Benjamin BOUMAKANI et Laurent TENGO (et que dire de Thierry Lézin - TopicsExpress



          

Benjamin BOUMAKANI et Laurent TENGO (et que dire de Thierry Lézin MOUNGALLA ?), deux belles pioches ou deux cadeaux empoisonnés offerts à SASSOU par son oncle YOKA ? Benjamin Boumakani et Laurent Tengo ont-ils participé à sacrifier Sassou N’guesso et consorts au tribunal de Meaux ? Au moment où rebondit l’affaire des « Disparus du Beach » au pôle « génocide et crime contre l’humanité » au Tribunal de Grande Instance de Paris, en France, et qu’elle fait trembler dans leurs petits caleçons les autorités à Brazzaville, Benjamin Boumakani et Laurent Tengo (deux amis très proches), respectivement secrétaire général du gouvernement et conseiller juridique du Chef de l’Etat, se comportent comme deux enfants de cœur dans la sacristie présidentielle. Il n’en est rien ! Pourquoi ? Explications. Pour la petite histoire, d’après certaines sources, Benjamin Boumakani et Laurent Tengo étaient conseillers de l’ancien chef d’Etat Pascal Lissouba avant d’être au service du président Sassou-N’guesso. Francs-maçons confirmés, le premier serait membre de la grande loge du Congo (GLC) dirigée par Sassou N’guesso, le deuxième, aussi paradoxal que cela puisse paraître, appartiendrait au grand orient du Congo-Brazzaville (GOCB), une loge « adverse », animée par les Guy Romain Kinfoussia et autres. Avec le recul du temps et au regard de leur retournement politique, une question évidente se pose : Benjamin Boumakani et Laurent Tengo étaient-ils des espions de Sassou N’guesso auprès du professeur président, Pascal Lissouba ? Loin s’en faut. Rapporte-t-on dans certains cercles politiques à Brazzaville. Toujours est-il, le couplé a servi à la présidence de la république, deux chefs d’Etat. Laurent Tengo, selon ses frères trois points, a été parrainé en maçonnerie par le colonel Nzambila, à l’époque où le courant du grand orient congolais appelé GOLAC était sous les commandes de Joseph Badila. Il partage à ce jour la même obédience maçonnique (la GOBC) que le ministre Aimé Parfait Coussoud Mavoungou dit ¨Kirikou¨. Pour ces deux derniers collaborateurs de Sassou N’guesso, parmi lesquels un membre du gouvernement, les accointances maçonniques avec ce qu’il convient d’appeler la gauche congolaise est la parfaite démonstration que le président ne parvient pas à rallier bon nombre de «ses» cadres à son obédience. Ce qui, il ne faut pas se voiler la face, n’est pas regardé d’un bon œil par l’inamovible chef d’Etat congolais et son entourage immédiat. « Mais, liberté des individus oblige, ils ont dû s’accommoder », susurre un griot du Boss qui a requis l’anonymat. Une chasse aux sorcières presque validée par les plus hautes sphères Après la victoire de la guerre de 1997 par Denis Sassou-N’guesso, Benjamin Boumakani et son complice de Laurent Tengo prennent la poudre d’escampette. Direction : l’exil vers la France. Quelques temps après, en 1999, survient l’affaire des disparus du Beach à Brazzaville. Un officier des forces armées congolaises, le colonel Marcel Touanga, agent de la sécurité d’Etat et ancien ambassadeur du Congo à Cuba, perd de vue son fils qu’il voit lui-même débarquer au Beach de Brazzaville et être enlevé par les éléments de la garde présidentielle du général Blaise Adoua. Sans coup férir, il ameute d’autres officiers des forces armées congolaises et se rend voir le général Norbert Dabira, à l’époque inspecteur général des armées, qui, hiérarchiquement était son chef mais aussi un ami, pour obtenir la libération de son enfant, paix à son âme. Peine perdue, à en croire Marcel Touanga lui-même: son fils sera exécuté sans que le général Dabira et les autres n’aient pu empêcher que cela n’arrive ! Mais que pouvaient-ils face à cette chasse aux sorcières presque validée par les plus hautes sphères ? Benjamin Boumakani et Laurent Tengo alors exilés en France contribuent à la plainte de Meaux ? Etant au courant des crimes crapuleux qui ont lieu au Beach, la diaspora congolaise en France, dont faisait partie à l’époque Benjamin Boumakani et son ami Laurent Tengo, cherche une voie pour attaquer dans ce pays le pouvoir de Brazzaville. D’autant que deux rescapés de cette tragédie parviennent à fouler le sol français et l’un est admis à l’hôpital militaire du Valls de grâce pour se faire soigner une blessure par balles. Visiblement, la fureur des assassins qui l’avait criblé de cartouches n’avait pas pu lui arracher les trois lettres. Vient alors à la diaspora, la décision de traduire l’Etat congolais en justice au tribunal de Meaux. A en croire certaines sources françaises, et pas des moindres, l’idée de déposer plainte à ce tribunal avait été, à cette époque, doctement