereux en semi-liberté (ripostelaique/violees-et-massacrees-au-nom-du-coran-par-sofiane-multirecidiviste-en-liberte-merci-taubira.html). La mère de la jeune femme raconte de manière très posée, sans haine ni propos outranciers les faits, laissant même de côté les détails les plus sordides afin de ne pas choquer. Elle a pourtant à cœur de dénoncer un défaut de contrôle par le personnel pénitentiaire qui n’a pas fait son travail : « Il rentrait ivre tous les soirs », « au mois d’août, il était censé travailler, mais personne ne va vérifier qu’il respecte ses obligations : la supérette où il était censé travailler était fermée ! ». La caméra montre par moments le visage parfaitement impassible de Mme Taubira, celle-ci ne montrant aucune émotion. Incapable d’apporter la moindre réponse aux questionnements de cette maman sur les graves lacunes judiciaires qui ont conduit à briser deux vies en l’espace de quelques minutes, Taubira se refuse à répondre : « Par décence, M. Pujadas, ni vous ni moi ne traitons de ce cas-là, ne portons de jugement sur la décision du juge ». Elle se permet même cette remarque hallucinante de mépris « je comprends que madame ne veuille rien entendre », comme si cette dame était bornée et alors même qu’elle demande justement des réponses… réponses qu’on ne lui donnera pas. « Lui poser des questions difficiles c’est sans doute ajouter à sa peine », ajoute-t-elle alors que la mère reste très claire dans son témoignage, ne se victimise pas et réclame au contraire un dialogue. Pujadas de son côté reste très emprunté, très boulot-boulot… On n’en attend pas moins de lui de toute façon, lui qui avait quand même réussi dans un sourire joyeux à trouver « génial ! » l’attentat du World Trade Center qui avait fait plus de 3 000 morts… VallsTaubiraAyraultChristiane Taubira fuyante apporte cette réponse laconique et frustrante « J’ai une règle, face aux victimes je fais silence. Là, je cherche mes mots ». « C’est trop facile » répond alors la mère de la jeune femme qui, comme nous tous espère des explications. « Je m’incline, c’est tout » clôt péremptoirement la ministre. Aucune remise en question ni promesse, aucune compassion, aucune réflexion, aucune repentance pour celle qui pourtant se repait de ce concept tant qu’il s’agit d’en abuser à outrance sur les autres dès lors qu’ils sont métropolitains. Dans les colonnes du Nouvel Obs, le journaleux Bruno Roger-Petit se pose quant à lui des questions existentielles sur cette confrontation dont il se serait bien passé. « La ministre de la Justice s’en est sortie avec honneur, mais le procédé de David Pujadas mérite débat : indigne ou pas ? » s’interroge-t-il, évoquant un témoignage « exprimant tout à la fois douleur et haine, rage et désespoir ». Haine ?! Bien au contraire, cette mère, dont la fille n’a plus de visage parce qu’un multirécidiviste aux mains tachées de sang n’ayant pas respecté les règles de sa semi liberté parce que les surveillants de sa prison ont très gravement failli à leur mission, ne jugeant pas utile de vérifier les conditions d’un stage où il ne s’est jamais rendu, ni de lui demander pourquoi il avait plusieurs heures de retard, pourquoi ses mains étaient rouges, cette mère donc a su garder une dignité, une pudeur et une lucidité totalement exemptes de haine, se contentant de pointer du doigt de manière particulièrement calme et exemplaire les manquements aberrants du système judiciaire étatique. « Le moment fut pénible ». Pauvre petit chou, on est vraiment désolé pour la pénibilité d’avoir à écouter ce récit relatant la barbarie portée sur deux malheureuses jeunes femmes pendant la digestion des poireaux vinaigrette de son dîner. Visiblement amouraché de la ministre, il prend ostensiblement fait et cause pour elle : « on observera ici le même respectueux silence vis-à-vis de la souffrance de ce témoin. En l’espèce, seul le silence est digne. En lui-même, ce témoignage ne sera pas le sujet de ce billet ». De manière lâchement hypocrite M. Roger-Petit préfère détourner les yeux et les oreilles sur les faits effroyables du monstre Sofiane en choisissant à l’instar de son modèle du jour Taubira un silence bien pratique, se lamentant sur « l’inhumanité » de la télévision