Les enjeux ultimes Message Juillet 2010 Nous avons parlé de la personnalité de la bête, la première (Rome) et la deuxième (l’Amérique) ; de même que de la première qui resurgit sous une nouvelle formulation (L’Union Européenne). Les écritures soulignent :…. aux habitants de la terre de se faire une image de la bête et de …… « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celle d’agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle obligeait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, a la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par des prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image de la bête qui avait été blessée par l’épée et qui vivait. Et il lui fut donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parle, et qu’elle fasse que tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête soient tués. » (Apoc. 13 : 11-15) Ce mot « image » comprend l’ensemble d’actes d’adoration voués à la bête (à l’empire). Le dimanche n’est plus un jour du Seigneur. Les employeurs s’acharnent à bannir « le dimanche » comme jour du Seigneur « sabbat ». Or nous savons que LE CHRIST est maître du « sabbat ». Il y a là, encore, un autre enjeu spirituel qui passe souvent inaperçu. Pour faire beaucoup d’argent, en Europe, les commerçants se sont résolus de proposer ce jour comme « jour d’affaires » à la place du jour du SEIGNEUR. Dans la société israélite, se faire une représentation était une abomination aux yeux de DIEU. La pratique y était proscrite. Nous disions autrefois que la deuxième bête (l’Amérique) ne servit qu’à la cause de la première (l’Europe) dont elle est le clone parfait. Le dragon s’est servi de cette deuxième juste le temps que la plaie de la première se cicatrise. La première bête a été blessée par l’épée (la déstructuration de l’empire romain). On a parlé pour expliquer cette représentation de l’Europe (la Rome) qui a été disloquée par les guerres. « …. Et qui vivait malgré sa blessure » Rome a toujours existé culturellement, spirituellement en particulier, malgré son déclin. Les immoralités de Rome ont toujours prévalues dans les pays européens. Elles étaient diffuses quand ces pays évoluaient séparément, ces immoralités se consolident et excellent aujourd’hui qu’ils se restructurent dans l’Union européenne. Apocalypse13:12 précise : « Elle exerçait toute lautorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. » La deuxième, l’Amérique, qui reçut toute la culture européenne. Ses pionniers furent des immigrés européens. On les dit « chrétiens protestants ». Qui parlait comme un agneau, nous savons que l’Amérique brandit toujours la bible et le nom de DIEU. Elle manifeste autant de cruautés que son idole la bible à la main. Dans l’un de ses billets figure « in God we trust ». Les cruautés qu’elle commet dans le monde sont à l’opposé de l’agneau qu’elle se revendique. D’où la représentation de l’agneau et qui parlait comme un dragon. Et donc, celle-ci exerçait toute la fureur, l’autorité, et l’immoralité de la première dans le monde et répandait cette fureur au travers des prodiges qui lui était donné de faire. Elle est plus prodigieuse et dispose des capacités de diffusion incomparables par rapport à son commanditaire, la première bête. Les idoles païennes sont décrites comme étant faites dor, dargent, de bois et de pierre. Elles sont précisées être le fruit du travail de la seule main de lhomme, incapables de parler, voir, entendre, sentir, manger, saisir ou ressentir, et sans pouvoir de nuire ou de favoriser quiconque. Les idolâtres des temps bibliques croyaient-ils que les idoles quils vénéraient étaient de véritables dieux ou esprits, ou les considéraient-ils comme des représentations de ces dieux ou esprits? La Bible néclaircit pas ce point et bannit apparemment de telles croyances et pratiques sous les deux formes (selon certaines interprétations). Lidolâtrie est ladoration dune image, dune idée ou dun objet. Les religions abrahamiques la mettent en opposition avec ladoration dun être suprême, et la condamnent. Les commandements de la Bible hébraïque opposés à lidolâtrie interdisaient les croyances et pratiques des païens qui vivaient parmi les israélites à cette époque, en particulier les religions de lantique Akkad, de Mésopotamie, et dÉgypte. Source : wapedia
Posted on: Tue, 15 Oct 2013 01:05:52 +0000