inspirée par les sieurs Boumakani et Tengo alors exilés politiques. Les deux hommes auraient tiré les ficelles judiciaires. Une source qui a requis l’anonymat va même jusqu’à affirmer que la diaspora n’étant pas vraiment à la hauteur de la tâche, c’est Laurent Tengo (juriste qui plus est) et Benjamin Boumakani, en ce moment en porte à faux avec Brazzaville, qui s’y sont mis personnellement et se sont donnés toute la peine du monde en rédigeant mot pour mot la plainte qui, quelques jours après, sera déposée devant la juridiction française. Cette plainte place aujourd’hui le pouvoir de Brazzaville, que les deux hommes en question servent actuellement, dans l’œil du cyclone de la communauté internationale. Et en plus, met aux abois les officiers des forces armées congolaises à l’instar des Dabira, Ndenguet, et autres Garcia à commencer par le président de la république, Denis Sassou-N’guesso. Pourtant, une autre source confie, elle, que cette plainte n’a pas été écrite par Laurent Tengo mais par une française du nom de Suzane Sulzer. N’empêche, d’après des indiscrétions venant d’un membre de la loge maçonnique de Tengo qui a requis l’anonymat, ce dernier avait bel et bien eu, en ce temps, des tractations dans ce sens avec Marcel Touanga. Joint au téléphone par ¨La Voix du Peuple¨, Laurent Tengo ne reconnait pas l’affaire, ni même d’avoir eu des accointances avec le colonel Marcel Touanga. « C’est une cabale de ceux qui n’ont jamais supporté de me voir rejoindre le président Sassou », a-t-il poursuivi. Après recoupements auprès de Touanga lui-même, ce dernier ne nie pas avoir eu des contacts avec Laurent Tengo. Benjamin Boumakani, dont nous n’avons pas les contacts téléphoniques, pourra quant à lui se fendre d’un droit de réponse dans nos colonnes tout en sachant que notre enquête continuera et à chaque fois que besoin se fera sentir et d’autres éléments mis à notre disposition, nous y reviendrons. En effet, il n’y a pas de fumée sans feu comme dit l’adage. De la plainte de Meaux à la présidence de la République Au moment où l’affaire des Disparus du Beach refait surface avec l’interpellation puis la mise en examen du général Norbert Dabira en France (lequel, contre l’avis de Mpila, est retourné dans ce pays après la Chine), les auditions de Justin Lékoundzou et perquisitions des domiciles de Pierre Oba dans la banlieue parisienne, le pouvoir de Brazzaville peut-il se douter un instant que les véritables cerveaux penseurs, initiateurs ou écrivains de la plainte de Meaux sont tapis dans l’ombre à la présidence de la république, à en croire une certaine opinion ? A n’en point douter, si cela venait d’être avéré, Denis Sassou-Nguesso et ses affidés tomberont de l’armoire. D’autant que la dernière conférence de presse du 26 Août 2013 largement médiatisée, dénonçant la procédure de Meaux, a été co-animée par le ministre de la justice, Emmanuel Yoka, le secrétaire général des affaires étrangères, Cyprien Mamina, et le conseiller juridique du chef de l’Etat, qui n’est autre que : Monsieur Laurent Tengo ! Chose qui, rapporte-t-on, a fait lâcher à brûle-pourpoint à un observateur aguerri de la scène politique congolaise devant sa télévision depuis la France : « ¨qui l’entoure, qui la boit (la rivière)¨, comment Sassou et Yoka peuvent-ils être aussi naïfs ? ». Selon toute vraisemblance, c’est la couardise d’Emmanuel Yoka qui est la plus mise en lumière. Et pour cause, après son passage en tant qu’ambassadeur du Congo au Maroc, le président Sassou décide de le nommer au cabinet à la présidence. C’est ainsi que pour des raisons d’excellence, Yoka propose d’y arriver avec son collègue, Benjamin Boumakani, dont-il reconnait le talent. Or, ce dernier a un ami inséparable, Laurent Tengo, qu’il fait venir également. C’est donc dans ces conditions, spécule-t-on dans le luxe des salons feutrés de Brazzaville, que Benjamin Boumakani et Laurent Tengo seront appelés à rentrer d’exil pour graviter dans l’aréopage de Mpila. Mais, non pas sans avoir longtemps cloué au pilori du tribunal de Meaux les autorités de Brazzaville en participant à l’initiative de la plainte des disparus du Beach introduite par devant la juridiction française, commentent à voix basse certains observateurs. Avaient-ils simplement accompli leur devoir patriotique, celui de faire éclater la vérité au grand jour sur les crimes du Beach ? Sur ces entrefaites, le secrétaire général du gouvernement et le conseiller juridique du chef de l’Etat, passeront-ils un jour à table en confessant à Sassou-N’guesso et Yoka le rôle véritable qu’ils ont joué dans la cadre de cette procédure ? Question.
Posted on: Tue, 15 Oct 2013 14:35:36 +0000

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