Dans les coulisses de la finale de hand-ball. Eboa Elamé - TopicsExpress



          

Dans les coulisses de la finale de hand-ball. Eboa Elamé échappe à un lynchage… Il y a des faits qui ternissent souvent l’organisation des évènements comme la finale de la coupe du Cameroun de hand-ball édition 2013. Cette association n’en avait vraiment pas besoin, mais comme les habitudes ont la peau dure, c’est arrivé. Victor Eboa Elamé alias Mikado, le pionnier des émissions sportives quotidiennes de sport dans les radios au Cameroun, retraité mais s’accrochant toujours à la radio nationale où il présente une émission ‘’humoristique’’ qui ne fait rire que sa seule personne, a échappé à une bastonnade samedi dernier après la finale de la coupe du Cameroun de hand-ball. En effet, à la fin de la remise des trophées et récompenses aux athlètes, le président Sénateur suppléant Raymond Mbita de la fédération, a remis au ‘’grand-frère’’ Eboa Elamé, la somme de cent mille francs comme appui au transport des journalistes venus couvrir cette belle fete sportive. Dès qu’il a reçu cet argent, Mikado a réuni tous ses confrères parmi lesquels, ceux officiant dans les médias à capitaux publics pour leur demander d’«aller aussi harceler Raphael NKOA, le Team –Press Officer de l’équipe nationale fanion de football » par ce que, « à la fécafoot, il y a beaucoup d’argent par rapport à une petite fédération comme celle de hand-ball où je cotise chaque année au moins cent-mille francs , et où il n’ y a pas d’argent ». les journalistes qui voulaient déjà rentrer lui ont demandé « ce que viennent faire les noms de Raphael Nkoa et la fécafoot dans une histoire du hand-ball ?. Où est lien ? » Il s’en est alors suivi une discussion houleuse où tout est passé. Du marchandage à la manipulation en passant par la kleptomanie souvent reprochés à cet ainé de la profession qui adopte cette attitude chaque fois qu’on lui remet de l’argent pour ‘’gérer’’ ses confrères. Ses jeunes confrères n’ont pas raté l’occasion de lui rappeler sa propension à faire des crocs-en jambe à ses collègues et confrères et à s’ériger en censeur, donneur de leçons, alors qu’il ne brille pas par le bon exemple. Ils lui rappelé ses rapports incestueux avec les téléphones portables qui sonnent souvent dans ses chaussettes et les autres biens appartenant à autrui. Sentant l’adrénaline monter de manière vertigineuse, Victor Eboa Elamé a foncé droit dans sa voiture, promettant de « distribuer cet argent le lendemain à ceux qui travaillent véritablement ». Le lendemain, cest-à-dire dimanche, le grand-frère Eboa Elamé s’est rendu en fin d’après-midi au palais polyvalent des Sports de Yaoundé où se disputaient les finales de la coupe du Cameroun de Basket Ball. Il ‘ y a choisi ceux des journalistes qui ne lui ont pas rabattu le caquet la veille et leur a remis en fonction de sa logique et de la forme de la gueule du client, trois, quatre ou cinq mille francs. Une bonne frange des journalistes présents aux finales de hand-ball au Matéco l’ont évité . « Qu’il aille mettre le carburant dans sa voiture avec cet argent, de peur qu’elle ne tombe en panne sèche. Ça ne va pas nous empêcher de faire notre travail ». C’est comme ça que tout malheureux, Eboa Elamé qui voulait se racheter, est resté avec une partie de ces cent mille francs jusqu’à près de 20 heures. Habitué des débats sportifs dans la majorité des radio privées de Yaoundé , Eboa Elamé qui ne cesse de traiter ses jeunes confrères d’affamés qui exercent dans les médias sans audience, vient de s’illustrer par un genre d’attitude qui ternit à la fois les structures et les dirigeants de ces dernières. Comme lui, c’est un certain Clovis Tchamabo de Crtv littoral qui, une semaine plus tôt, a pris la poudre d’escampette avec l’argent que lui a remis le président de la fédération camerounaise de Nanbudo pour la même cause. Il s’est coulé la vie douce à Abidjan aux cotés des pratiquants camerounais de cette discipline qui prenaient part à une compétition internationale. C’est ainsi le label de la radio télévision publique du Cameroun qui prend un coup à cause de la cupidité et l’égocentrisme de certains individus qui ont jeté leur honneur aux chiens, et qui sur les antennes des radios et télévisions rappellent les indélicatesses managériales de certains dirigeants et gestionnaires des fonds publics. Didier ONANA©mbolocameroon Dans