Affaires : JB Mpiana, Fidele Babala, Aime Kilolo,Seul un peuple congolais debout pourrait sauver JP Bemba, Etienne Tshisekedi des griffes de Kabila. Il est clair depuis 12 ans, les congolais ont affaire un carnivore redoutable. Doté d’une illégitimité qui remonte au fait que la plupart de congolais doutent sur sa filiation avec Laurent Desiré Kabila, ses coups d’états électoraux, sa biographie fabriquée de toute pièce, par Kudura Kasongo, aujourd’hui en désaccord avec ce dernier, ses appuis incestueux avec certains États, ses limites intellectuelles, son enclin à la violence politique, ses positions ambigües face aux Rwanda et Ouganda agresseurs, bref sa megestion de la république et les agissements incohérents d’un homme, d’une intelligence abrégée, qui beaucoup suspectent, qui n’est pas chez lui, et ni l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Depuis, ce monsieur, pièce importante et interne d’une conspiration internationale, contre laquelle le peuple congolais se heurte depuis la chute de Mobutu. Le grand éléphant, le Congo-Zaire, à l’instar de la Chine pre-les années 80 a du mal à mouvoir, tenu immobile par ses voisins et leurs alliés. Garder un leader d’un peuple opprimé en exil, prison, ou en résidence surveillée n’est pas une technique nouvelle par des oppresseurs. L’idée est de produire un sens d’humiliation, de honte, et pour certains, une répulsion envers ce leader vu de ce fait « inefficace ». Cela augmente ainsi la frayeur du dictateur qui apparait comme l’homme puissant, qui détruit ces ennemis redoutables. Lhumiliation dun individu par un autre (le bourreau) est souvent employée pour exprimer la puissance envers le rabaissement, et est une forme doppression, dagression ou dabus exploité dans le contexte autoritaire, policier, militaire ou dans les prisons en guise de torture. Danciennes punitions actuellement abolies (torture par les chatouilles), pilori, marque dinfamie (stigmatisation sociale) devaient « servir dexemple » pour dautres individus qui tenteraient dagir de la même manière. Certains états dAmérique punissaient et humiliaient les hors-la-loi en indiquant leur faute présumée. Des personnes donc Tshisekedi, Bemba, Kuthino, Diomi et bien d’autres sont victimes de ce schéma. Chaque fois que le pouvoir d’oppression sent que la volonté du peuple s’élevait pour provoquer un élan de libération. Soit ce pouvoir chorégraphe des faux coups d’état ou rébellion, en arrêtant des innocents, parfois les tuant même, ou il procède à des arrestations arbitraires et spectaculaires d’un opposant, qui ainsi perpétuer la psychose de la peur qui engendre la procrastination de la population. Il est donc impérieux que les congolais, les combattants la liberté à travers le monde de prennent conscience de cela. Point de besoin de rappeler de telles personnes ne bénéficient ni du soutien de l’État, ni des mesures internes d’amnistie. Chaque fois que les congolais se mettent debout à l’instar de leur refus du Concert de JB Mpiana, la réponse du gouvernement oppresseur de le punir. Ils ne devraient se fatiguer. Les congolais doivent reconnaitre leur environnent. Tous, Bemba ou Tshisekedi inclus ont péché la transgression de la naïveté. C’est pourquoi la diaspora congolaise refuse de tomber dans ce piège. C’est pourquoi, elle a opté pour la résistance au lieu de l’opposition; elle appelle le chat sauvage par son nom et refuse toute forme d’apprivoisement d’un animal antipathique ou avide de sang. Un tueur reste un tueur. Revêtons tous l’esprit des pères de l’indépendance, continuons la route. (A force de jouer ensemble, le chiot a couché avec sa mère) Sagesse Congolaise. Bolya
Posted on: Mon, 25 Nov 2013 19:53:26 +0000