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Écrire un commentaire cest effectivement aisé, en commenter aux impérities bien plus difficile... Éructant contre lEurope dont viendrait tout le mal, la gauche et François Hollande rêvent de fausses croissances et de possibles fausses monnaies ou de dévaluations de l’Euro, quoique ces mêmes idées prolifèrent chez Marine Le Pen, chez Mélenchon mais surtout à l’aile gauche du parti socialiste, qui elle fait 45% de son électorat traditionnel. Au train où vont les choses, le cercle de la déraison sera bientôt majoritaire. Si la France était une démocratie digne de ce nom, la gauche et la droite, qui, à des degrés divers, nous ont mis dedans, tenteraient de réfléchir ensemble aux solutions et notamment aux réductions de dépenses publiques à opérer, des dépenses qui continuent à augmenter : Selon les dernières estimations, elles sélèveraient à 56,9 % par rapport au PIB cette année, tandis que le taux des prélèvements obligatoires devrait atteindre un nouveau record en 2014, avec un taux dément de 46,5, à plus de 47 % du PIB. Lunion nationale nest cependant pas à lordre du jour. Ce serait trop demander. Incapables débaucher une esquisse de dialogue, la gauche et la droite ne sétripent même pas sur lessentiel. Ainsi la décision dobliger, comme dans beaucoup de démocraties européennes, chaque politicien à publier son patrimoine est-elle un dérivatif, mais en aucun cas une urgence. Quand on en aura fini avec toutes ces diversions, peut-être sera-t-il temps de montrer le cap aux Français en faisant enfin mentir Turgot, dont la politique, face à une situation financière désespérée, fut de contraindre à de strictes économies tous les ministères. De réduire toutes les dépenses qui devaient lui être soumises pour approbation, ou bien au contrôleur. Les mesures de Turgot réussirent à réduire considérablement le déficit, améliorant tant le crédit national qu’en 1776 l’argent s’empruntait à 4%. Certes le déficit public était encore important, ce qu’il l’empêcha d’essayer immédiatement, la mise en place de son idée favorite, le remplacement des impôts indirects par une taxe sur l’immobilier, à propos de la France, il écrivait tristement au roi, avant la Révolution de 1789 : (Personne nest occupé que de son intérêt particulier.) Nulle part il ny a dintérêt commun visible, c’est aussi de cela que souffre de nos jours, la FRANCE. Fernand Chaput.
Posted on: Wed, 06 Nov 2013 17:27:20 +0000

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