Ma position sur la question de la police universitaire : Si c’est une police universitaire mixte (Agents de sécurité du COUD/rectorat et policiers) avec bien sûr un régime spécial. OUI je suis d’accord. Ainsi on pourrait sinspirer des polices universitaires existantes dans les campus américains et qui ne sactivent que pour la protection des étudiants et de leurs biens en évitant tout excès surtout avec les confréries. En plus en termes davantages, ce poste de police nous permettra davoir accès plus facilement à certains actes (Bonne vie et mœurs et autres). Nous seront plus obligé daller jusquau poste de police de point E. Quant à la violence universitaire et autres comportements malsains (Coups de machettes, saccage de bus, vols et raquette des boursiers au guichet, consommation et trafic de chanvre indien...) ils seront tout simplement éradiqués. Enfin, l’UCAD est plus peuplée que la ville de Kolda. Donc nous devons avoir les mêmes services qu’une telle ville : sapeurs pompiers, police, marché, restaurants, hôpital, boite de nuit etc. C’est pourquoi j’ai été très déçu quand on m’a fait savoir que le directeur du COUD interdisait désormais toute activité de restauration privé au campus universitaire. De mon point de vue, c’est l’interdiction de certaines activités qui encourage l’installation des tabliers aux alentours et même dés fois dans le campus universitaire. Phénomène que nous avions fustigé et on nous a d’ailleurs fait part que l’Etat se prépare pour leur déguerpissement chose que nous accueillons comme une bonne nouvelle. Et nous remercions de passage le préfet de Dakar parce que notre appel à son attention n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. NON à une police de répression. Parce quil ne faudrait pas permettre à des policiers armés jusquaux dents de déambuler dans le campus universitaire. Si la police s’installe au campus avec une logique de confrontation et de répression alors là ce sera la catastrophe. Et nous ne le souhaitons pas. C’est la raison pour laquelle nous interpellons les autorités sur la question. Certes le campus universitaire ne saurait être une zone de non droit mais aussi il ne saurait être une zone de terreur ou une répression permanente s’y exercerait.
Posted on: Tue, 15 Oct 2013 02:23:56 +0000