qui a mis en difficulté la représentante du régime socialiste plutôt que sur l’inhumanité de la créature barbare qui, en l’espace de quelques minutes et coran à la main, a sauvagement agressé, violé et massacré deux malheureuses jeunes filles, brisant leur vie à tout jamais. Enfonçant le clou de sa stupide hypocrisie Roger-Petit va jusqu’à qualifier ce témoignage qui a mis mal à l’aise sa pouliche de faute grave, jusqu’à prétendre même que le vrai sujet de ce face à face entre la maman de Priscillia et le visage glacé et figé de Christiane Taubira était davantage le déballage émotionnel vidant « toute raison, toute réflexion de ce qu’elle donne à regarder », plutôt que le double drame commis parce que les pouvoirs publics n’ont pas fait leur boulot. S’il est indéniable que la télé n’est plus guère qu’un outil à abêtir et à vendre la daube des lobbys commerciaux, sur cette confrontation en tout cas s’il y a déficit de réflexion et de raison c’est bien de la part de ce monsieur. Ce qu’il vit comme un « piège tendu » à Mme Taubira par Pujadas (comme si ce dernier n’était pas pleinement vendu au système !) ne pouvait déboucher selon lui que sur un silence impuissant « offert » (sic) par la ministre face à cette maman qui – je cite – « s’estime victime »… S’ESTIME victime !!! Il faut quand même oser le dire ça à la mère d’une jeune fille qui n’a plus de visage ! Roger-Petit parle de « silence respectueux », de charge émotionnelle telle qu’elle aurait tétanisé la Taubira, effaçant toute volonté de rationalité. Or, lorsqu’on regarde les images on ne voit qu’un visage parfaitement impassible, sans la moindre trace d’émotion. Le silence de cette femme n’avait rien de paralysé et encore moins de respectueux, il n’est au contraire que l’aveu silencieux et glacé de son incompétence et de l’aberration de sa politique qui ne peut mener qu’à de tels drames dont on voit bien la recrudescence chaque jour plus marquée. Ce n’est certainement pas l’émotion ni même la honte qui l’ont figée mais seulement l’irrépressible nécessité de fuir ses responsabilités. Cette femme est tellement sûre de sa toute puissance qu’elle n’a laissé s’exprimer dans une rare incorrection qu’un silencieux mépris. « J’espère que sa fille ira bien » a t-elle même ironisé, alors que cette jeune fille n’a plus de nez, plus de crâne, plus de visage… Elle occulte volontairement l’atrocité de ce crime, comme si Priscillia n’avait pas à jamais perdu la vie qui aurait été la sienne si elle n’avait pas croisé le chemin de celui qui aurait dû être en prison à ce moment-là si la justice avait fait correctement son travail. Oui, crime, car si le cœur de Priscillia bat encore, son corps a bel et bien connu la mort, tout comme celui d’Elise. En plus Taubira n’est même pas foutue de prononcer le prénom de Priscillia, ce qui aurait pu laisser supposer au moins un minimum d’empathie. Quel déni et quel mépris… Le journaleux du Nouvel Obs se lamente longuement sur la déliquescence mortelle du service public qui a perdu en civilisation, ce qui lui provoque manifestement une infinie tristesse. En d’autres circonstances nous le déplorerions volontiers avec lui, mais là, compte tenu des faits abominables évoqués, ses lamentations sont d’une inconvenance inouïe. Il déplore que le traité de l’émission ait conduit le téléspectateur dans une position honteuse et piteuse face à ce spectacle destiné à réveiller sa partie « reptilienne ». Bien au contraire ! Le téléspectateur s’est réveillé, prenant la pleine mesure de la débâcle judiciaire et de l’attitude robotisée (et pour le coup réellement reptilienne) de celle qui défait méthodiquement les rouages de ce qui fût jadis la Justice. Cela aurait effectivement valu une minute de silence… Non, ce soir-là ce n’est pas le téléspectateur qui a été déconsidéré mais bien les deux victimes du bourreau mahométan Sofiane, Priscillia et Elise, violées et massacrées par un barbare au nom du coran. Personne d’autre. Sur Twitter, Bruno Beschizza, ancien policier aujourd’hui conseiller régional d’Ile-de-France et Secrétaire National de l’UMP, résume en quelques mots la politique de Taubira
Posted on: Sun, 15 Sep 2013 18:38:18 +0000

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