les coulisses de la finale de hand-ball. Eboa Elamé échappe à un lynchage… Il y a des faits qui ternissent souvent l’organisation des évènements comme la finale de la coupe du Cameroun de hand-ball édition 2013. Cette association n’en avait vraiment pas besoin, mais comme les habitudes ont la peau dure, c’est arrivé. Victor Eboa Elamé alias Mikado, le pionnier des émissions sportives quotidiennes de sport dans les radios au Cameroun, retraité mais s’accrochant toujours à la radio nationale où il présente une émission ‘’humoristique’’ qui ne fait rire que sa seule personne, a échappé à une bastonnade samedi dernier après la finale de la coupe du Cameroun de hand-ball. En effet, à la fin de la remise des trophées et récompenses aux athlètes, le président Sénateur suppléant Raymond Mbita de la fédération, a remis au ‘’grand-frère’’ Eboa Elamé, la somme de cent mille francs comme appui au transport des journalistes venus couvrir cette belle fete sportive. Dès qu’il a reçu cet argent, Mikado a réuni tous ses confrères parmi lesquels, ceux officiant dans les médias à capitaux publics pour leur demander d’«aller aussi harceler Raphael NKOA, le Team –Press Officer de l’équipe nationale fanion de football » par ce que, « à la fécafoot, il y a beaucoup d’argent par rapport à une petite fédération comme celle de hand-ball où je cotise chaque année au moins cent-mille francs , et où il n’ y a pas d’argent ». les journalistes qui voulaient déjà rentrer lui ont demandé « ce que viennent faire les noms de Raphael Nkoa et la fécafoot dans une histoire du hand-ball ?. Où est lien ? » Il s’en est alors suivi une discussion houleuse où tout est passé. Du marchandage à la manipulation en passant par la kleptomanie souvent reprochés à cet ainé de la profession qui adopte cette attitude chaque fois qu’on lui remet de l’argent pour ‘’gérer’’ ses confrères. Ses jeunes confrères n’ont pas raté l’occasion de lui rappeler sa propension à faire des crocs-en jambe à ses collègues et confrères et à s’ériger en censeur, donneur de leçons, alors qu’il ne brille pas par le bon exemple. Ils lui rappelé ses rapports incestueux avec les téléphones portables qui sonnent souvent dans ses chaussettes et les autres biens appartenant à autrui. Sentant l’adrénaline monter de manière vertigineuse, Victor Eboa Elamé a foncé droit dans sa voiture, promettant de « distribuer cet argent le lendemain à ceux qui travaillent véritablement ». Le lendemain, cest-à-dire dimanche, le grand-frère Eboa Elamé s’est rendu en fin d’après-midi au palais polyvalent des Sports de Yaoundé où se disputaient les finales de la coupe du Cameroun de Basket Ball. Il ‘ y a choisi ceux des journalistes qui ne lui ont pas rabattu le caquet la veille et leur a remis en fonction de sa logique et de la forme de la gueule du client, trois, quatre ou cinq mille francs. Une bonne frange des journalistes présents aux finales de hand-ball au Matéco l’ont évité . « Qu’il aille mettre le carburant dans sa voiture avec cet argent, de peur qu’elle ne tombe en panne sèche. Ça ne va pas nous empêcher de faire notre travail ». C’est comme ça que tout malheureux, Eboa Elamé qui voulait se racheter, est resté avec une partie de ces cent mille francs jusqu’à près de 20 heures. Habitué des débats sportifs dans la majorité des radio privées de Yaoundé , Eboa Elamé qui ne cesse de traiter ses jeunes confrères d’affamés qui exercent dans les médias sans audience, vient de s’illustrer par un genre d’attitude qui ternit à la fois les structures et les dirigeants de ces dernières. Comme lui, c’est un certain Clovis Tchamabo de Crtv littoral qui, une semaine plus tôt, a pris la poudre d’escampette avec l’argent que lui a remis le président de la fédération camerounaise de Nanbudo pour la même cause. Il s’est coulé la vie douce à Abidjan aux cotés des pratiquants camerounais de cette discipline qui prenaient part à une compétition internationale. C’est ainsi le label de la radio télévision publique du Cameroun qui prend un coup à cause de la cupidité et l’égocentrisme de certains individus qui ont jeté leur honneur aux chiens, et qui sur les antennes des radios et télévisions rappellent les indélicatesses managériales de certains dirigeants et gestionnaires des fonds publics. Didier ONANA©mbolocameroon
Posted on: Thu, 28 Nov 2013 10:31:20 +0000

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